Partie 2

Ecrit par Jordan

J’arrange ma blouse et m’élance dans le couloir en direction de sa chambre. Arrivée devant la porte je suis paralysé je ne peux faire un pas de plus. L’homme que je désire est derrière cette porte et je sais qu’il me désire tout autant. Après cinq minutes de réflexion, je pousse la porte et j’entre, cette fois il est pratiquement tout nu il n’a qu’un boxer sur les hanches tenant son pyjama dans une main. Sans comprendre ce qui m’arrivait je me suis retourné pour verrouiller la porte derrière moi quand je lui fis face à nouveau, il n’avait pas bougé d’un poil et m’observait avec une telle intensité que je fus obligé de baisser les yeux

-        Que fais-tu ma petite Marlie ? Dit-il avec une douceur et un calme troublant et presque frustrant.

-        Euhhh…je ne le sais pas moi-même ! Qu’est-ce que je raconte je suis là pour coucher avec toi ça ne se voit pas ? Pensais-je !

-        Tu ne le sais pas ? Si tu n’as donc rien à me dire je te prierai donc de m’excuser, mais je m’apprêtais à me mettre au lit. A moins que tu sois venu pour ce à quoi je pense ? Ces derniers mots sont accompagnés d’un léger sourire en coin et d’un regard interrogateur.

-        Ken vous savez pourquoi je suis là ne me forcer pas à le dire ! Les mots étaient sortis d’eux-mêmes.

-        Je rêve ou vous avez prononcé mon prénom ? Et que suis-je censé savoir ? Son sourire se précise et mon corps se crispe et des papillons prennent leurs envolent dans mon bas ventre en devinant ses pensées perverses.

N’y tenant plus je m’approche de lui en le regardant droit dans les yeux. Faisant abstraction de ma gêne je viens me placer en face de lui. Je suis obligé de lever les yeux pour le regarder vu qu’il est plus grand. Lentement je me hisse sur la pointe des pieds en fermant les yeux à la recherche de ses lèvres. Il ne s’y oppose pas et répond à mon baiser. Notre baiser est d’abord tendre puis langoureux et passionné. Je glisse mes mains autour de son cou pour m’accrocher à lui, il passe ses mains dans mon dos et m’agrippe par les fesses. Tout mon corps est pris de spasmes je laisse mes doigts courir sur sa nuque, dans ses cheveux doux comme la soie. Je lui mordille la lèvre inférieure il geint contre mes lèvres. Il tente d’interrompre notre baiser, face à ma résistance il tire sur mes cheveux pour me faire lâcher prise.

Il m’observe un instant et me demande si je suis sûr de vouloir le faire. Pourquoi maintenant il veut que je prenne mes jambes à mon cou ou quoi ? Pour unique réponse mes lèvres cherchent les siennes, quand elles les trouvent notre baiser est plus torride, brulant de désire. Il se détache à nouveau de moi, mais ses lèvres glissent sur ma peau, il m’embrasse sur la joue puis dans le cou ; il lèche ce dernier le suçote. Mon corps frisonne, je ne suis plus maîtresse de mes pensées, mais si je le laisse faire j’aurai une belle marque que j’aurai du mal à cacher aux autres infirmières, je l’arrête donc en lui mordant le lobe de l’oreille gauche ce qui le fait reculer.

-        Tu es une sacré coquine ma parole. Dit-il avec malice

-        Et tu n’as encore rien vu.

Je me rapproche de lui à pas feutrer je l’embrasse goulument, puis lui lèche le cou avant de lui faire un suçon le tout en caressant son torse. Il tente de répondre à mes caresses, mais je le repousse vers son lit le forçant à s’asseoir. J’ôte précipitamment ma blouse et la jette sur le siège le plus proche. Je retire mes lunettes puis ma robe verte d’infirmière avec beaucoup plus de lenteur pour le faire languir. Quand il découvre enfin ma lingerie en dentelle blanche il ne peut contenir son excitation et m’attire contre lui. Il plonge ça tète entre mes seins et les renifles, sentir son souffle contre ma poitrine me trouble, néanmoins je veux garder le contrôle alors je décide que je devais le priver de ses mouvements.

