La maison hantée Saison II Chapitre 18 &19

Ecrit par Verdo

Les chroniques de Verdo Lompiol


La force de l'écriture


LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)


SAISON II 

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****Chapitres 18 & 19 : Le revers de la médaille (2) ****


                            *Ville de Lomé*


                            ****Blandine****


Ça fait un bail que ma petite fille a disparu et nous n’avons aucune de ses nouvelles. La police aussi est sur le coup mais pour le moment rien de neuf. Je ne sais pas ce qui a pu bien lui arriver. J’aime mes enfants et je suis prête à me sacrifier pour eux parce qu’ils restent ma seule raison de vivre alors je ne baisserai pas les bras tant qu’on ne l’ait pas retrouvé. J’espère que rien de grave ne lui est arrivé. Tournant ma tête, je remarquai la présence d’une autre personne dans ma chambre. Vêtue tout en blanc le visage caché ainsi que ses mains et ses pieds, sa voix me donna une sacrée trouille.


Elle : Bonjour Blandine ! Je suis Cutie Mom et je suis venue vous avertir de quitter ma maison. C’était ma propriété jusqu’au jour où ta belle mère qui était ma meilleure amie a décidé de se taper mon mari ce qui nous a poussé à se suicider. 


Moi : Qu…..oi……quoi ? C’est votre maison comment ? Vous n’êtes même pas une personne vous êtes mort.


Elle : Oui et c’est Nicole qui m’a tuée. Ce n’est que le revers de la médaille. Sortez de ma maison où dorénavant ce sera un enfer pour vous.


Moi : Pourquoi vous n’allez pas régler directement vos différends avec elle dans l’au-delà et vous vous acharnez sur nous ? 


Elle : Assez parler ! Sortez de ma maison sinon prochainement vous verrez de quoi est capable une âme trahie.


Puis elle disparut sur le champ. Figée sur place, la peur me tétanisa au point où je ne pouvais plus bouger ne serait-ce que mes mains. C’est quoi encore cette histoire ? Mais par courage, je réussis à sortir et à courir à toute vitesse jusqu’à la chambre de ma fille Thérèse. 


Moi : Thérèse, Thérèse ! Il y a un démon dans la maison qui me poursuit !


Elle : Han !! (elle se leva de son lit et courut telle une championne olympique dehors avant de se rendre compte que personne ne me suivait). Mais maman ! Où est le démon dont tu parlais ? Tu m’as fichu la trouille pour rien.


Moi : Non, il y a un esprit maléfique dans la maison. Je viens de l’apercevoir dans ma chambre et elle m’a menacé que si nous ne sortions pas de sa maison, ici sera dorénavant un enfer pour nous.


Elle : Sa maison ? Mais de quoi es-tu en train de parler maman ? Tu ne délires pas par hasard ? Maintenant tu vois en personne les démons qui te parlent ? Je crois que tu as besoin de plus de sommeil. La disparition d’Agnès te fait faire des soucis raison pour laquelle tu hallucines sans le savoir.


Moi : Non Thérèse, je te jure que ce n’est pas une hallucination. J’ai bien vu une femme qui se prétend appeler Cutie Mum. 


Elle : Arrête maman, rentrons. Il y a plus de vingt piges que tu habites dans cette maison sans apercevoir un quelconque démon et c’est aujourd’hui qui sera le cas ? Je ne crois pas. Rentrons s’il te plaît.


Moi : Et si elle me tue ? Elle (…)


Moi : Arrête mère. Personne ne va te tuer. (Mon téléphone vibra dans ma poche. Je le sortis et c’est un message provenant d’Agnès.) Regarde, Agnès vient de m’envoyer un message.


Moi : Ah bon ? Et qu’est-ce que ça dit ?


Elle : « Grande sœur, je sais que vous vous faites des soucis pour moi mais je vais bien et je rentrerai bientôt à la maison. Je vous expliquerai tout à mon arrivée. Devine avec qui je suis ; papa ».


Moi : Quoi ? Où a –t-elle trouvé Karl ? Comment peux-t-elle laisser ses études comme ça et suivre son batard de père !


