solution
Ecrit par Ndobis
ERIC
Je rentre dans la salle où se trouve ma
femme et je la trouve en train de parler avec ma sœur tenant Ethan dans ses
bras. Elle essaie de paraitre détendu mais je sais bien qu'au fond d'elle elle
se sent très mal. Nous passons du temps
ensemble jusqu’à ce que Malika décide de rentrer, c'est dont naturellement que
je me propose de la laisser à la porte. Vu qu’Ethan veut encore rester avec sa
mère, je dis à Malika que je viendrai le laisser plus tard. Arrivé dehors je
l'accompagne jusque dans sa voiture, elle installe confortablement son fils à
l'arrière . A sa grande surprise je
monte moi aussi dans la voiture avec elle
Malika : tu veux que je te dépose quelque part
?
Éric: non non. Il
faut que je te parle de quelque chose
Malika : humm cette mine grave ne me plait pas
du tout, je sens déjà que tu vas me dire quelque chose de bizarre ,j'espère
juste que tu ne vas pas me vomir que la maladie de ta femme te fais peur et que
tu ne veux te rétracter
Eric: non mais tu
es folle hein, tu as toujours des idées bizarres. Je me demande comment fait
ton mari pour te supporter car si j'étais à sa place je t'aurais déjà tué
depuis et caché ton corps très loin
Malika : mouf mon
mari m'adore et surtout il adore mon grain de folie. Bon maintenant dis-moi ce
qui ne va pas
Je lui raconte donc la scène qui s’est passé
aujourd’hui avec cette femme et elle reste sur le cul comme moi .
Malika : humm
cette histoire est vraiment louche et bizarre. Avoir l'épilepsie comme ça du jour
au lendemain sans transition c'est vraiment très étrange. Moi je te propose de
parler avec sa famille a elle aussi juste par sécurité vu qu'on ne sait pas d'où
vient le mal, et après ça vous vous rendez ou cette femme a dit. Je crois
qu'elle voit vraiment car elle n'avait aucun autre moyen de savoir tout cela.
Éric: et si c’était
une sorte d'arnaque?
Malika : non je ne crois pas. Que gagnerait elle ? Déjà
que tu lui a payé les soins de sons fils . Parfois le Seigneur nous envoie des
anges pour nous aider. Tu ne perds rien à essayer, si tu veux je peux t'y
accompagner. Tu n'es pas seul. Nous formons une famille et je serai toujours là
pour vous
Éric : merci la
folle. Parfois les choses intéressantes sortent de ta bouche hein,... c'est
vraiment surprenant
Malika: cherche
moi bien. Je te conseille de parler rapidement
à sa famille , on se sait jamais . De plus dans son état il n'est pas
bon qu'elle stress. Mais en parlant Ekeke toi même tu es fort hein, petite lune
de miel là tu as marqué un but direct. Tchaiiii tu es fort mon frère
Eric: attend je pars avant que tu ne me
pervertisse ici
Malika: mieux je
ne parle pas . Va retrouver ta femme. Tu passes me laisser l'enfant quand tu
veux
ERIC: OK
Je retourne donc dans la chambre de ma femme et
nous passons le reste de la soirée. Je la laisse avec son frère et sa femme
quand ces derniers arrivent pour aller déposer Ethan chez les Bilari.
Je reviens donc une trentaine de minutes plus
tard et je trouve aussi Pascal et sa femme. Nous bavardons donc tous jusqu’à 23h
où ils s'en vont tous. Je les laisse à la porte non sans avoir dit à Paul que
je voulais lui parler d’une affaire très urgente le lendemain et que pour plus
de discrétion je préférais qu'on se voie chez son père. Il me semble encore
plus préoccupé après ça mais je le rassure en lui disant qu'il n’y a rien de
grave.
Malika et moi regardons un film jusqu’à ce
qu'elle sombre dans le sommeil. De mon côté J’ai tout fait pour éviter un
rapprochement entre nous et croyez-moi ce n’est pas l’envie qui me manquait.
