Partie 25 : Oui j'accepte

Ecrit par Mayei

...Tania ...

J’ai tout perdu, tout perdu. Je suis obligée de vivre chez mon fils, dans un deux chambres salon alors qu'il n'y a même pas trois mois je vivais encore dans un grand palais. Mes journées sont monotones c'est à peine si je sors et le comble aujourd’hui, j’ai essayé d'aller retirer de l'argent, je n'ai plus accès au compte j'utilisais avec Léopold. Je suis restée à ruminer ma colère jusqu'à ce que Samuel rentre à la maison 

Samuel : bonsoir maman 

Moi : bonsoir 

Samuel : il y a un problème ? Tu en fais une drôle de mine 

Moi : ça ne peut pas aller quand je vais retirer de l'argent à la banque et qu'on me dit que je n'ai pas accès...

Samuel : à votre compte commun ?

Moi : tu Le savais ? 

Samuel : après un tour chez Le notaire je l'ai su.

Moi : Le notaire ? Vous avez fait la lecture du testament ?

Samuel (calmement) : oui ?

Moi (étonnée) : et personne n'a jugé bon de m'avertir ?

Samuel : si ta présence était requise c'est bien évidement que tu allais recevoir une convocation. Tu ne fais pas partir des bénéficiaires donc c'est normal qu'on ne t’ait pas appelée. Tous ce que vous aviez en commun il les a redistribués entre moi, Nadia, Murielle et la fille...

Moi : quelle fille ?

Samuel : personne 

Moi : tu te fous de moi Samuel ? Tu veux dire que Murielle a même eu une part d'héritage mais pas moi après tout ce temps que j'ai passé auprès de lui. Tout ce temps où il a usé mon corps ?

Samuel : maman tu peux m'épargner cette vision s'il te plaît 

Moi : c’est la stricte vérité. Jai tout les droits sur cet argent.

Samuel : maman est-ce que le fait que papa soit mort te fais ne serait-ce qu'un peu mal ? 

Moi (me raclant la gorge) : bien sûr que oui. C’était mon mari tout de même 

Samuel : à te voir on ne dirait pas. C’est juste l'argent qu'il a laissé que tu guettes à tout moment 

Moi : je ne te permets pas de me parler ainsi je suis toujours ta mère et tu me dois du respect. 

Samuel : eh oui malheureusement tu es toujours ma mère et je ne peux rien y changer. Je suis en haut j’ai eu une lourde journée 

Cet enfant se croit où ? Bien évidemment je suis contente que ce Léopold ait quitté la terre des vivants mais j'allais encore plus l'être si mes secrets n'avaient pas été mis à nus et que j'avais accès à son héritage. Je ne me décourage pas. Je suis très intelligente du coup j'ai pensé à avoir un compte secours qui doit être très bien garni. En plus j'arriverai à manipuler Nadia pour avoir une main dans sa part d’héritage. C’est ma fille et je sais comment l’influencer. Si La famille de Léopold pense m'avoir écartée et bien ils se trompent lourdement. Je n'ai pas encore dit mon dernier mot. Qu’ils s’attendent à moi 

...Cécile Ahoulou... 

Je pense qu'il y a renversement de situation. J’ai longtemps jeté mon filet sur Nolan mais celui ci n'a pas réagit. Pourtant son cousin Samuel est compétent à fond sur moi. Il m'appelle chaque soir et fait déborder ma boite de message. En plus le truc est que j'apprécie grandement l'attention qu'il me me porte. Si Nolan ne veut pas de moi pourquoi taper l'œil sur son coussin et rester dans non coin à attendre l’attendre ? Samuel est beau et surtout bien assis financièrement donc je ne perds rien du tout. Qu’est ce qui prouve même que Nolan s’intéressera un jour à moi ? il ne faut pas gaspiller ses chances. 

Dring dring dring 

Quand on parle du loup 

Moi (souriant) : allo Samuel

Samuel : comment tu vas ma belle ?

Moi : je vais bien et toi 

Samuel : pareil mais je me sentirais encore plus mieux si tu acceptais de dîner avec moi ce soir 

Moi : hum...je ne sais pas trop 

Je meurs d'envie d'y aller mais il faut tout de même que je fasse la difficile 

Samuel : je t'en prie vient dîner avec moi.