J’attrape son pantalon de pyjama qu’il avait fait tomber. Je viens m’asseoir à califourchon sur lui je l’embrasse de façon à faire monter son désire, tout en   prenant mon temps. Je lui demande de mettre ses mains dans le dos il obéit pour mon plus grand plaisir je me sers de son pantalon comme d’une corde et je lui lie les poignets dans le dos.

-        Tu n’as pas le droit de me toucher. Dis-je pleine de malice.

Ne le laissant pas en placer une je l’embrasse à nouveau je crois que je suis accro à ses lèvres, mes doigts courent le long de son torse musclé passe dans son dos et dans ses cheveux. Il meurt d’envie de me toucher je le sens, car il tente de libérer ses mains je lui dis d’arrêter ou je m’en vais, il obéit à nouveau. Je meurs d’envie qu’il me touche aussi, mais le faire languir me torture tout aussi agréablement. Je le fais se pencher légèrement en arrière afin que mes lèvres puissent parcourir son torse je joue avec ses tétons du bout de ma langue ils ont l’air tout dur comme ceux d’une femme excitée. Je les mords instinctivement et je le sens frissonné de tout son corps, il est donc sensible des tétons je renouvelle mon geste et l’accompagne d’un suçon je réitère l’opération sur son autre téton il lâche un gémissement rauque et se redresse pour essayer de s’extirper à ma torture. Il enfouit sa tête dans ma poitrine et se met à la lécher à même la dentelle. Il trouve rapidement mes tétons que l’excitation fait pointer il me rend ma torture et les suçote puis les mord, la douleur est douce et agréable.

          Je veux qu’il me touche alors je finis par le détacher, le vilain coquin comprenant mon invitation, prend un malin plaisir à ne pas me toucher et garde ses mains dans son dos, mes gémissements se muent en complaintes en suppliques même ; il se décide enfin à me caresser, rapidement il m’ôte mon soutien-gorge s’offrant un accès exclusif à ma poitrine qu’il caresse lèche suce en mordillant les pointes. Je me laisse complètement emporté par cette vague de chaleur qui m’envahit doucement. Il est maintenant à demi allongé sur son lit et moi toujours assise sur lui. Je l’aide à s’allonger tout doucement, je pose un baiser chaste sur ses lèvres et lentement je recouvre son corps de baisers avançant inexorablement vers son entre jambes. Son érection déforme son boxer, l’idée d’en être la cause me fait sourire.

-        Ferme les yeux. Lui ordonnais-je.

Je le caresse au travers du boxer et fait courir ma langue le long de la bosse. Je tire légèrement sur l’élastique du boxer et le relâche brusquement sur son érection son corps se convulse, mais il garde les yeux fermés. Je lui retire le boxer libérant une magnifique érection. Oh mon Dieu qu’est-ce qu’il est bien membré, je la saisis d’une main fébrile et commence à le branlé timidement. Il frissonne, mon geste fait effet je m’applique pour lui arracher des gémissements, il résiste alors j’accueille son érection entre mes seins et lui offre une branlette espagnole. Il se mord la lèvre inférieure pour se contenir, mais son corps convulse alors pour l’achever je le prends en bouche, je le branle de mes seins et le suce comme une diablesse en transe et le beau diable gémit enfin pour moi. J’alterne le rythme tantôt rapide, tantôt lente. Cette sensation de domination m’excite et me fais mouiller abondamment. Je commence à sentir le gout de son liquide pré éjaculatoire et sa verge convulse comme le reste de son corps, il va bientôt jouir, non pas ça je veux jouir avec lui.

-        Pas tout de suite retient toi encore un peu je veux que tu jouisses en moi avec moi et pour moi.

