L’ACCORD 1

Ecrit par Lari93

Annabelle Tanoh

Il est 08h, quand je me lève.

Je repense à la soirée d’hier et je n’en reviens toujours pas j’étais à deux doigt de lui céder.

Et j’avoue que c’est très difficile de lui résister, il est beau à craquer.

J’arrête de rêver de mon beau patron et je file m’apprêter pour rejoindre les autres pour le boulot.

Notre matinée de travail s’est bien déroulé.

J’ai proposé de magnifiques idées pour l’élaboration du book de l’hôtel avec des plans visuels pour la campagne publicitaire.

Il faut dire que, J’admirais l’implication de Charles dans le travail.

 Il avait une vision très précise de ce qu’il attendait comme résultats.

Charles Emmanuel avait annoncé à son directeur des achats qu’il effectuera la visite chez les concurrents qu’avec moi.

Je ne sais quoi penser, mais j’imagine qu’il a d’autres idées dans la tête.

La séance s’était tellement bien déroulé que nous avions pu anticiper sur les activités de l’après-midi, donnant ainsi à tous du temps libre pour profiter aisément du séjour.

On avait décidé de mettre à la disposition de l’hôtel de nouvelles navettes haut standing pour récupérer les clients de l’aéroport de San Pedro à l’hôtel.

De signer un partenariat avec l’unique compagnie aérienne national dans laquelle le groupe DASILVIERA détenais des parts, afin d’obtenir pour des tarifs préférentiels pour des clients ayant réservé à l’hôtel.

Deux yachts allaient être mis à la disposition de l’hôtel pour favoriser les ballades sur la baie.

Des jets ski, canoé et planche à voile feront partie des nouvelles attractions.

Les travaux de restaurations et réaménagements se feront en 90 jours.

Et l’hôtel sera fermé durant cette période.

Nous avons déjeuner ensemble, Charles Emmanuel avait remercié tout un chacun pour sa disponibilité et son implication en plus d’exigé de moi le rapport de mission pour mercredi prochain à son bureau avant de se retirer.

Après son départ, je m’excuse auprès des autres et retourne à ma chambre me changer vite fait. J’avais envie de me baigner dans les magnifiques eux au turquoise de cette côte.

Maillot deux pièces enfilé, je mets un short par-dessus avec un t-shirt transparent, sandale aux pieds, je récupère mon sac de plage avec tous les éléments dont j’ai besoins direction la plage.

Grand bereby est magnifique.

Je ne sais où commencer pour vous décrire la beauté de cet endroit, je vous invite à y faire un tour.

Au bout de trois heures de pure détente j’étais de retour à ma suite.

Je suis allongée dans mon lit en peignoir naturellement sans rien en dessous lorsqu’ on toqua à la porte.

J’ouvre et c’est Charles devant la porte.

Charles-Emmanuel : puis je entrer ?

Moi : oui bien sur

Charles-Emmanuel : selon ce que j’ai appris tu as profité de ton après-midi.

Moi : tu me surveille ?

Charles-Emmanuel : je suis toujours bien renseigné (rire).

Bref à l’avenir évite d’exposer ton corps aux yeux de tous ton bikini était trop sexy pour une jeune demoiselle seule sur à la plage.

Dans 1 h, Nous irons dans résidence privée à quelque kilomètre d’ici.

J’ai visité tout seul la concurrence cet après-midi. Et j’ai d’autres plans pour nous ce soir, je t’attends fait tes valises. Il s’assis sur mon lit et manipule son téléphone.

Il avait vraiment tout planifié ceux lui là. Je n’avais pas les mots.

J’n’eut d’autre choix que de faire mes valises.

Nous avions quitté l’hôtel après avoir dit au revoir à la direction et toute son équipe pour atterrir dans une magnifique villa à quelle que kilomètre plus loin toujours escorter par les membres de sa sécurité.

Ils étaient tellement discrets qu’ont les remarquait à peine.

La maison était somptueuse avec piscine et accès direct à la plage la vue était à couper le souffle.

Elle appartenait à un couple de français, qui aujourd’hui hors du pays, la mettait en location à des clients très prestigieux.

Mais Charles-Emmanuel m’a confié son intention d’acheter cette maison car les propriétaires ne comptaient plus revenir en Afrique.

Le personnel pris en charge nos valises.

J’ai soudainement envie de m’assoir au bord de la plage et admirer l’arrivée du coucher de soleil, Charles vint avec moi.

On marcha quelques minutes en silence avant de prendre place sur le doux sable fin de cette plage.

Moi : Pourquoi tout ceci ?

Charles-Emmanuel : Quoi ?

Moi : Pourquoi avoir organisé tout ce voyage, cette mission ? On n’avait pas vraiment besoin d’être le surtout toi.

Charles-Emmanuel : Tu crois ? je suis très pointu dans tout ce que je fais.

Je sais tout ce qui se passe dans mes entreprises le coût de revient de chaque produit ou services.

Plus je m’imprègne du travail, plus je suis inspiré à faire mieux.

Mais c’est vrai ce voyage n’était pas nécessaire.

Je te l’ai déjà dit j’avais besoin de réponses et pour ce faire il me fallait ce prétexte.

Je devais savoir qui tu étais véritablement, bien avant notre rencontre au club.