Moi (me mordant la lèvre) : peut être une autre fois

Samuel : Cécile ne me fait pas ça s'il te plaît. J'ai vraiment besoin de te voir. 

Moi : hum...bon d'accord comme tu insistes

Samuel : ok je passe te chercher à 20 heures alors 

Moi : ok pas de soucis 

Samuel : bon je raccroche avant que tu ne change d'avis 

Moi : krkrkrkr 

Samuel : bisous 

Moi : bisous 

J’ai posé mon téléphone sur la table basse. Le cœur de poulet que j’ai. Etait-ce même témoin du malin que je faisais ? S'il n'avait pas insisté n'est-ce pas que je ratais une chance comme ça et que j'allais rester à la maison à me tourner les pouces ? 

Je sais déjà ce que je vais me mettre. Une robe à tomber qui va le faire baver sur moi comme jamais il n'a bavé sur une fille au paravent. Je vais le rendre fou ce soir c'est certain. En tout cas c’est mon objectif

Heureusement qu'il a appelé ce matin donc je file comme ça chez la coiffeuse pour me faire une nouvelle tête. Je pense faire une coiffure mi- longue aujourd’hui car je suis trop restée dans Les long long. 

C’est comme ça que je me suis retrouvée chez Josiane ma coiffeuse attitrée. Je n'aime pas me disperser et changer de coiffeuse n'importe comment 

Josiane : wouuuuuh ma cliente est de retour oh je pensais que tu m'avais abandonnée 

Moi : je peux ? Je t'avais dit que je partais en formation non ?

Josiane : ah oui c'est vrai ! Alors on se fait quoi aujourd’hui ?

Je lui ai montré la photo de de que je voulais et elle a commencé par un shampoing. J'aime trop me faire chouchouter comme ça. Elle sait tellement s’y prendre qu’a chaque fois qu’elle me fait un shampoing je fini par somnoler. Je vais voir même si je ne vais pas passer chez l'esthéticienne pour me faire épiler  

Josiane : dis tu as été voir la nouvelle maison de Naomie ?

Nouvelle maison de Naomie ? De quoi elle parle ? Naomie a une nouvelle maison ? 

Moi (jouant Le jeu) : je n'ai pas encore eu le temps mais je vais sûrement y aller demain dimanche. Tu y es allée ?

Josiane : oui oui ! Elle a demandé à ce que je me déplace chez elle pour la coiffer. Une grande maison je te dis avec la piscine et tout 

Moi : ça doit être beau 

Josiane : une très belle maison 

J’ai accusé le coup. Quel épisode j'ai raté ? Moi qui la prenait pour ma meilleure amie, elle n'a même pas la présence d'esprit de m'appeler et de me dire qu'elle déménage ? Je ne vais pas l'appeler pour lui parler non plus, je vais laisser couler jusqu'à ce qu'elle même me parle, sauf que je suis un peu déçue quoi. Je crois que je vais garder mon histoire de Samuel pour moi. 

Quand Josiane a fini avec ses doigts de fée, il n'y avait pas plus jolie que moi. J'en ai profité pour faire mes ongles de mains et de pied. J’ai dis il faut que je frappe 

Quand il a été 20h Samuel était déjà devant mon portail. Il doit être très ponctuel. J'ai fini mon maquillage et je suis allée le retrouver à sa voiture. Il m'a tenue la portière et je me suis installée. Il est galant en plus 

Samuel (démarrant) : tu es vraiment belle Cécile 

Moi : merci, tu n'es pas en reste. On part où ?

Samuel : c’est une surprise. 

Il a penché sa bouche d'une certaine façon et a souri de ses dents toutes blanches. Il était vraiment craquant et sexy. Il a conduit jusqu'à ce que je reconnaisse l'hôtel ivoire. Il a garé et notre trajet à pied s'est terminé sur le toit de l'ivoire. C’était un restaurant dont j'entendais communément le parler mais jamais un homme ne m'avait fait l'honneur de m'y amenée. De la on était on avait une vue sur Cocody ainsi que les environs du Plateau. C’était tellement magnifique 

Samuel : alors le cadre te plaît ?

Moi : bien sûr que oui. C'est magique 

Samuel: un bel endroit pour une belle demoiselle 

Moi : ... ... ...