Elle : Calme-toi mère. Personne ne sait ce qui s’est passé. Au contraire moi je suis ravie que rien ne lui est arrivé et elle est saine et sauve. Pour papa, elle nous le dira lorsqu’elle sera là.


Moi : Je connais bien ton père et je n’aimerais pas qu’il l’entraine dans une de ses magouilles.  Vous êtes ce que j’ai de plus cher au monde. Je le tuerai s’il ose lui faire quelque chose.


Elle : Arrête maman, on n’ira pas jusque là j’en suis convaincue. Espérons qu’elle revienne vite reprendre ses études.  Rentrons maintenant.


Moi : Okay.


                                  ****Moi****


Un démon qui nous chasse de chez nous mais ma fille ne me croit pas et Agnès en compagnie de Karl ? Hum, j’espère que ce ne sont plus les débuts de problèmes hein. En tout cas, j’attends bien Agnès ici pour qu’elle vienne me donner des explications.


                                ****Pasteur****


« Que dirons-nous donc à l’égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous ? Qui sera contre nous ? Lui, qui n’a point épargné son propre fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ? Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie ! Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous. »


 Chers amis, voici ce que nous dit Romains 8 verset 31 à 34. Le plus haut des cieux a laissé son seul fils se faire crucifier sur une croix afin que nos immenses péchés soient lavés dans son sang alors, je crois qu’il est capable de nous délivrer de toute sorte de malédictions. Faisons lui confiance. Il est capable de tout parce qu’il est le transcendant, l’omnipotent et l’omniprésent. Si vos prières ne sont pas exaucées au moment convenue, c’est parce qu’il a jugé ce moment inopportun pour vous mais ça ne signifie pas qu’il vous a oublié. Il vous les exaucera au bon moment car ses chemins sont inébranlables. Quiconque croit en lui doit espérer.


L’éternel est un vaillant guerrier, l'éternel est son nom, révèle exode 15:3. Le Dieu d'Israël, l'éternel s'avance comme un héros, témoigne Esaïe 42:13, pour sauver celui qui espère en sa délivrance. Si tu crois en son fils unique Jésus-Christ, tu feras l'expérience de sa toute puissance qui délivre. Car, le père céleste donne la vie éternelle à quiconque qui croit en Jésus-Christ, son fils unique, déclare jean 3:16. Quelles que soient les épreuves, il est écrit dans la bible que le malheur atteint souvent le juste, mais l’éternel l’en délivre toujours, d'après psaume 34:20. Afin que l’enfant de Dieu  rende gloire a son sauveur sur qui repose sa foi.   


Si tu passes actuellement par des temps difficiles, sache que le Dieu vivant a le pouvoir de te délivrer, et te rendre plus que vainqueur en Jésus-Christ notre sauveur qui nous a aimés, déclare romains 8:37. En effet, le fils de Dieu a donné sa vie sur la croix pour le pardon de tous nos péchés, et il est ressuscité pour notre victoire.   


L’éternel dit a celui qui obéit à sa parole : ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante, assure Esaïe 41:10.  Es-tu dans une détresse spirituelle, physique, financière, conjugale ou autre ?  Sache qu'il y a dans les cieux le seigneur Dieu tout-puissant qui sauve quiconque croit en lui, et met en pratique sa parole. Crie à l'éternel au nom de jésus, et il te délivrera de tout mal, comme il l’a fait pour David devant le lion, l'ours, ensuite Goliath le philistin.  


Ainsi, le seigneur Jésus-Christ nous a donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi ; afin que rien ne puisse nous nuire, atteste Luc 10:19. Au nom de jésus sont vaincus le péché, la maladie, la pauvreté, les soucis, et tout ce qui est nuisible à l'enfant de Dieu. Ta délivrance dépend de ta foi, comme ce fut le cas de Bartimee, l’aveugle guéri dans marc 10:52. 


Alors mes chers amis, Remercions  le géant du ciel d’être passé par notre ami Karl pour tous nous sauver des griffes du malfaiteur. Sans ses révélations nous serions déjà pieds sous terre. Le seigneur ne l’a pas voulu raison pour laquelle nous allons tous faire un cercle autour de ces deux jeunes gens (Agnès et William) et leur délivrer de ces esprits maléfiques qui ont pris possession de leurs âmes.  Nous allons primo remercier le seigneur pour le souffle de vie qu’il les a donnés puis ensuite invoquer le sang de Jésus Christ de Nazareth pour la libération de leurs âmes. Sur ce, avancez mes chers amis pour qu’on puisse ensemble sauver ces deux jeunes gens envahis par les forces du mal.