J’arrête de le branler et le chevauche prestement, écartant ma culotte pour lui donner accès à mon intimité toute humide. Je me baisse juste assez pour établir le contact, je le prends par la verge et commence à me caresser avec le bout de cette dernière. Je la fais légèrement entrer en moi et la fait ressortir aussitôt, répétant ce geste qui nous fait atrocement souffrir, car je le veux entièrement en moi. Je me décide enfin et je me laisse glisser lentement sur son érection. Il me prend par les hanches et d’un coup de rein il s’introduit brutalement en moi. Nos basins se lancèrent dans une danse coordonnée. Je le sentais en moi, il allait et venait frottant contre mes parois avec délice Je n’étais plus que sensation et pur plaisir.

Les mains posées de part et d’autre de ses hanches, la tête penchée en arrière, la poitrine qui pointe vers le plafond ; j’étais totalement perdu dans un océan de plaisir. L’orgasme montait de plus en plus, son sexe en moi vibrait m’annonçant qu’il y était presque. Poussant sur mes avant-bras j’accompagnais son mouvement, nous étions lancer dans le dernier sprint.

-        Oui Ken vas-y ne te retient pas jouis pour moi vas-y !

-        Oh Marlie, ma petite Marliee….

-        Ouiiii !!!

Il venait de me donner un magnifique orgasme, le meilleur que j’eu depuis bien longtemps. Affalé sur son torse je me sentais légère comme une plume et pleinement satisfaite. Je commençais à sombrer dans les bras de Morphée quand je le sentis durcir à nouveau en moi.

-        Monsieur est prêt pour le second round à ce que je vois.

-        Toujours ! cette réponse me remplis à nouveau de désire.

Me retournant sur le lit il me prit en position du missionnaire de façon si douce que les affres de mon récent orgasme me firent plané et très vite j’eu un deuxième orgasme, mais cette fois lui il n’avait pas joui. Il me fit descendre du lit en s’approchant de la fenêtre. Ouvrant l’un des volets.

-        Je vais te prendre en levrette la contre la fenêtre ouverte si tu gémis trop fort les patients et tes collègues t’entendront et tout le monde te verra sein à l’air.

-        C’est de l’a folie non pas ça !

Trop tard il était de nouveau en moi me retirant tout moyen de résistance il ne me restait plus qu’à retenir mes gémissements le temps qu’il jouisse. Mes seins plaqués contre la vitre froide s’écrasaient à chaque va et vient. Son mouvement était énergique sans douceur il me culbutait rageusement. A un moment suite à un claquement j’ai ressenti une légère douleur à la fesse droite. Puis ce fut le tour de la gauche. Tout en me culbutant avec passion il me donnait la fessé loin d’être douloureuses elles m’excitaient, il fallait faire de plus en plus d’effort pour ne pas gémir il continua ainsi un bon moment et la dernière claque plus forte que les autres manquât de me faire hurler de plaisir, elle vint avec sa semence chaude qui se rependait en moi. Nos jambes, n’y tenant plus nous nous sommes effondré au sol.

C’est complètement vidé et satisfaite de mes trois (03) orgasmes et avec une jolie coiffure post coïtal que j’ai traversé les couloirs guettant pour ne croisé personne, avant de m’enfermer dans mon bureau.

-        Alors, il était comment ?

Me retournant précipitamment je vis Amanda assise derrière mon bureau. Le rideau était tiré. Une question me vint à l’esprit m’avait-elle vu par la fenêtre et qu’allait-elle faire ?

-        Amanda ce n’est pas ce que tu crois… Phrase type du coupable pris la main dans le sac.

-        Qu’est-ce que je suis censé croire ? Pour ma part j’ai juste filmé deux adultes consentants qui s’envoyait en l’air. Dit-elle en me montrant son téléphone.

-        Mon cœur eu un raté ! Que vas-tu faire avec cette vidéo ?

-        Moi ? Oh rien rassure toi je voulais juste que tu saches que j’ai tout vu. Tu pourras la supprimer quand j’aurai ce que je veux.

-        Que veux-tu alors ?

Se levant avec grâce de la chaise, elle s’approcha de moi si prêt que s’en était troublant. Les mains de part et d’autre de ma tête.

-        Moi aussi je veux jouer…

 

A suivre ….  

Mon patient