Samuel : Cécile tu me plait énormément. Depuis la première fois je ne fais que penser à toi. C'est vrai qu’on ne s'est vu que trois fois mais s'il te plaît je veux qu'on entame une relation toi et moi.

Moi : ... ... ...

Samuel : dis quelque choses 

J’ai direct pensé à mon bailleur de fond qui occupait la place ainsi que l'autre. Si j'ajoute Samuel ça fera un troisième. Mais Samuel a l'argent il pourra s'occuper de moi j'en suis sûre 

Moi : ça ne coûte rien d'essayer 

...Murielle...

Moi : voilà tu sais tout

Nolan : ... ... ...

Moi : parle-s’il te plaît 

Nolan : Murielle que ceux tu que je te dise ? Que veux tu que je te dise dis moi. Je pensais tellement t'avoir mise en confiance dans cette relation que savoir que tu m'as caché tout ça me rend malheureux. Tu sais que j’aurais pu prendre en charge les frais d’hôpitaux de ton père ainsi que tes études. Ça t’aurait évité tout ceci. 

Moi : Nolan je ne voulais pas te mettre dans une situation inconfortable

Nolan : tu ne voulais pas me mettre dans une situation inconfortable mais aujourd’hui la situation est bien pire crois moi. Combien de fois je t'ai donné l'occasion de me dire ce qui n'allait pas ? Combien de fois je t'ai trouvé étrange et tu m'as regardé dans les yeux pour me dire qu'il n'y avait aucun problème ? Tu vois ou tout cela nous a mené aujourd’hui ? Tu es prisonnière de cette famille tant que tu n’auras pas dit non. Je suis tellement déçu Murielle. Tu sais que je suis reparti à la maison où je t'avais déposée la fois passée. Je voulais me convaincre que toute cette histoire n'était qu'un rêve mais aucune Murielle n'y habite. C’est la maison à qui ?

Moi : je ne sais pas. Je ne pouvais pas te laisser me déposer ici donc j’ai juste indiqué une maison comme ça 

Nolan (applaudissant) : en plus tu es la reine de l’improvisation. D’ailleurs comment as tu pu sortir d’ici pour être présente avec moi ces trois jours ?

Moi : je suis restée chez tata Marianne et elle m’en a donné la permission sans que personne ne sache 

Nolan : donc si je comprends bien c’est parce que tu étais la deuxième femme d’un homme qui peut bien être ton père que tu m’empêchais de te déposer a chaque fois chez toi ? tu sais quoi j'en ai marre de tout ceci. Sortons et fais ce que tu as à faire. 

Moi : je t'aime Nolan 

Nolan : la grosse blague. Sais-tu au moins ce que ça signifie ? Je ne sais même pas pourquoi je me suis jetée dans cette relation avec une gamine comme toi. Vas donner ta réponse et je te conseille vivement que ce soit un non parce que pour rien au monde je ne veux avoir une menteuse comme épouse. 

Il a quitté la pièce sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit. J'ai senti mes larmes commencer à ne picoter les yeux. Ses paroles envers ma personne faisaient horriblement mal Mais j'ai serré les dents et je suis sortie rejoindre tout le monde au salon 

Nolan : merci mes oncles de m'avoir accordé tout ce temps. Nous avons discuté Murielle et moi et je crois qu'elle est prête à vous donner sa réponse

L'oncle : ma fille nous t’écoutons, parle 

J'ai regardé tout le monde. Mais mon regard a été plus insistant sur ma mère. Ma poitrine s'est soulevée au rythme de ma respiration et j'ai ouvert la bouche dans l'intention de parler. J’ai vu comment tout le monde était suspendu à mes lèvres, j'allais rire normalement mais la situation est un peu délicate. 

Moi : oui j'accepte de rester avec Lui 

Nola (se levant brusquement) : QUOI ? 

T.B : tu te calmes tout de suite Ehui 

Je l'ai vu tirer la tronche et se rasseoir automatiquement. Ses yeux lançaient des éclairs dans ma direction. J'avais même peur de le regarder, pour la toute première fois je voyais autant de colère dans son regard. 

Nolan : je ne sais même pas pourquoi cette stupide coutume existe. Je ne veux pas d'elle, tout juste parce qu'elle a dit oui je vais devoir la supporter toute ma vie ? Quelle est ce genre d'héritage ? Est-ce forcé ?

