>> NADIA << Acte 6
Ecrit par chrochro241
*** NADIA ***
D’après la chronique « C’EST NOËL ! », déjà parue.
ACTE 6
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NADIA <<
Je pars de la salle à manger en tortillant mon bodje comme à
chaque fois que je marche avec mes chaussures à talons haut en faisant le
service. J’arrive au WC où tout est propre et bien rangé, ça sent la propreté.
Je m’assois sur la cuvette du WC puis j’attends que le temps passe, en espérant
pouvoir calmer mes envies ou plutôt mes pulsions sexuelles qui se sont réveillée
quand je dansais la kizomba.
Durant cette danse j’étais moins d’imaginer ce qui se
passerait. J’ai subi malgré moi des pressions involontaires contre mon bas
ventre de la cuisse de mon cavalier. Cette cuisse s’immisçait savamment entre les
miennes, se frottant ensuite au passage sur ma fente. Et comme je ne portais
pas de petite culotte au point d’être à poil sous la jupe, ces pressions et frottements
m’émoustillèrent fortement et m’ont donné une folle envie de jouir.
Une, deux puis trois minutes qui passent pendant que je suis
assis à ne rien faire, attendant que mon état second se dissipe dans mon être
en même temps que mon envie de jouir. Mais je suis toujours dans cet état
d’esprit.
Finalement je m’essuie juste la fente et tire la chasse
d’eau avant de sortir et me laver les mains.
Je passe à la cuisine pour demander aux cuisiniers quoi
faire, maintenant que j’ai servi le dessert. On dit de commencer à débarrasser
les tables et ramener les choses en cuisine puis ma tâche sera terminée après
le nettoyage. Je m’exécute.
De retour à la salle à manger du réfectoire, je m’active et
n’accorde d’attention aux hommes présents. Peu à peu, je vide les tables de
leur contenu tandis que les occupants commencent à s’en aller. Je charge la
table roulantes des verres, des assiettes, des plats vide, des fourchettes
et couteaux de table que je ramené à la
cuisine en faisant plusieurs va et vient.
Je fais la
vaisselle pendant que l’un des cuisiniers m’aide en rangeant au fur à mesure
tout ce que je lave et rince.
La vaisselle
fini, je vais prendre mon téléphone rangé dans mon sac pour appeler Mr Louembet
aka Jeremy. Je lui dis que j’ai terminé ici, il me dit être sorti du site pour
revenir en ville. Il m’assure qu’il se met en route pour le site dans les
minutes qui suivent pour venir me chercher.
Je coupe
l’appel et vais m’asseoir sur une chaise à la cuisine. On me propose à boire,
ce que je ne refuse pas. J’entame la bouteille de champagne qui restait après
le repas. Je bois en discutant avec les deux cuisiniers. J’apprends qu’ils sont
des étrangers, venus du Sénégal pour tenter leur chance de trouver du travail
ici au Gabon.
Je ne suis pas
surprise voir qu’ils travaillent au réfectoire du site pétrolier en qualité de cuisiniers
parce que les maliens et les sénégalais sont de bons cuisiniers. Ils sont nombreux
à avoir ouvert des cafétérias et des restaurant où il propose des plats dont
notamment le fameux « Tchièp » aka le « riz à la tomate
préparé à la sénégalaise ». Le Tchièp est couramment appelé - riz
sénégalais -, il est très apprécié dans les cafèterait où il est servi à
midi. J’ai déjà eu le plaisir de manger quelques fois. C’est d’ailleurs ce riz qui
fut préparé pour le repas que j’ai servi.
Je discute
avec Seydou et Diallo, les deux cuisiner. Diallo est le chef de la cuisine et
Salir est son assistant. Pendant qu’on discute de tout et de rien, je bois mon
verre par petites gorgées puis me ressert à boire chaque fois que mon verre est
vidé. J’enchaine les verres et bois avec plaisir et en profite car n’est pas
tous les jours que je peux picoler.
A un moment
je suis seul dans mon coin entrain de somnoler, pendant que Seydou et Diallo
sont occupé à faire je ne sais trop quoi. Une envie
d’uriner m'oblige à devoir aller aux toilettes toute suite. Je me lève et me
sens prise de vertige. Je m’agrippe à la chaise pour ne pas tomber. Je réalise que je suis ivre après avoir
trop enchainé les verres.
