La maison hantée Saison II Chapitre 22&23
Ecrit par Verdo
Les chroniques de Verdo Lompiol
La force de l'écriture
LA MAISON HANTÉE (Série littéraire)
SAISON II
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****Chapitres 22 & 23 : Le plan (1) ****
*Ville de Tsévié*
****Francine****
S’adressant à Thuram.
Moi : Rachel est passée et elle n’a pas du tout apprécié le fait que je squatte ici.
Lui : Rachel est sortie de prison ? Depuis quand ?
Moi : J’en sais rien du tout. Elle est juste venue prendre ses affaires. J’ai honte de la voir partir de chez elle à cause de moi. Si j’avais une autre alternative, je dégagerai d’ici aussi. Après tout ce que je lui ai infligé comme son amie, c’est normal qu’elle me voie comme une traitresse et je ne supporte pas.
Lui : Je ne savais pas qu’elle sortait de prison. C’est une très bonne nouvelle ça ! Au moins elle est libre et ça me suffit largement. C’est normal qu’elle soit en colère contre toi Francine. Je t’ai mise enceinte bon sang ! Si c’était toi à sa place, que ferais-tu ? Sourire aux belles dents à celle qui t’a trahi qui en plus est ta meilleure amie et confidente ? Non non, reviens sur terre. Rachel ne nous pardonnera pas un truc pareil la connaissant bien. Mais tu es enceinte et tout ce sur qui nous devons nous concentrer maintenant est la santé du bébé même si tout au fond de moi ce n’est pas ce que je désire. On dit souvent que dans la vie, on n’a pas toujours ce qu’on veut et il faut faire avec ce qu’on a ; alors Francine, laisse le temps à Rachel de digérer le fait que nous l’avions trahi d’accord ? Le mal est déjà fait et rien ne pourra changer ça.
Moi : Hum, que j’ai été très impulsive. Sinon rien de cela ne serait jamais arrivé. Si seulement j’avais réussis à contrôler mon désir ce jour là ; je ne te séduirai pas avec ce bon plat.
Lui : Ecoute Francine, je n’ai plus aucune envie de parler de ça okay ? Au fait, on m’a proposé un boulot. La commissaire Amandine m’a recommandé au maire pour le poste de Directeur de la prison. C’est bien rémunéré.
Moi : (Directeur de la prison) (Rires) toi Thuram en train de diriger une prison ? Tu blagues j’espère !
Lui : Ai-je une tête à blaguer ? Non, je suis sérieux.
Moi : je croyais que ces genres de Jobs sont réservés à ceux qui ont fait l’armée. Tu as fait l’armée toi ?
Lui : Eh bien quand on ne sait pas, on se tait (Rires). J’étais dans la marine avant d’être mis à la porte suite à une maladie. Ils ne me pensaient plus récupérer mais par la grâce du tout puissant, j’ai retrouvé ma forme et j’avais décidé de ne plus y retourner après de nombreuses supplications venant de leurs parts. C’est ainsi qu’ils m’ont trouvé le job chez la méchante Rose. Alors, pour ton info, je suis on ne peut plus qualifié pour ce poste.
Moi : Waouh ! Je n’en reviens pas du tout ! Toi un marin ? Quel grade occupais-tu ?
Lui : J’étais aspirant ; officier en formation.
Moi : Je vois. (Rires) mon officier raté.
Lui : Ce n’est pas drôle de te moquer. Ils me verront bientôt les commander dans cette prison. Garde à vous ! Repos !.....
Moi : Donc c’est de cette manière que tu donneras les ordres ? Tu me fais tellement marrer Thuram. Mais je crois que tu y arriveras. Mais n’oublie pas que c’est le lieu où se trouvent tous les criminels de la ville y compris Joseph et Rose.
Lui : Oui, je le sais très bien. Ils sont l’une des raisons pour lesquelles je ne vais pas décliner l’offre.
Moi : Mais fait gaffe okay ? Je n’aimerais pas que mon petit bébé devienne orphelin de père sans même le connaitre.
