Partie 3

Ecrit par Jordan

-        Moi aussi je veux jouer…

Je n’eus pas le loisir de réfléchir à cette dernière phrase avant que ses lèvres viennent s’écraser sur les miennes. Son baiser était pressant sans aucune tendresse, mais en rien déplaisant. Très vite sa langue pris possession de ma bouche, implacable elle dansait invitant la mienne à la rejoindre. Mon esprit voulait la repousser, mais mon traitre de corps en voulait plus. Je me suis donc surpris à répondre à son baiser avec la même passion.

 La distance de nos corps n’était plus que de l’ordre du millimètre, moi toujours plaquer contre la porte Amanda encartait mes cuisses avec l’une de ses jambes qu’elle avait fort belles et longues. L’une de ses mains remontais le long de ma cuisse droite, la caresse était lente et experte le frison se rependit dans tout mon corps. Je sentis son sourire contre mes lèvres. Sa main poursuivie son ascension remontant ma blouse et ma robe au passage, très vite son autre main prodiguait la même caresse à ma cuisse gauche. Plus elles progressaient plus les frisons étaient grisant et agréable ; un essaim de papillons prenait son envole quelque part au creux de mon ventre. Quand ma robe fut au-dessus de mes hanches elle se déplaça légèrement sur le côté afin de glisser sa main droite dans ma petite culotte à la recherche de mon intimité tirant sur mes poils pubiens au passage, une douleur vive mais agréable qui me fit gémir contre ses lèvres.

Dans un bref élan de lucidité j’ai tenté de la repousser, mais une fois de plus mon corps s’y opposait et de plus l’étreinte d’Amanda était ferme impossible de me dégager.

Au bout de quelques minutes passer à résiste vainement au désir qui s’emparait de moi, je finis par m’abandonner. Répondant à son baiser avec plus de fougue passant ma main dans ses cheveux, pendant qu’elle continuait sa caresse intime. Tirant sur sa queue de cheval je parvins à lui faire pencher la tête en arrière livrant ainsi son cou, à l’assaut de mes lèvres. Lui mordillant d’abord le bas du visage puis le lobe de chaque oreille, ensuite couvrant son cou de baiser brulant de désir. La danse de ses doigts dans mon intimité était devenue atrocement lente ; elle devait surement prendre gout à mes suçons.

 Elle retira ses doigts sans prévenir m’arrachant une plainte, elle m’agrippe le derrière de ses deux mains, y plantant ses ongles. La douleur était vive et n’avait rien de plaisant je geins contre mon gré. D’un geste rapide elle nous fit nous étaler de tout notre long sur le sol. Elle au-dessus de moi, elle retira prestement sa blouse qui fit un bruit sourd en retombant sur le sol, la mienne fut la suivante elle m’aida aussi ensuite à retirer ma robe et ma petite culotte. J’étais toute nue à sa merci son regard était celui d’un prédateur affamé. Elle m’embrassa de nouveau, mais malgré la passion qu’on pouvait y déceler il fut bref, elle s’attaqua ensuite à mon cou le léchant le suçotant assez fort pour me laisser une marque bien visible, tout en poursuivant sa descente elle gratifia ma poitrine de la même attention j’avais du mal à retenir mes gémissements je me tordais de plaisir. Comment une femme pouvait elle me faire ainsi perdre la tête. Mon nombril ne fut pas en reste lui non plus, mais cette garce évita mon entre jambe pour faire durer le supplice et couvrit mes cuisses de baiser en insistant sur l’intérieur des cuisses.  Quand elle eut fini sa torture, elle changea de position. Se retrouvant la tête entre mes jambes et le cul au-dessus de mon visage. Sa langue passa entre mes poils pubiens jusqu’à mon vagin passant entre les lèvres de ce dernier avec cette insolente lenteur qui me fit aussitôt gémir. Elle réitéra le mouvement plusieurs fois, ensuite sa langue vint tournoyer autour de mon clitoris, avant que ses lèvres ne se referme sur celui si le suçant l’aspirant fort. La sensation était intense je dus me servir de mes mains pour étouffe mes gémissements.