L'oncle (secouant la tête) : Les enfants d'aujourd'hui ! Toujours dans la colère, la sagesse est lente à vous habiter. Ne connais-tu donc pas la l'histoire de notre village ? 

Nolan : je la connais parfaitement 

L'oncle : donc pourquoi t’entêtes-tu à vouloir contourner cette règle ? 

Nolan : parce que je ne veux tout simplement pas d'elle, je ne l'aime pas 

J'ai senti comme un couteau me transpercer le cœur. Nolan vient de me dire qu'il ne m'aime pas. Je ne sais pas si c'est toujours l'effet de la colère mais ça fait terriblement mal de l'entendre sortir ce genre d'affirmations. Je l'aime à en mourir et lui est prêt à dire devant sa famille qu'il ne ressent rien pour moi.

L'oncle : comme on le dit l'appétit vient en mangeant. Bénédicte ?

T.B : oui mon oncle 

L'oncle : voilà ta belle fille dorénavant. Vue que la dote dire à déjà été versée, il n’y a donc pas de problème à ce niveau, elle pourra regagner le domicile de son mari dans les plus brefs délais. Notre travail ici est terminé, nous allons donc devoir demander la route 

Nolan (se levant) : j’ai besoin de prendre l'air. 

Il m'a encore gratifiée d'un regard meurtrier avant de s'en aller. Avec Lui la petite délégation est aussi partie. Je suis restée seule avec Tata Bénédicte, Tata Marianne et ma mère. 

Maman : tu avais la possibilité de sortir de cette histoire. 

Moi : ... ... ...

Maman : pourquoi tu n'as pas dit non ? Pourquoi tu veux continuer dans ça ? ca te plait qu'on te passe à chacun comme ça comme une chose. 

T.B : Françoise doucement 

Maman : non ! Qu'elle me dise pourquoi elle s'est laissée coincer dans cette histoire. 

Je sentais la colère et le désespoir de ma mère. Je savais qu’elle voulait que je dise non et que je sorite de cette maison pour continuer ma vie de jeune fille normalement. Mais les choses ont changé, je suis même enceinte, est-ce que je peux reprendre ma vie comme avant ? J’étais à bout. Ma gorge était nouée et mes larmes n'allaient pas tarder à faire une avalanche. Je ressentais le besoin de parler, de dire ce qu'il y avait sur mon cœur. 

Moi : je l'aime maman ! 

Tous les regards se sont posés sur moi.

Moi : je l'aime et pour rien au monde je ne veux le laisser partir loin de moi snif. J'étais prête à fuir snif de cette maison rien pour être avec lui. Je l'ai connu bien avant qu'on me parle de cette affaire de mariage forcé et aujourd’hui il se trouve être snif le père de mon enfant à naître. Je n'ai que 18 ans snif, je peux paraître petite à vos yeux mais je sais ce que je veux et c’est Nolan, le père de mon enfant snif que je veux. À ma place snif maman tu allais faire quoi ? Snif 

Maman : ... ...

Moi : si je disais non aujourd’hui j'étais sûre de le perdre une bonne fois pour toute. Mais en disant oui je donne une nouvelle chance à notre relation. Snif c'est une opportunité pour moi de lui demander pardon pour mes mensonges et qu'on reparte sur de nouvelles bases. Et par dessus tout j'offre un foyer à mon enfant maman 

T.B : tiens Le mouchoir, il faut essuyer tes larmes. Ce n'est pas bien pour mon petit fils. 

T.M : Bénédicte tu exagères. Tu connais Le sexe de L'enfant ?

T.B : un beau garçon je te dis. Si tu veux on pari un million sors ton chéquier 

Elle avait même commencé à sortir ses lunettes histoire de bien voir. Elle a réussi à nous arracher un sourire, même à maman. Elles ont détendu l'atmosphère en tout cas.

Maman : je suis désolée de t'avoir crié là-dessus. (Caressant mes cheveux) je serai toujours à tes côtés et te soutiendrai dans tes décisions (bisous sur le front) je t'aiderai avec cette grossesse comme le ferait toute mère aimante 

T.B : rectification, nous l'aiderons toutes avec cette grossesse. Même Nolan 

Moi : merci c'est gentil à vous.

T.M : le monde est quand même bizarre hein. Donc c’était lui ton petit ami chez qui tu es allée faire le weekend ?