Le lendemain matin nous avons été autorisé à
sortir, J’ai donc appelé Paul pour confirmer notre RDV avant de demander à
Malika de venir passer l’après-midi avec elle pour que je puisse y aller le
cœur en paix.
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PAUL
Hier après avoir parlé à Éric j’ai appelé
papa pour l’informer de tout en lui disant que j’arriverai plus tôt car je
tenais à lui parler d’une chose qui me turlupine l’esprit. C’est donc ainsi que
je suis arrivé chez lui à 14H sachant que le rdv avec Eric était à 15h.
J’arrive et
le trouve devant Eurosport entrain de regarder le foot. Je le salut, m’assois
et vais tout droit au but
Paul : alors papa si j’ai tenu à te parler
avant qu’Éric n’arrive c’est parce que j’ai vécu quelque chose il y’a peu de
temps et je crois que c’est lié la maladie de ma sœur
PAPA: comment ça? sois un peut plus clair stp
Paul : il y’a peu de temps j’ai fait un rêve où
maman me disait que la vie de ma sœur était en danger et que je devais la
protéger. J’ai négligé cela à mon réveil. Le jour suivant elle m’est réapparu
en songe en m’exhortant de faire quelque chose, je l’ai une fois de plus ignoré
mettant cela sur le conte de l’anxiété car je savais que jade devait rentrer de
sa lune de miel ces jours-là, je me suis dit que c’est surement pour cela que
j’étais préoccupé, déjà que le jour du premier songe j’ai regardé une émission
sur les crashes d’avions. J‘ai conclus en disant que c’était surement mon
cerveau qui me jouait des tours. Du coup quand je l’ai vu rentrer toute
heureuse avec son époux j’ai été soulagé et j’ai mis aux oubliettes les
différents songes, surtout que je n’ai plus revu maman en songe depuis. Mais là
avec cette maladie qui sort de nulle part je crois qu’il y’a anguille sous
roche et que c’est de cela que maman voulait me prévenir.
Il baisse la tête souffle deux fois avant de
relever la tête qui maintenant avait un air grave
Papa : humm c’est vraiment grave ce que tu me dis
là. Je comprends moi aussi les rêves que
je fais la concernant ces derniers jours. Je la vois qui me regarde le visage
froissé elle me semble fâché et parfois très triste. J’ai juste fait une prière
à chaque fois afin que son âme puisse reposer en paix mais maintenant que tu me
parle de tes rêves à toi, c’est évident qu’elle essayait de me faire comprendre
quelque chose…. Ohhh mon Dieu, j’ai négligé ma famille !!!!
Paul : mais non papa tu n’as rien négligé du tout,
personne ne pouvait savoir de quoi il s’agissait , maintenant que nous avons
plus ou moins une idée il ne nous reste plus que de nous rapprocher d’un homme de Dieu
afin que des prières soient faites
pour Jade et notre famille , donc calme toi papa.
Il prend une pochette dans sa poche s’essuie
bruyamment le nez avant de relever la tête vers moi. Il a les yeux tout rouges
et cela me fais très mal au cœur
PAPA : ok demain j’irai voir mon pasteur.
Maintenant une question se pose, penses-tu qu’on devrait le leur dire ? je
veux dire à elle et à Eric ?
Paul :
je crois que oui, du moins on devrait tout raconter à Éric c’est tout de
même son mari, et ce n’est qu’après ça qu’on pourra décider tous les trois si
le dire à Jade ou pas
PAPA : Ok tu as raison. Tu sais de quoi il
veut nous parler ?
Paul : non pas du tout, de toute façon on ne
tardera pas à le savoir. J’espère juste qu’il ne nous sortira pas un truc comme
quoi il a peur de la nouvelle maladie de Jade et qu’il veut se séparer car si
c’est le cas je te jure que je vais le tuer de mes propres mains
Papa : calme-toi, je ne crois pas que c’est de
cela qu’il s’agit car ce garçon aime vraiment ta sœur
Paul : je l’espère bien pour lui. De toute les
façons il ne tardera pas à arriver.