Elle se pencha légèrement en avant pour mieux embrasser mon intimité, sa langue allait et venais en moi tourbillonnait comme un beau diable en transe. C’est alors que j’aperçue sa petite culotte la coquine avait mouillée. Désireuse de lui rendre la monnaie de sa pièce sans hésitation, ma langue alla à la rencontre du tissu mouiller, je me mis à la lécher avidement. Elle gémit contre mon intimité libérant un souffle chaud qui vint me chatouiller. Ainsi nous nous sommes mutuellement fait un cunnilingus. C’était la première fois que je léchais une autre femme et aussi surprenant que cela puisse paraitre j’étais sûr que ce ne serait pas la dernière fois. En plus de sa langue elle introduisit son index en moi puis son majeur les faisant allez et venir en moi, tandis que son pouce taquinait mon clitoris. Je n’eus d’autre choix que de limiter bien qu’étant moins experte. Le plaisir montait lentement, nous avons ainsi joui ensemble au bout de quelques minutes. Elle se retourna pour s’allonger près de moi.

-        Alors, tu as aimé ?

-       

-        Tu ne dis rien ? T’inquiète ça fait toujours cet effet la première fois les autres infirmières étaient moins entreprenante que toi, mais j’ai toujours su que tu étais spéciale. Dit-elle avant de poser un baiser sur mon épaule

-          Vous l’avez fait avec d’autre infirmière ? La surprise n’était pas ce qui se lisait dans le ton de ma voix. La déception serait plus exacte.

-        Oui ! tu es jalouse ? T’inquiète j’ai gardé le meilleur pour toi.

Elle sortit de sa blouse des menottes recouverts d’un Duvet rouge sang. Avant que je ne comprenne ses intentions, elle m’avait déjà menottée au pied de mon bureau j’étais maintenant les deux mains étendues au-dessus de la tête. Elle plaqua sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier.

-        Tu vas rester bien sage ma chérie, je ne te ferai aucun mal je vais juste abuser de toi. Et je ne pense pas que tu veuille que d’autres viennent nous surprendre alors, tu la fermes ou je te bâillonne compris ?

-        Faisant oui de la tête

-        Gentille petite fille.

-        Pourquoi tu fais ça ?

-        Shut ! je t’avais dit que je voulais aussi jouer n’est-ce pas ? Alors, jouons au gynécologue.

Elle prit mon stéthoscope sur le bureau et se mit à m’ausculter tout en palpant ma poitrine et en tirant sur mes tétons. Le bout du stéthoscope était froid son contacte sur ma peau éveilla à nouveau mes envies. Elle posa bien vite l’instrument pour caresser ma poitrine de ses mains tout en me chevauchant elle pinça méchamment les pointes.

-        On va essayer les pinces ça devrait te stimuler un peu.

-        Des pinces ?

-        Oui je vais te prêter les miennes je les enlève rarement.

Sa main fouilla rapidement dans son soutien-gorge elle en ressortie deux minuscules anneaux avec de part et d’autre, des sortes de vice. Elle plaça un anneau sur chaque téton en resserrant légèrement le vice la morsure était douce puis elle resserra un peu plus les vices et la douleur devint vive. En plus de ça elle tira dessus pour amplifier la douleur. Elle avait un sourire salace. Elle se mit à genoux près de moi et embrassa tout mon corps ne laissant aucun centimètre de peau à sa portée. Puis introduisit son index et son majeur dans mon intimité qui malgré la douleur de mes tétons, était déjà très humide. Elle les ressortie pour les lécher et recommença pour cette fois me les faire lécher de force, la troisième fois qu’ils entrèrent en moi ils n’en sortir pas immédiatement elle me doigta de façon si experte que j’en jouis assez vite.

-        Maintenant je vais aller chercher mon jouet préféré alors ne bouge pas.

-        Amanda arrête ça, détache-moi ?

-        Ah Marlie, Marlie un peu de patience et même si je le voulais je ne pourrais pas les clés sont dans mon bureau. Son sourire salace fit à nouveau son apparition.

-        Tu es folle

-        Oui je sais je suis folle de toi ! Tien moi ça je reviens.

Elle avait retiré sa petite culotte toute humide et l’avait laissé tomber sur mon visage avant de sortir de la pièce. Quelque minute après son départ la porte s’ouvrit à nouveau. Impossible quelle est pu aller et revenir aussi vite, son bureau se trouve dans l’aile opposée il lui faudrait au moins 15min au trot pour faire l’aller-retour. Alors, qui diable était-ce.

-        Ken ?

« A suivre… »

Mon patient