                                ****Florent****


Après avoir remis toutes les preuves accusant Rose à la Police, j’attendis minuit pour sa punition au sein de mon club. Mais un de mes gardes vient de m’informer qu’elle est introuvable. Je me dépêchai sur le champ pour me rendre dans son appart qui se trouvait de l’autre côté du domaine et je remarquai qu’il n’ay a plus aussi ses affaires. Ce n’est pas possible ! Que dirai-je une fois de plus au grand maitre ? Satanée femme ! Tu veux ma mort mais je te trouverai puis tout d’un coup, je sentis quelque chose pénétrer en moi. Mon corps devint sur le champ brûlant et mes veines toutes noires. Putain ! Qu’est-ce qui m’arrive ? J’accourus dans mon appartement et je me mirai. C’est à cet instant que je me rendis compte que les trois serpents blancs que j’ai mis dans le corps d’Agnès ont à présent pris place en moi. Quoi ? Comment es-ce possible ? Que quelqu’un vienne à mon secours. Grand maître…


                                ****Naomi****


Madji là se prend pour qui au juste ? Après m’avoir mise enceinte il croit que je le laisserai coucher avec d’autres femmes sous mon toit ? Il va me sentir tout à l’heure même. Je le rejoignis sur la terrasse. 


Moi : Madji, à qui appartient ce slip de femmes ? A ce que je sache, je n’en ai jamais porté dans cette maison. 


Lui : Je ne sais pas non plus.

 

Moi : Comment ça tu ne sais pas non plus ? Tu couches avec des femmes dans mon dos et pire, tu les amènes ici dans notre maison ? 


Lui : Arrête ce matin avec tes conneries Naomi. Je ne suis pas d’humeur à me disputer encore avec toi.


Moi : Oh que si tu dois m’expliquer ce que cherche ce slip dans la salle de bain sinon tu n’auras pas de paix.


Lui : Naomi s’il te plaît, fiche moi la paix. Je t’ai déjà dit que je ne sais pas d’où ça venait.


Moi : Menteur. Menteur. Tu crois que je suis bête à ce point ? 


Il reçut un message sur son téléphone. Je ne lui laissai même pas le temps de le lire. Je le lui pris de force et je rentrai dans la boîte de réception. C’était bel et bien une femme et c’était écrit « Mon beau Madji. J’ai tellement apprécié nos parties de jambes à l’air de la dernière fois mais je crois avoir oublié mon string dans ta salle de bain. »


Moi : Madji !!! Madji (furieuse) c’est qui cette Abigaël avec qui tu couches dans mon dos et pire dans notre maison ?


Lui : Euh, ce n’est pas ce que tu crois. C’est pour le travail(…)


Moi : Travail mon cul woeh !! Je vais vous tuerrrrrrrrrrrrrrrrr tous les deux !!! Sale don juan.


                              ****Fabrice****


Je ne suis plus parti voir si Cella est sortie du coma ou pas. Alors ce matin comme c’est le week-end, j’ai jugé bon passer prendre ses nouvelles. Pour ce qui est de Channel, je n’ai plus eu de ses nouvelles non plus. J’espère que la prison lui va à merveille ! Je rencontrai Thérèse au rez-de chaussée. Elle venait me rendre visite bien sûr.


Elle : Tu sors ?


Moi : Euh oui mais comme tu es là, je peux le faire plus tard. Je ne savais pas que tu venais ; quelle surprise !


Elle : J’avais envie de changer d’air et aussi te voir. Ma mère ne fait que des crises d’hallucinations depuis qu’Agnès a disparu.


Moi : Je vois. Toujours pas de ses nouvelles ? Viens, entrons.


Elle : Oui, Dieu merci elle m’a envoyé un texto ce matin dans lequel elle me fit savoir qu’elle va bien en compagnie de mon père.


Moi : Ton père ? Bizarre ça.