Je tire à peine sur ma jupe arrivée aux fesses.
Marchant en titubant et somnolant un peu, je longe les murs jusqu’à la pièce
commune des sanitaires. J’y trouve Diallo est en train de se laver les mains
dans le lavabo.
- Nadia te sens pas bien, on dirait.
- Je suis un peu ivre et je commence voir trouble.
dis-je en souriant.
- Donc ton état n'est pas bien grave.
- Heureusement ! dis-je en souriant.
Je souris et passe à côté de lui. Il en profite pour
me bloquer et me regarder en face.
- Euh… il y a un problème ? dis-je interloquée.
- Pas du tout !
Je pousse léger soupir de soulagement avant de
sourire.
- Pourquoi vous fixer comme ça ? dis-je en souriant.
Il sourit d’abord avant de me répondre.
- On t’a déjà dit que tu es superbe dans ce costume de
noël ?
Flattée, j’acquiesce et remercie l'homme de ce gentil
compliment qui va droit au coeur.
- Puis-je te faire une bise sur la joue ?
- Bien sûr !
Sous prétexte de me poser une bise sur la joue, il
m'attrape par la taille et me rapproche de lui. Je le repousse que je suis un
peu surprise par son geste. Il couvre soudain mes joues de petits bisous, chose
qui me fait sourire. Je ne réagis pas, je laisse faire et me content sourire.
J'ai fermé les yeux et me suis appuyée sur le mur de
crainte de perdre mon équilibre plutôt mis à mal par l'alcool qui donne le
vertige. Petit à petit, ses petits bisous se rapprochent de la commissure de mes
lèvres pour continuer directement sur celles-ci.
Ses petits bisous se font de plus en plus pressants. Il
colle sa bouche contre la mienne et m’embrasse lentement, suçant doucement le
bout de mes lèvres. Il enfonce d'autorité sa langue dans ma bouche et va
chercher ma langue qui lui répond et se mélange avec la sienne dans un
langoureux baiser.
Il passe vite une main sous la jupe et l'autre sur les
seins au travers du tissu de mon haut. Il malaxe longuement mes fesses avant de
caresser ma fente par derrière et y introduire son doigt entre les lèvres qu'il
a doucement écartées avec des doigts afin de titiller le clito.
Sentant le désir naitre et monter en moi, je me laisse
aller à ses caresses et son baiser. Je sens soudain mon urine qui menace de
sortir, je bloque vite ce flux de pisse et repousse Diallo pour m'échapper de son
étreinte puis j’entre rapidement dans le WC.
Je ferme vite la porte du WC en entrant rapidement. Je
m'assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la cuvette du WC en soulevant vite
ma jupe avant d’ouvrir les vannes. Heureusement que je suis sans petite culotte
et à poil sous la jupe sinon deux secondes de plus, le temps de la descendre,
je me serai fait pipi dessus.
Je fais mon petit besoin en poussant un soupir de
soulagement et de plaisir. Je profite malgré tout de ce moment d'intimité pour
me remettre de mes émotions suite aux baisers et aux caresses suggestives de Diallo.
Je réajuste mes seins libre dans les bonnets du haut
de mon costume de mère noël. Diallo les a vigoureusement pétrir et les bouts
pointent à travers du tissu qui les enveloppent. Mon haut a un grand décolleté
plongeant et s’ouvrant sur le creux de mes gros mamelons. Ceci explique aussi
les nombreux regards des hommes sur ma poitrine durant tout l'apéritif, le
repas et le dessert.
Je m’essuie la fente et me lève puis tire la chasse
d’eau quand j’ai fini d’uriner. Je sors à peine du WC et retrouve Diallo dans
la pièce commune des sanitaires pour me laver les mains. Il m’attendait
visiblement.
Je sens mon ventre se creuser avant que toute la
pression dedans remonte subitement vers ma bouche. Je me penche sur le côté et
vomis d’un coup sur le sol.
- Hou lala !