Nous continuons à réfléchir sur la conduite à
suivre jusqu’à ce qu’on entende les klaxons devant le portail, je me lève et
lance un coup d’œil et je vois entrer la voiture d’Éric
ERIC EKEKE
J’arrive chez les Ongollo, gare ma voiture et
prends la direction de la maison. Je toque et entre sans qu’on m’invité à
entrer car comme me l’a dit papa Jacques le jour du mariage cette maison est
désormais la mienne et je n’ai besoin d’aucune invitation pour y entrer. Je les
trouve tous les deux la mines grave, les saluts avant de m’assoir sur l’un des
sièges libres.
Nous échangeons des civilités ci et là, ils
prennent les nouvelles de jade et me propose à boire, je décline poliment leur
offre
Paul : je ne vais pas te mentir Éric quand tu
as dit vouloir me parler, je me suis posé une multitude de questions, jusqu’à
me demander si tu ne voulais pas nous dire que tu as peur de cette maladie et
veut abandonner ma sœur donc…
ERIC : quoi ? mais tu es fou ma parole,
d’où te vient une idée pareille ? tu crois que j’ai épousé ta sœur pour
m’en séparer un jour ? mon frère, comme on l’a dit ce jour-là à l’église :
« jusqu’à ce que la mort nous sépare » donc apprête toi à m’avoir
comme beau-frère pendant de nombreuses années encore.
Paul : hahahah tu me rassure non c’est juste
que je n’ai pas la tête tranquille. Je te demande pardon si j’ai pu penser une
chose pareille
Éric : je te comprends mon frère j’aurai
surement agi pareillement à ta place. Qu’à cela ne tienne on trouvera une
solution et si ce n’est pas le cas c’est pas grave, de nombreuses personnes
vivent avec cette maladie pendant des années et ont une vie normale et bien
remplie.
Papa :
je suis tout à fait d’accords avec toi mon fils
Éric : si j’ai tenu à vous parler aujourd’hui et
à l’insu de ma femme c’est parce qu’il m’est arrivé quelque chose que moi-même
je peine à expliquer et à comprendre.
Je leurs raconte ma rencontre à l’hôpital
avec cette maman et aussi ce qu’elle m’a dit, ils se regardent et papa jacques
secoue la tête comme pour faire oui. Paul se lance donc dans le récit de leurs différents
songes sur sa maman qui essayait de les avertir sur un danger imminent ;
je suis tout de suite frappé par une évidence : jade aussi avait fait un rêve
de ce genre, je le leur dit et nous sommes tous abasourdit. Je crois que
maintenant c’est évident et bien clair pour tous : LA VIE DE
MA FEMME EST EN DANGER ET IL FAUT SE DEPECHER DE FAIRE QUELQUE CHOSE LE
PLUS TOT POSSIBLE
Paul : alors qu’est qu’on fait ?
Eric : je propose que nous nous
rendions immédiatement à Nkongsamba comme l’a suggéré cette dame
PJ : et on raconte quoi à jade ?
elle n’est pas dupe vous savez, elle se doutera forcement de quelque chose si
nous voyageons tous d’un coup
Eric : c’est vrai en plus, bon moi je
peux prétexter un voyage d’affaire
Paul : moi , tous le monde sais que j’ai
demandé à être muté définitivement sur douala, ok c’est bon, Éric tu iras avec
papa très tôt demain matin et moi je resterais ici pour veiller sur elle
Eric : ok c’est compris, papa je
passerais te chercher très tôt demain matin vers 6h
PJ : ok mon fils je serai prêt
Nous passons encore le temps à réfléchir sur
qui voudrait tant de mal à jade au point de vouloir intenter à sa vie avant que
je ne me décide à prendre la route pour chez moi.
Je trouve ma femme dans la cuisine avec
Gloria, ma sœur et Maurelle entrain de faire un gâteau, je les
salue et vais faire un bisou sur le front de ma femme priant de
tout cœur qu’elle ne fasse pas de crise.
Je fais un oups dans mon cœur lorsque je me détache d’elle et qu’elle est
toujours sur pieds et ne semble pas avoir une crise en cours de téléchargement.