Moi(honteuse) : oui 

T.M : franchement quelle était la probabilité que ce soit mon neveu ?

Moi : Au fait maman et papa ? Il devrait sans doute être la avec toi, pourquoi je ne l'ai pas vu ? 

Maman : il se porte bien t'inquiète, il a eu une Réunion de dernière minute 

Moi : un dimanche ?

Maman : tu sais ce sont les affaires hein. 

Je ne sais vraiment pas pourquoi mais je n'ai pas réussi à la croire. Il y a anguille sous roche. 

...Nolan... 

J’ai donné un grand coup de pied contre le pneu de ma voiture. Je n'ai jamais été aussi en colère de Toute ma vie. À quoi elle joue ? Je lui avais bien sûr de dire non à toute cette mascarade mais la bonne dame se lève et lance un gros oui en espérant que je lui montre mes dents ? Ce qui me fait encore plus mal c’est Le fait que mes mères soient de son côté. Je ne sais même pas ce qui se passent dans leurs têtes. 

Elles espèrent que je me marie à une menteuse de première classe ? Je suis monté en voiture et j'ai démarré comme un fou furieux derrière le volant. J'ai besoin de souffler. J'ai besoin de me changer les idées un peu 

Des mon arrivée à la maison je me suis servi un verre de liqueur que j’ai descendu d'un trait. Putain elle me gonfle, elle me gonfle comme ce n’est pas permis. La seule chose qui m'empêchait je ne pas lui en coller une c’est l'enfant. Pourtant DIEU seul sait que je ne suis pas violent. Pour une petite fille comme elle je me suis rangé, j’ai arrêté de coucher n'importe comment, mes propres amis ne me reconnaissaient plus et voilà qu'elle se fou de moi comme ça. 

Avec rage j'ai pris mon téléphone et j'ai composé de numéro de comment elle s'appelle déjà ? Meira. Je l'ai connue la dernière fois au bar la. Les femmes on pour habitude de dire que le remède de l'homme c'est l'homme donc le remède de la femme doit aussi être la femme 

Meira : allo Nolan ?

Moi : tu es où ?

Meira : Chez moi pourquoi ?

Moi : ça te dit qu'on se retrouve au pullman 

Meira : pour y faire quoi ?

Moi (agacé) : c’est un hôtel n'est-ce pas ? À ton avis on y fait quoi ? arrete de me poser des questions sans sens

Meira : on vient à peine de se rencontrer 

Voilà qu'elle ça me faire sortir ses chichis 

Moi : ok oublies alors passe une belle soir...

Meira : Mais attend ! Tu veux qu'on se trouve là-bas à quelle heure ?

Moi : Le plus tôt possible je vais quitter maintenant. 

Meira : ok je m'apprête, je t'envoie mon adresse par message 

Moi : à tout à l'heure 

Je me suis changée rapidement et j’ai d'abord foncer à la pharmacie prendre des préservatifs. Depuis que j'étais avec votre parente je n'avais plus fait de virées pharmacie. Après la pharmacie, j’ai récupéré Meira. 

dès qu'on a franchi le seuil de la chambre, je me suis mis à la déshabiller sans passer par quatre chemins et elle se laissait faire. 

Meira : tu es presse dis donc 

Moi : chuuuut 

Je l'ai déshabillée complètement, j'étais bien dressé car il faut avouer qu'elle n'est pas du tout mal niveau physique. J'ai enfilé le préservatif et sans préliminaire je l'ai pénétrée du coup sec. J'ai cru qu'elle allait s'évanouir tellement elle en a eu le souffle coupé. Je ne lui ai pas laissé le temps de s'en remettre que je commençais à lui donner des coups sauvagement. J'avais besoin de me défouler et d'évacuer cette colère qui m'habite. 

Meira (essayant de me repousser) : doucement tu me fais mal 

J’ai fais le sourd et j’ai remonté ses mains par dessus sa tête et les maintenais fermement tout en continuant à la besogner. Je l'ai prise dans tous les sens mais la jouissance tardait à venir. 

Meira : arrête, je ne peux plus, je ne tiens plus 

J'ai retiré le préservatif et l'ai forcé à me tailler une pipe. C'est fou comme elle savait s'y prendre. J'ai fermé les yeux pour mieux savour

Les Péripéties de Mu...