- Pardon pour les vomis ! Je ne me sens pas bien.
dis-je !
- Je vois ça ! Tu es bourré (ivre) !
- Je ne suis pas bourré… enfin juste un peu !
- Il ne faut
pas laisser cet endroit dans cet état. dit-il sèchement.
- Vous avez ici serpillière pour essuyer ?
- Prenez le papier essuie-mains, que vous voyez là!
Je m’exécute, prenant le papier essuie-mains réservé
pour essuyer les mains après les avoir lavés en sortant du WC. Et me voilà d’abord
accroupie puis à genoux et ensuite à quatre pattes en train d'essuyer mes vomis
à l’aide du papier essuie-mains.
Pendant ce temps, Diallo se met à côté de moi et
s'accroupit. Il me regarde essuyer délicatement le sol. Je sens ma jupe qu’on
remonte sur ma croupe et me caresse l’arrière train. Des doigts s’insinuent jusqu'à
la fente de mon sexe qu'il caresse.
N’y voyant pas d’inconvenants à ses attouchements sur
mes parties intimes, je laisse la main inquisitrice mener ses opérations
d’inspection et d‘exploration. Des d joue avec mon clitoris et introduit à
nouveau quelques doigts dans ma fente.
Je sens mon sexe devenir humide et j'écarte les jambes
machinalement, tout en finissant d'éponger mes vomis et d’essuyer les traces
sur le sol. Je sens les grosses phalanges des deux doigts me pénétrer comme un
sexe qui s’enfonce profondément dans ma chatte humide.
A l’intromission des doigts, je retiens bruyamment mon
souffle et me mord la lèvre inférieure. Je tremble de plaisir en recevant les
doigts dans mon ventre qui se contracte alors que mes parois sont écartelées par
les deux qui se sont frayés un chemin pour aller aussi loin que possible.
Je prends appui sur mes coudes alors qu’il me doigte
avec douceur au départ. C’est si bon, que je passe ma langue sur mes
lèvres. Les doigts se bougent plus rapidement, en entrant et sortant de ma
fente mouillée.
Mes fesses sont presqu’en l’air alors la paume de la main
de Diallo tape violemment contre mon fessier pour que les doigts entrent le
plus profondément possible et se bougent encore et toujours plus
rapidement.
Pendant un bon moment, je subis dans cette posture un
pilonnage en règle. Les doigts bougeant en moi me font du bien. Les doigts se
retirent, me laissant dans un état second avec une sensation de vide, de
manque, et d’inachevé. Je reste quelques secondes toujours positionnée à 4
pattes pour reprendre mes esprits. Je me tourne vers Diallo, m’asseyant à même
le sol sur ma fesse gauche.
Je me fige en voyant son érection dévoilant une bite longue,
noire, grosse, tendue, et d’une vigueur effrayante. Je surpris par la taille
imposant de ce pipi qui ferait fuir une fille qui baise déjà avec les hommes.
J’ai entendu dire que les sénégalais ont des bites hors norme dépassant la
moyenne. Là j’ai la confirmation que ce n’est pas des histoires.
Diallo enfilait un préservatif au moment où je me suis
tourné vers lui. Il me tient par la taille et m’oblige à me retourner pour me
remettre à 4 pattes. Un peu anxieuse, je m’exécute quand même. Il se met à
genoux derrière moi.
Malgré mon angoisse, je reste sereine. Il frotte son
gros gland de haut en bas et, vice-versa, le long de ma fente. Ce geste apaise
un peu et m’émoustille. Mes grandes lèvres s’ouvrent sous la pression du gland
qui s’apprête à se glisser en entre elles.
La sonnerie de mon téléphone m’interpelle. Je regarde
l’écran et vois que c’est un appel entrant de Jeremy. Au même instant, je sens
le gland se frotter contre la raie entre mes fesses avant qu’il se présente mon
petit trou et se frotte dessus, m’arrachant un léger soupir.
Mon téléphone continue de sonner. J’aimerais décrocher
mais je ne peux pas le faire dans cette posture. Je décide de me lever pour
avant de décrocher. Une main se pose sur mon dos et appuie sur mon dos, me
forçant du coup à me repositionnée à 4 pattes.