Je les laisse vais dans ma chambre prendre une douche rapide avant de
redescendre dans mon coin Bureau afin de travailler un peu. Vers 18h la maison se vide complètement et ma
femme notre fils et moi restons seuls, j’en profite pour l’informer que demain
matin très tôt je ferais un déplacement pour Nkongsamba afin de rencontrer un
futur partenaire d’affaire mais que je serai là en soirée, elle acquiesce et
nous passons à table. Une fois au lit je me contenter de lui faire un autre
bisou sur le front et ensuite sur le ventre avant de la caller dans mes bras
pour dormir. Elle est toute silencieuse. Je sais par le regard qu’elle m’a lancé
qu’elle aurait souhaité que j’aille plus loin mais comment lui expliquer que je
meurs d’envie mais à cause de la menace qui plane sur sa vie en ce moment je me
retiens comme un dingue .je fais donc semblant de sombrer dans le sommeil afin
qu’elle ne me pose point de question. Je sens tout de même son regard sur
moi-même si nous sommes dans l’obscurité mais je me résous à ne rien tenter car
je sais à quoi ça va mener. Dans ma tête je fais des prières tout en essayant
de m’imaginer ce qu’on nous dira demain à Nkongsamba ou alors ce qu’on découvrira
là-bas concernant sa situation. Cette femme je l’aime tellement et je ferai
tout afin qu’elle retrouve la santé.
Je
me lève à 5 heure, prends une douche rapide, charge deux thermos de café pour
papa Jacques et moi avant de prendre la router pour chez papa Jacques. Une fois
devant sa maison je l’appelle et il sort me rejoindre dans la voiture, vers la
sortie de la ville je me rends compte que je n’ai pas prélevé de l’argent, je
m’arrête donc à la prochaine banque que je trouve et prélève de l’argent au
distributeur. Nous reprenons la route dans un silence hallucinant et ne nous arrêtons
qu’une fois en route pour se prendre quelque chose pour le petit déjeuner et
aussi nous soulager.
Une fois à Nkongsamba je suis les différentes
instructions de papa jacques jusqu’au centre-ville. Je me rappelle être venu ici une fois quand
j’étais plus jeune avec mes parents mais contrairement à maintenant où les bâtiments
et les différentes maisons sont toutes vieilles et délabrés, à cette époque
c’était une ville avec des maisons les unes plus belles que des autres, les
passants étaient souriants et semblaient tous heureux sans oublier la chanson
de l’artiste Ndedi Eyango « Nkongsamba » qui était joué un peu
partout. Aujourd’hui Par contre ceux que
je vois semblent tous tristes, comme si le poids du monde entier reposait désormais
sur leurs épaules. Il n’y a aucun doute sur le fait que la pauvreté s’est installé
et avance d’une façon vertigineuse. Je
vois une jeune femme qui selon moi ne doit pas avoir plus de 21 ans assise prêt
de la route avec un bébé sur les jambes et une cuvette de beignets devant elle,
son regard est vide et perdu dans le vide, j’ai bien envie de descendre et lui
acheter toute sa cuvette de beignets afin qu’elle puisse rentrer chez elle avec
son fils et se mettre au chaud mais je me retiens car cela reviendrait à faire pareil pour toutes celles qui
constituent une longue filles autour d’elle. Malgré moi je détourne donc le
visage et continue ma route jusqu’à que papa jacques me demande de me garer
devant une grande église qu’il dit être le GRAND TEMPLE. Nous descendons donc
de voiture et commençons à nous renseigner
afin d’aller où cette maman m’avait indiqué. Les gens se méfient de nous
et nous prennent surement pour des sectaires, sans doute à cause de la voiture
qui je dois l’avouer est énorme, j’aurais dû prendre une voiture un peu plus discrète.
Papa jacques interpelle donc un benskineur (conducteur de moto) et lui demande
s’il pourrait nous guider jusque-là en contrepartie d’une petite somme d’argent.
Il accepte disant qu’il connait très bien l’endroit. Il conduit donc et nous le
suivons avec la voiture. Arrivé à une sorte de carrefour il gare et nous invite
à faire pareil.