Lui : Arrête, sois pas pessimiste. Ça n’arrivera pas. C’est pour lui que je dois redonner un sens à ma vie. Si seulement ce Joseph pourrait me payer toutes les atrocités qu’il a commises et cette Rose !
Moi : Ne laisse pas la vengeance de détourner de ton véritable objectif Thuram. Tu viens à peine de dire que c’est à cause du fœtus que tu fais tous ces efforts. Ces hommes sont des criminels et ils purgent déjà leurs peines derrière les barrots alors ne gâche pas une fois de plus ta vie pour cette envie de vengeance. Indirectement, c’est à cause d’eux que tout ceci nous arrive. Si seulement Rose n’avait pas séquestré Rachel… Mais d’une part, nous ne sommes pas bien comportés non plus. Ce qu’il nous faut c’est de faire en sorte que Rachel nous accorde son pardon même si les liens qui nous unissaient autrefois sont déjà brisés.
Lui : Sur ce point, je crois que tu as raison. Je vais sur ce passer le fameux coup de fil et accepter le job. Ces malfrats n’auront plus aucun répit.
Moi : A vos ordres chef ! (Rires)
Lui : Tu sais qu’on peut bien s’entendre toi et moi si nous le désirons ?
Moi Tu crois ?
Lui : Oui. Tu portes mon enfant dans ton ventre. Et je pense qu’il faut qu’on essaie.
Moi : D’accord.
*Prêtre Joseph*
S’adressant à l’un des gardiens de Prison Armel.
Moi : On n’en est où du plan Armel ?
Lui : Tout est okay à mon niveau. Dans trois jours, les hommes que vous avez payés commenceront à creuser le tunnel en bas de votre cellule.
Moi : Parfait. Et dans combien de temps tout sera prêt ?
Lui : quatre jours.
Moi : Donc pour tout résumer, je filerai en douce d’ici dans sept jours.
Lui : Bien sûr que oui si vous parvenez à convaincre votre ami de cellule. Pour qu’il ne vous dénonce pas, pourquoi ne lui proposez-vous pas de s’enfuir ensemble ?
Moi : J’ai déjà essayé plusieurs fois mais ça n’a rien donné. J’ai posé des actes qui ont fait qu’il n’a plus aucune confiance en moi. La seule chose qu’il est prêt à faire pour moi est de m’assassiner si l’occasion le lui permettait.
Lui : Je vois monsieur Joseph. Vous n’êtes donc pas un enfant de cœur malgré que vous soyez un prêtre. Eh bien, j’ai une solution pour vous qui vous coutera un max de fric.
Moi : Laquelle ? Je suis à l’écoute.
Lui : Je peux parler au directeur de la prison pour qu’on lui change de cellule ; comme ça il ne posera plus aucun problème.
Moi : Elle n’est pas mauvaise ton idée mais il se doutera de quelque chose une fois mis à l’écart.
Lui : Ne vous en faites pas, je me chargerai personnellement pour qu’il la ferme. Parlant du fric, quand vais-je recevoir le virement ?
Moi : D’ici vingt quatre heures.
Lui : Parfait.
Moi : J’ai ouie dire que le directeur actuel de la prison a été muté. As-tu une idée sur le nouveau qui arrive ?
Lui : Comment êtes-vous au courant de ça ? Même la plupart des gardes ne le savent pas encore.
Moi : Eh petit, j’ai des yeux et oreilles partout. Alors vaudra mieux pour toi que tu ne me trahisses pas.
Lui : Loin de là monsieur Joseph. Je n’ai aucune intention de vous trahir. Vous me payez un max de thune que durant toutes ces années de travails ne m’ont pas permises d’avoir alors pourquoi vous tourner le dos ? Pour ce qui est du nouveau directeur, je n’en sais pas grand-chose. Tout ce que je sais c’est qu’il faisait parti de la marine.
Moi : Okay, et t’es sûr qu’il ne posera pas de problèmes ?