La seconde d’après, je sens le gros gland faire son
entrée dans ma fente, écartant mes lèvres et forçant en m’écartelant. Je réalise
tout à coup ce qu’il s'apprête à me faire. Je suis partagée entre l’envie de me
laisser prendre ou répondre à cet appel de Jeremy.
Vu mon téléphone qui sonne avec insistance, je choisis
de répondre. Je me relève d'un bond malgré mon état second pour abandonner la
pénétration. Je marche sortir de la pièce commune des toilettes afin répondre
plus loin au calme mais Diallo me rattrape et ne laisse le temps de sortir.
- Mais laisse-moi ! J’ai un appel ! Je dois
répondre !
Je parle et tente de le repousser. Il me retourne de force
et me tient fermement par les cheveux, ce qui me fait mal d’un coup. Je lâche
mon téléphone tombe au sol et cesse de sonner. Je pousse un cri de surprise et
de douleur puis tente d’attraper sa main pour me libérer. Il me somme de taire
alors qu’il tire encore plus mes cheveux.
Je serre les dents en supportant la douleur provoquée
par mes cheveux qu’il tire en arrière. Sans lâcher les cheveux, il me conduit
vers le lavabo. Il place mon bassin contre le lavabo et me force à me pencher
en avant.
Il passe une jambe entre les miennes par derrière et
s’en sert pour me faire ouvrir les jambes. Il remonte ma jupe d’un geste vif
avec sa main libre dont il se sert ensuite pour placer son gland que sur l'entrée
de ma fente puis s’introduit dans mon sexe.
Alors que je veux lutter pour me libérer, il me
pénètre de toute sa longueur et s’enfonce en moi jusqu’au fond. Je tressaillis,
et pousse un cri de douleur lorsqu’il s’enfonce dans ma fente en forçant
l’entré vers mon ventre.
Je crie mais mon cri est vite étouffé par la main
libre de mon bourreau qui a aussitôt commencé à me sauter, me culbutant avec
vigueur. J’écarte les jambes instinctivement et envoie ma main droite par
derrière pour tenter de stopper la poussée du bassin de Diallo qui me fait ça
dur. Mon geste de main est vain et ses coups de reins redoublent force et de
vitesse.
Résignée, et dominée, je cesse de crier désespérément car
c’est inutile avec la main plaquée sur ma bouche. Je laisse mon involontaire
amant me baiser comme il veut. C’est tout ce que peux faire. Je ferme les yeux
et les serre très fort. Je m’abandonne et laisse sauter sauvagement.
Je me fais limer par des va et vient rapides. Ma
chatte est déjà bien mouillée, alors que j’encaisse tous les coups de butoirs
qui s’enchainent à une vitesse folle. Une douce chaleur nait dans mon ventre
prit d’assaut par la virilité de mon amant qui me baise comme un fou furieux.
Heureusement qu’il a sa main sur sa plaquée sur ma bouche sinon on m’entendrait
geindre.
Le désir de jouir monte et grandit en moi. Mes hanches
bougent instinctivement et vont à la rencontre de la bite qui me défonce la
foufoune. J’entends le bruit étouffé de la pénétration qui fait sous mes
fesses.
Toute cette situation est étrange tandis que cette bite qui va et vient en moi
me dépasse. Il rentre en moi en une fraction de seconde pour presque en
ressortir en une autre fraction de seconde avant d’être déjà immiscé en moi
jusqu’à la garde. C’est fou cette façon qu’il a de me sauter.
Je sens Diallo bien profondément. Mon corps tremble brusquement
d’un orgasme violent venu du tréfonds de mon être. Simultanément, Diallo continue
à me pénétrer à coups rapides. Je jouis à nouveau en criant, incapable de me
retenir. L’orgasme est venu de loin avant de se propager partout dans mon corps
en vague de plaisir.
Cela m’a tellement plu de jouir deux fois de suite,
que je bouge les hanches car je veux encore jouir. Je pousse ma croupe en
arrière pour venir davantage à la rencontre de la grosse queue chaude qui défonce
ma foufoune rapidement et profondément.