Benskineur : vous voyez cet immeuble
jaune là-bas ?
Eric : oui oui celui avec la moto
bleue garé devant ?
Benskineur : oui oui la personne que
vous cherchez est juste derrière, croyez-moi vous ne pouvez pas vous tromper
avec tous le nombre de personnes qui y vont
ERIC : OK , merci beaucoup.
Je sors mon portefeuille quand je vois
papa jacques fouiller sa bandoulière, et lui tends un billet de 10 000 francs.
Ce dernier me regarde les yeux grands ouvert
Benskineur : grand c’est beaucoup
hein
ERIC : Mon frère bois une bière à notre
santé ! dis-je en riant. Avant que tu n’arrives on avait déjà poiroté là-bas jusqu’à
car personne ne voulait se rapprocher de nous
Bernskineur : ok merci beaucoup , il ne faut pas leurs en vouloir , le monde est
gâté donc chacun se protège comme il peut. J’espère que vous aurez la solution
au problème pour lequel vous êtes venus. Comme disait ma mère : priez
avec FOI
IL
nous salut et s’en va. Je vérifie encore une dernière fois que j’ai bien fermé
les portières de la voiture et nous nous dirigeons vers l’immeuble qu’il nous a
indiqué. Nous le contournons donc et une fois derrière trouvons une grande
maison avec une plaque sur laquelle est écrit « SEULE LA FOI SAUVE ».
. Nous saluons les quelques personnes
assisent dans la cour et nous asseyons aussi à notre tour. Je fais sortir mon téléphone
et envoie un message à la femme de ma vie pour lui dire que je suis bien arrivé
et qu’elle me manque. Elle me répond que je leur manque aussi et qu’elle
m’attend impatiemment ce soir. Je remets mon téléphone dans ma poche et
commence à bavarder avec un papa jacques tendu
malgré le fait qu’il essaie de jouer au
décontracté .
Le
temps passe jusqu’à ce qu’un jeune homme vienne nous inviter à entrer. L’anxiété
que je ressentais déjà se multiplie par mille car je ne sais pas ce qui sera
dit là-bas. J’ai pour habitude de traiter des grands contrats avec plusieurs
millions en jeu mais je n’ai encore
jamais été stressé comme je le suis en
ce moment. Le jeune garçon nous conduit jusque devant une grande porte et nous
invite à toquer avant d’entrer puis s’en va. Papa Jacques et moi nous nous
regardons, il opine du chef et je me décide à toquer.
-
Etrez ! retentie une voix de l’autre côté
de la porte.
Nous entrons dans une vaste pièce, ou trône
une sorte de mini bureau sur la gauche tandis qu’à droite se trouvent un canapé
et deux chaises installé sur un magnifique tapis. Sur les murs se trouvent
juste des tableaux sur lesquelles sont écrit des versets bibliques. Pas de
grosses croix bizarres comme ce à quoi je m’attendais.
LUI : bonjour et asseyez-vous s’il
vous plait. J’espère que vous avez fait bonne route et que vous n’avez pas eu
beaucoup de problèmes à vous retrouver
Nous : bonjour
Papa Jacques : grâce à Dieu le chemin s’est fait sans
encombre et arrivé dans la ville nous avons été guidé jusqu’ici par un jeune
homme
Lui: je sais que vous êtes ici pour votre
fille , le seigneur m’a révélé cela cette nuit, raison por laquelle j’ai
tenu à libérer tous les autres visiteurs avant de m’occuper de vous. Votre
fille est victime d’un sort qui, si rien n’est fait finira par la tuer.
Eric : un sort ? mais qui lui a
fait cela ? pourquoi ?
Helloooo , je ne sais quoi vous dire sur mon absence si ce n’est que j’ai une santé très fragile
en ce moment et je me ménage endorment. Qu’a cela ne tienne je ne vous ai point
oublié. Il ne reste que deux chapitres avant la fin de notre chronique donc
accrochez vous car nous aurons une fin en beauté…. kissouuuuuu