Lui : Non, Je ne crois pas. Si on s’en tient au plan, il ne se rendra compte de rien vous pouvez me croire monsieur Joseph.
Moi : D’accord. Vous serez très bien récompensé à ma sortie d’ici.
Lui : Merci monsieur.
****Officier Désiré****
Je suis sûr que Joseph a l’intention de se tirer d’ici. Depuis un certain temps, il ne fait que comploter des trucs avec ce gardien. Qu’est-ce qu’ils peuvent bien en train de se dire ? S’il croit que je le laisserai sortir d’ici pour qu’il aille violer et encore tuer des innocents là, qu’il se détrompe sur le champ. Je vais immédiatement demander à voir la commissaire Amandine et lui dire tout ça pour qu’ils prennent des précautions. Cet homme ne doit en aucun cas mettre pied dehors. Il crèvera tout comme moi ici dans cet enfer. Je sais qu’il a du fric et il est capable de soudoyer tout le monde mais pas moi. C’est à cause de lui que je suis en train de moisir ici alors pas question qu’il se tire facilement comme ça !
Le garde qui discutait avec lui s’avança vers moi.
Lui : Qu’est-ce que tu regardes toi ?
Moi : Non rien chef. Je contemplais juste le paysage de cet enfer.
Lui : Crois-tu que je suis facile à duper ? Où est le paysage que tu es en train de contempler ? Ecoute, si tu veux vivre en paix ici dans cette prison, il va falloir que tu restes à ta place sans vouloir farfouiller ton nez partout. Reste à ta place et occupes-toi de tes oignons. C’est compris ?
Moi : Mais chef, je n’ai rien fait de mal ! Est-ce maintenant interdit de contempler la nature ?
Lui : D’ailleurs à qui parles-tu comme ça? Ramasse tes affaires ; je te change de cellule. Tu iras cohabiter avec ce costaud là bas. Comme ça tu sauras qu’il faut la fermer quand il le faut.
Moi : Mais chef, je n’ai rien fait de mal et je me sens bien ici dans ma cellule.
Lui : Je t’ai demandé de pacquer tes affaires et de quitter cette cellule ! Tu es sourd ou quoi ?
Moi : Non, pas question que je bouge d’ici sans avoir parlé au directeur ou à mon avocat. J’ai mes droits et je les connais très bien.
Lui : Ah bon ? Tu as des droits et tu les connais bien ? Dans ce cas, tu verras aussi que moi j’ai des pouvoirs et je peux te faire tout ce que je veux sans que quiconque n’ouvre sa bouche ici. Je compte jusqu’à trois. Si tu ne sors pas de cette cellule, tu verras de quel bois je m’échauffe.
Moi : Je vous ai déjà dit que je ne bougerai pas d’ici sans avoir parlé au directeur ou à mon avocat. Vous croyez que je ne suis pas au courant de ce que vous manigancez tous les deux ?
Lui : Abruti, tu vas la fermer et sortir d’ici ! Putain de merde ! (ouvrant sa grille, je fis signe à d’autres gardes qui étaient sous mes ordres et nous le tabassâmes jusqu’à ce qu’il n’ait plus aucune force puis nous l’amenâmes à l’infirmerie. Je pris soin de ramasser ses affaires et le mettre dans une cellule plus loin.)
C’est désormais là bas que tu resteras après s’être sorti de l’infirmerie.
Moi : Vous n’avez aucun droit de faire un truc pareil. Je vais tous vous traduire en justice satanés gardiens. Vous croyez que je ne suis pas au courant ?
Lui : Tu fais encore la bouche après tous les coups que tu as reçus ? Prochainement je prendrai soin de te massacrer tes dents. Ose dire encore quelque chose et tu verras.
Moi : Je veux parler au directeur, à mon avocat et au commissaire Amandine !
Lui : Va te faire foutre mec. Tu crois donner les ordres ici ? Tu n’auras de visite qu’après huit jours (Rires).