Tu sais lors de la cession de l’hôtel, ma responsable RH Groupe m’avait proposé ton CV en vue de remplacer mon directeur commercial et marketing GROUPE.

Mais j’avais besoin de te connaitre au préalable et il y a tout ceci la réunion, la découverte de tes activité nocturne (rires).

A notre première rencontre, tu n’avais mis hors de moins, aujourd’hui je crois que ton habitude était dû au fait que tu m’avais déjà reconnu et que tu avais peur.

Ensuite les choses se sont succédé et j’ai jugé bon d’en savoir un peu plus avant de te proposer le poste.

Moi : Et maintenant, tu me propose toujours le poste ?

Charles-Emmanuel : Tu une femme très talentueuse et Agathe ma responsable RH te fera une offre dès lundi, tu libre de ton choix. Aussi ta décision n’aura aucun impact sur ta fonction actuelle.

Moi : Et quand là tu décidé ?

Charles-Emmanuel : Ce matin. Peu importe la nature qu’aura notre relation, le travail reste le travail.

Moi : Ok. Tu sais j’ai pensé que tu désirais assouvir le besoin de coucher avec la danseuse.

Charles-Emmanuel : j’avoue que cela m’a traversé l’esprit lors de notre premier diner ici. Ta tenue était très provocatrice mais je me suis très vite ressaisi.

Annabelle tu es une belle âme, je pense et j’ai envie de faire partie de ta vie.

Nous sommes restés, assis à admirer le coucher de soleil, c’est beau.

Moi : Merci Charles, on peut rentrer je commence à prendre froid.

Il m’aide à me relever et Nous regagnons la villa.

La chambre principale m’avait été attribuer, elle était divine et avais une vue magnifique sur la plage.

Après une bonne douche et m’être vêtu d’une robe longue et moulante, je retrouver Charles Emmanuel au salon pour le diner.

Le chef c’est surpassé le diner était majestueux.

Nous avons diné dans une bonne ambiance, et échanger longuement. J’ai pris beaucoup chose sur lui sur ses parents et ses petites cousines (Les jumelles) qu’il adorait plus que tout. Sur LYAAH aussi, la jeune dame qui lui tenait compagnie au club.

Je lui parle aussi de ma famille, mon père, mes frères et qu’il a le même âge que Andrew le dernier soldat.

Après le dine, nous avons pris place dans le divan, tout en continuant nos échanges.

J’ai retiré mes chaussures, pour m’y allonger et j’ai posé ma tête sur ses cuisses.

Charles-Emmanuel : ça fait du bien d’être avec toi.

Moi : Sentiments partagé.

 

Il commença à m embrasser et je lui ne résistais pas.

Il faut dire que j’en mourrais d’envie.

La veille j’ai voulu respecter mon engagement de ne rien faire avec ce type.

Me je craque, j’en peux plus.

Charles-Emmanuel DASLIVIERA

Cette fois ci je sens que je ne serais pas jeté comme un mal propre.

Elle est plus tactile et j’adore.

Je la soulève, afin que nous regagnions la chambre principale.

Je la dépose délicatement sur le lit, pour reprendre ses douces lèvres.

Je lâche ses lèvres, pour parcourir son corps de baisé. Annabelle est divine, je ne sais pas combien de fois je l’ai dit depuis mais elle l’est.

Je lui enlève délicatement sa robe pour laisser apparaitre ses deux magnifiques paires de seins bien rebondi et ferme.

Je prends le temps de les admirer. De l’autre main je vais à la découverte de son intimité avant de prendre délicatement l’un après l’autre chaque sein dans la bouche.

Après un long moment de préliminaire on est tous les deux nus dans ce spacieux lit.

Je parcours encore de baiser son splendide corps pour achever ma course au cœur de sa grotte.

Elle a bon gout, j’entreprends un cunnilingus qui la fait tressaillir de tout son corps elle ne tarde pas à jouir.

Annabelle était magnifique, elle a un corps parfait, teint marron magnifique, tout comme je l’imaginais.

Je la pénètre délicatement, elle est tellement bien serre que j’ai l’impression qu’elle a été faite uniquement pour le petit Charles pas si petit que ça.

J’en avais une grosse comme le disait souvent LYAAH et de se cote la nature n’a bien gâté.

Et pour ne pas lui faire mal j’allais tout en douceur, le temps qu’elle s’adapte à mon engin.

Annabelle gémissait de plus belle, ce qui m’existe encore plus j’accélère la cadence, mes va et viens en elle était plus intenses. Je la positionne en levrette et la chevauche comme un malade, ses fesses humm.  

Moi : Tu es à moi Anna ! Tu me rends fou mon BB.

Annabelle : Continue BB.

Je fini par m’éteindre en elle dans un bon missionnaire très intense.

Cette fille me tue, j’ai connu plusieurs femmes mais ça fille là c’est une pépite.

Elle aussi avait pris son pied je pense avoir été à la hauteur de ses attentes.

Pas besoin de faire un kamasoutra pour dire qu’on a eu le meilleur des rapports sexuelles.

Mais je pense que c’est plutôt l’alchimie et le ressentie qu’il y a entre les partenaires.

Elle s’est enroulée dans mes bras, me fait un dernier baissé avant de s’endormir.

Je n’ai tardé à en faire autant, j’étais crevée.

Annabelle ou Trisha