Elle : Oui, elle dit qu’elle nous expliquera tout à son retour. Au moins je suis un peu soulagée qu’elle aille bien et que rien de grave ne lui est arrivé.


Moi : Oui c’est l’essentiel.


Elle : Mais dis-moi où tu vas très élégant de la sorte ?


Moi : J’allais à l’hôpital prendre les nouvelles de la petite sœur de Channel.


Elle : Okay je vois. Toujours dans le coma ?


Moi : Je ne sais pas raison pour laquelle j’y allais.


Elle : Okay, ça te dérange si on y va ensemble ?


Moi : Non non. Ça me ferait plutôt plaisir.


Elle : Tu es très mignon ce matin. Lève-toi et fermes les yeux. J’ai un cadeau pour toi.


Moi : Ah bon ? Un cadeau ? Que j’aime bien les cadeaux surtout venant de toi.


Je me levai et fermai les yeux comme elle me l’a demandé mais je suis un peu surpris de la sentir passer ses mains autour de ma taille et de poser ses lèvres sur les miennes. On ne s’est jamais embrassé et voilà que pour la première fois, c’est elle-même qui prend l’initiative. Je ne résistai pas une seconde avant de lui céder le passage afin qu’elle puisse y introduire sa langue. Le gout succulent de ses baisers me fit  complètement exciter comme jamais tout en me donnant de l’érection. Elle m’embrassa avec une certaine passion que je me demandai où est-ce qu’elle a appris tout ça. Elle passa ses mains partout sur mon corps et plus tard sur ma ceinture qu’elle desserra. Mon pantalon à terre, je la vis saisir mes testicules et en un rien de temps elle a commencé à les masser puis elle s’agenouilla en saisissant ma machine qui en un rien de temps est devenue dur comme un bâton et commença une petite fellation ; ce qui me fit grimper aux rideaux. J’avoue que je ne la croyais pas capable de ces choses mais elle m’a complètement surpris. Je me retrouvai tétaniser et ma bouche cadenassée de plaisir. Elle enleva ses vêtements et se retrouva en slip.


Elle : Fais-moi l’amour Fabrice. Ça fait longtemps que j’attends ce moment. Je veux que ma première fois soit avec quelqu’un que j’aime vraiment et c’est le cas. Je t’offre ma virginité preuve de mon amour infaillible pour toi.


Moi : Bb, es-tu sûre que c’est que tu veux ?


Elle : Si, je le veux. Fais-de moi ce que tu veux. Mais j’espère ne pas regretter cette décision.


Moi : Ne t’inquiète pas. Tu peux me croire que tu ne regretteras pas. 


Elle : D’accord.


Je la pris dans mes bras jusqu’à la chambre à coucher après avoir soigneusement pris le soin de bien fermer la porte et d’envoyer un texto à Luciano de ne pas vite rentrer. Elle s’allongea sur le dos et je mis un coussin sous sa hanche. Etant sa première fois, je ne voulus pas lui appliquer de différentes positions de kamasutra alors on la joua à la simplicité. Mais avec le coussin sous sa hanche, la pénétration sera plus agréable et je pourrais aussi agripper ses fesses pour rendre la chose plus excitante. 


Je m’assis sur son abdomen en caressant ses cheveux et ses épaules avec tendresse avant de m’allonger complètement sur elle. Mes mains toujours dans ses cheveux, ses yeux se fermèrent lorsque mes lèvres s’approchèrent une seconde fois de la sienne. Je l’embrassai encore et encore avant de saisir ses tétons pointus avec mes incisives et comme un mouvement de rotation je tournai les bouts dans tous les sens. Puis je remontai en lui lécha le cou, l’entre-sein en débouchant sur l’abdomen avant d’atterrir sur sa surface de réparation touffue de gazons bien taillés. Je caressai bien son sexe histoire de le mouiller un peu avant de le lui bien lécher. Elle dandinait dans tous les sens en serrant si fort ma tête dans ses entre-jambes. Lorsque je sentis qu’elle est prête, je mis un préservatif et j’y allai tout doucement jusqu’à ce que le passage ne soit complètement ouvert. Au début, ça lui faisait un peu tordre de douleur mais arrivé à un moment donné, cela disparut. Durant les vas et viens, je lui fis de petits bisous avec tendresse. Mon pubis frottant contre son clitoris, elle me serra très fort gémissant de plaisir contre mon épaule en me mordillant pour étouffer le bruit. Ce qui me fit comprendre que son orgasme est atteint du coup je ralentis le rythme des vas et viens et au bout de quelques minutes, elle me demanda d’accélérer à nouveau. Faisant aussi aller et venir ses hanches sous ma machine, mon orgasme devint aussi imminent. Je m’allongeai sur elle, limitant mes mouvements et la serrai fort dans mes bras. Grâce aux coussins sous sa hanche, elle avait ses fesses surélevées et les rebondissant une minute ou deux m’a fait jouir tout en embrassant sa nuque. Nous sommes restés collés l’un à l’autre en s’endormant plus tard. Inoubliable ; ce moment.