****Armel****
Si ce Désiré pense pouvoir m’empêcher de faire évader Joseph et empocher tout ce fric, il fait fausse route alors. Je lui mènerai la vie dure ici. J’ai déjà plus de dix gardes dans ma poche à qui je filerai que des miettes une fois le travail fait. Donc, qu’il ne vienne pas contrecarrer mes plans sinon je risque moi-même de l’éliminer. Il restera à l’infirmerie pendant huit jours et jusqu’à ce qu’il ne sorte, Joseph sera déjà loin d’ici et les cent millions seront à moi. Gare à lui s’il ose parler à quelqu’un. Les visites même, il ne les aura pas.
****Rachel****
S’adressant à Arsène :
Moi : Tu tiens le coup Arsène ?
Lui : Oui, ça peut aller.
Moi : Je me faisais des soucis pour toi alors j’ai jugé bon passer te voir. En plus je ne savais pas à qui parler.
Lui : Super ça. Alors comment ça va de l’autre côté ?
Moi : Mal. Figures-toi que ma meilleure amie en question habite à présent avec mon fiancé ; Non ex fiancé.
Lui : Je suis désolé pour toi ma chérie. Mais il faut aller de l’avant. Après tout ce que tu as traversé ces derniers temps, ce n’est pas leur sordide idylle qui te fera morfondre. Rends grâce que cela est arrivé tôt et tu t’es vite rendue compte de leurs vrais visages. Les vraies amis et compagnons, c’est quand tu es dans la merde que tu les reconnaitras. A toi maintenant de décider qui reste dans ta vie ou pas.
Moi : Oui je sais et sans te mentir je ne veux plus aucun d’entre les deux. Ni Thuram, ni Francine. J’étais partie ramasser mes affaires et à présent je vis chez ma cousine le temps que je remette de l’ordre dans ma vie.
Lui : Tu as fait le bon choix et je suis content pour toi. Tu mérites comme tout le monde d’avoir une vie stable.
Moi : Toi aussi Arsène. Demain, on verra ce que le juge décidera pour toi.
Lui : Ne t’en fait pas pour moi. J’accepterai tout ce qu’il prendra comme décision me concernant. Je n’ai plus rien à qui je tiens dans ce monde alors s’il décide que j’y reste, je resterai. Ce qui m’a rendu heureux c’est de te voir libre car toi tu ne méritais pas la prison.
Moi : Moi je tiens à toi et tu te battras pour moi d’accord ? Tu étais là quand j’en avais le plus besoin alors je ferai aussi de même pour toi. Pas question que tu baisses les bras. Tu vas te battre Arsène et tu vas t’en sortir tout comme moi ok ?
Lui : Merci pour le soutien.
Moi : A présent je vais devoir te laisser. J’ai un truc à faire.
Lui : D’accord.
Je me rendis à la réception de la prison et je demandai à voir Rose pour juste voir la tête qu’elle ferait.
Moi : Bonjour officier
Lui : Eh Rachel, je ne te reconnais plus du tout. La prison te manque à ce point que tu y viens chaque jour ? (rires)
Moi : Non, au fait j’étais venue voir mon ami Arsène.
Lui : D’accord. Il verra le juge demain si j’ai bonne mémoire.
Moi : Oui c’est ça.
Lui : Espérons qu’il ait les mêmes chances que toi. Il s’est bien comporté tout le temps passé ici.
Moi : Je l’espère aussi officier. Au fond c’est quelqu’un de bien. Mais dis-moi, je pourrais voir Rose ? Celle qui m’avait accusé à tord.
Lui : Au fait non. Je ne crois pas que ça soit possible même si je le voulais. Il y a eu une bagarre hier et elle a été gravement poignardée par une des détenues. Actuellement elle est évacuée au centre hospitalier régional de la ville.
Moi : Han ! A peine elle vient et elle se bagarre déjà ? Cette femme là n’a rien à perdre.
Lui : Je ne te le fais pas dire. Je dois te laisser. Notre nouveau directeur est là donc il nous demande en réunion. Ravi de t’avoir vu Rachel.