Le sexe dur se retire brusquement de ma chatte. Je
souffle et baisse la tête pour essayer de retrouver mes sens. Mais Diallo
s’éloigne à peine et prend de nouveau pris possession de ma fente en me
pénétrant de nouveau. Son mouvement d’entrée est lent cette fois-ci. Cela me
donne un peu le temps pour sentir chaque centimètre de son imposant pipi entrant
dans ma petite fente s’élargie pour le recevoir.
Quand il bouge lentement en moi, par va et vient, je
frissonne de plaisir. Mon ventre se contracte et je jouis de nouveau après
seulement quelques va et vient après. J’ai l’impression de me vider dans la
jouissance, tellement mon corps fini affaiblit.
Diallo me pénètre par des coups de reins, tantôt
rapides, tantôt lents. On dirait qu’il joue avec mes pauvres nerfs. Je subis
les coups changeants de rythme, tout en geignant de plaisir. Le goût est devenu
maître de mon être et est ma raison de vivre en ce moment.
La pénétration est tellement lente et envoûtante que
j’oublie tout autour moi. Mes pensées sont concentrées autour de cette bonne bite
qui bouge en moi, remplissant mon ventre de sa présence et de sa chaleur. Cela me
donne tant de plaisir que je ne veux pas qu’il sort de moi.
Diallo se remet à me pénétrer à fond, son sexe se bouge en moi rapidement
jusqu’à ce que la jouissance m’emporte. A peine remise de mes émotions, je
tends maintenant ma croupe vers lui pour qu'il m'enfonce sa grosse queue au
plus profond de mon intimité.
Je suis surexcité pendant qu’il défonce mon minou à
grands coups de reins. Il me baise à cheval, frénétiquement, sans pitié. C'est
brutal et bestial ! A chaque coup de butoir, sa grosse queue de sénégalais
entre violement dans ma foufoune et me laboure le vagin sur son passage dans un
frottement intense sur mes parois.
Pendant qu’il va et vient dans mon minou, je resserre
mes cuisses afin de mieux sentir ma chatte se refermer sur son sexe en
mouvement. Après quelques secondes, dans un dernier coup, je le sens jouir dans
la capote. Je recule encore un peu afin de bien sentir sa chaude queue dans mon
vagin avant qu’il se retire.
Soulagé, il me lâche et va retirer la capote dans le
WC. Il sort et vient prendre du papier essuie-mains à côté du lavabo pour
essuyer son sexe qui ramollit à vue d’œil. Il retourne au WC et j’entends
ensuite la chasse d’eau qui suppose qu’il a jette le papier et préso dans la
cuvette WC avant de tirer l’eau.
Il ressort en remettant son sexe dans son pantalon puis
s’en va, me laissant haletant et pantelante sur me lavabo avec la fente
dégoulinante de son sperme. C’est en restant débout, les jambes tremblantes,
les mains appuyée sur le lavabo, les fesses à l'air, la fente trempée, que je
réalise la gravité de la situation.
Je n’arrive pas y à croire que je viens de me faire violer,
pourtant je suis consciente de ce qu’il s’est passé. Le pire est que j’ai aimé
ça comme ce n’était pas du viol mais une bonne baise librement consentie. Je
dois dire que j’ai vraiment pris mon pied. C’est ça qui me choque le plus dans
tout ça.
Je secoue la tête de dépit avant d’essuyer mon sexe avec
du papier essuie-mains. Je réajuste ma jupe et sors après avoir ramassé mon
téléphone au sol. Je sors des toilettes le plus rapidement possible pour aller
au vestiaire afin de me changer.
Je marche vers la porte de sortie, en sentant un peu
le vertige due l’alcool. J’arrive à la cuisine où je dois passer pour aller au vestiaire.
Là je trouve Diallo, Seydou et 3 hommes qui semblent travailler sur le site vu
leur combinaison de travail qu’ils portent sur eux.
Les 5 hommes buvaient et mon arrivée il se sont tous
retournés vers moi. C'est alors que l'un des 5 hommes, un gars que je crois
avoir vu durant le repas, m'interpelle joyeusement et me cloue sur place.
- Ah ! Nadia ! Viens un peu ici !
- ….
A SUIVRE !