                                ****Gladys****


Comme il veut se foutre de moi, je vais aussi me foutre de lui. Il me connait assez mal ce Kyrielle. Je pris directement un taxi moto et je me rendis chez lui. Ses colocataires me regardaient avec un air bizarre mais je m’en fous complètement de ce qu’ils pensent de moi. Je rentrai dans sa chambre sans même frapper et je tombai sur lui en train de sauter une nana. Quoi !!!! Ce gars là n’a aucun scrupule ni honte ! Après tout ce qui se passe, il se prend encore le plaisir de coucher avec une autre fille ? Je pris place dans son canapé et je les regardai tout droit dans les yeux.


Moi : Non, pourquoi vous vous arrêtez ? Terminez ce que vous avez commencé. Moi j’attendrai ici.


Kyrielle : Gladys, qu’est-ce que tu fais ici ? 


Elle : Kyrielle, c’est qui cette fille là ? Pourquoi elle débarque sur nous sans frapper ?


Moi : Je vous ai dit de terminer ce que vous avez commencé vous êtes sourds ? 


Kyrielle : Non laisse-moi m’occuper de ça. (Se tournant vers Gladys) Ecoute…


Moi : Ne t’approche pas de moi. (Je sortis le pistolet que j’ai volé dans les affaires de mon père qui est militaire et je le pointai sur eux). Je vous ai demandé de continuer ce que vous avez commencé. Sinon vous verrez de quoi je m’échauffe. Toi Kyrielle, tu aimes le sexe n’est-ce pas ? Après m’avoir mise enceinte, tu rejettes ma grossesse et là je te retrouve dans ton lit avec une autre fille ? Tu vas baiser cette fille jusqu’à ce que je t’ordonne de t’arrêter sinon je vous tue tous les deux. On ne se fou pas de moi comme ça.


Elle : Pardon mademoiselle, je n’ai aucune envie de mourir. Je ne savais pas qu’il a une femme. Pitié laissez-moi partir s’il vous plait.


Moi : La ferme ! Couche-toi là bas pour qu’il  te défonce. Gare à toi si tu ouvres encore ta sale gueule pour m’adresser la parole.


Elle : Ok ok.


Kyrielle : Gladys s’il te plaît, on peut trouver un arrangement.


Avant qu’il ne finisse de parler, je tirai une balle dans le mur leur promettant que la deuxième ira dans la tête de l’un d’entre eux s’ils ne m’obéissaient pas.


Kyrielle : Okay Gladys, on va le faire mais s’il te plaît ne tire plus okay ? (se tournant vers Abigaël)  Redresse-toi bien.


Elle : Va te faire foutre toi ! Tu me disais que j’étais la seule et voilà que je me retrouve avec un flingue sur ma tête. Maudit soit le jour où je t’ai rencontré.


                                 ****Rose****


Je ne savais pas que Florent est capable de faire un truc pareil. Il m’a dénoncé à la police et veut ensuite me faire tuer par les membres de sa secte. Maudit soit le jour où je l’ai rencontré. Il va me le payer très cher. Deux hommes s’approchèrent de moi.


Eux : Etes-vous madame Rose ? 


Moi : Oui, y a-t-il un problème ?


Eux : Vous êtes en état d’arrestation madame pour Kidnapping et obstruction à la justice. Suivez-nous s’il vous plaît.


A suivre


Par koffi Olivier HONSOU


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La maison hantée