Moi : Merci, moi de même.
A peine je fis cinq pas que je vis Thuram en tenue militaire accompagné de plusieurs gardes du corps. Surprise en le voyant, je lui demandai :
Moi : Thuram ? C’est quoi cet accoutrement ? Qu’est-ce que tu fais ici ?
Lui : Rachel ! Je te cherchais partout.
Moi : Ah oui c’est ça ; avec Francine chez toi.
Lui : Ecoute, viens je vais t’expliquer.
Une fois assis.
Lui : J’ai démissionné chez Rose et Amandine m’a filé un coup de main pour décrocher ce boulot.
Moi : Quoi ? Attends, c’est toi le fameux nouveau directeur de la prison dont parle tout le monde ? Je croyais que tu ne voulais plus entendre parler de l’armée !
Lui : Oui mais je suis obligé vu que j’ai plus de travail et pire Francine qui est enceinte de moi.
Moi : Hum…
Lui : Je suis désolé pour ça. Si tu sais à quel point je m’en veux.
Moi : Non, t’inquiète. C’est la vie et ça va passer. Je te souhaite bonne chance dans ta nouvelle carrière. Promets-moi juste une chose. Que tu ne laisseras pas s’échapper Rose et Joseph.
Moi : C’est l’une des raisons pour lesquelles je suis ici. Je te donne ma parole.
Moi: Okay. Je dois maintenant y aller.
Lui : Mais, on n’a pas encore…
Moi : Allez Thuram, je te laisse bosser. A plus.
****Thuram****
Comment ai-je pu laisser filer une si belle femme pour son amie capricieuse ? Mais il va falloir faire avec. Francine est enceinte et Rachel n’acceptera jamais retourner avec moi. Le coup d’un soir a carrément gâché ma vie. Je t’aime Rachel si tu pouvais lire dans mon cœur. Hum.
****Ella****
Ça fait du bien de retrouver son boulot et ses amis. Le seigneur lui-même nous a fait débarrasser du diable qui faisait sombrer la paroisse dans l’obscurité. Il y a un nouveau prêtre qui est venu et je pense lui proposer un projet genre rassembler toutes les femmes et autres personnes à qui Joseph a causées du tord et leur faire des apologises. Il le faut pour redorer l’image de notre paroisse. Honorine reprendra aussi son travail.
Il a essayé de nous ôter la vie mais il n’a pas pu car le seigneur lui-même a sa main mise sur nous.
****Thierno****
Je ne fais que faire des rêves à propos de Joseph ces temps ci ; sur ses évasions et tout. Prépare-t-il quelque chose ? Je dois en parler à Johannita et ensemble nous irons voir le commissaire pour faire de petites investigations. Pas question que cet homme s’échappe de prison. Il se vengera sur toutes ces personnes et je serai le premier sur sa liste.
*Village de Zogbédji*
****Avélie****
Depuis que ces femmes m’ont fait tuer mon fils, elles ne me proposent rien pour finir avec Nick et sa famille. J’ai ouïe dire qu’il est déjà parti en ville. Tout ça pour rien ! J’ai tué mon propre enfant pour quels résultats ? Hum, si seulement je m’étais rendue compte qu’elles se servaient juste de moi, je n’allais pas le tuer. Mon Emmanuel. Parti sous les coups de ma propre dague.
****Dovaldo****
A peine mon fils parti que l’autre meurt. Hum, qu’ai-je fait au bon Dieu pour qu’il m’arrache Emmanuel ? Même s’il me donne du fil à retordre parfois, je l’aime. C’est mon fils et il ne devrait pas mourir de cette façon. Jusqu’à présent personne ne sait ce qui s’est passé mais je ne tarderai pas à le découvrir moi-même. Emmanuel, je sais que tu n’es pas mort naturellement et je trouverai ton assassin. Il doit me le payer ! Je te le jure. Repose en paix fils ; sang de mon sang.
A suivre
Koffi Olivier HONSOU
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