Un monde de volupté sans fin...
Ecrit par Les Chroniques de Naty
Chapitre 5
Je dois faire vite pour rentrer à la maison avant que mes
parents ne s’aperçoivent que je suis sortie.
Je décide de passer saluer mes potes avant de terminer chez Léon ;
j’ai besoin de ma d’être avec lui. Il Ya deux jours de cela je ne savais rien
des relations sexuels mais il a fallu seulement d’une seule étreinte pour que
je sois accro. Comme une dope il faut que je la prenne.
J’arrive chez Christophe et ensuite on se mit en route pour
aller chez le troisième membre du groupe Jules.
Je ne supporte pas beaucoup la compagnie des filles donc je préfère
me promener et trainer avec les garçons. Je suis tout le temps entourée de
filles et ça fait trop de chromosomes féminins à gérer ; un peu de testostérone
m’ont fait beaucoup de bien car entre mes sœurs et ma mère ça faisais trop
de femmes dans ma vie. Et puis je m’entends plus avec les garçons. C’est peut-être
pour cela que j’aime discuter les ordres de mon père, je me comporte comme le
fils qu’il n’a pas eu.
Arrivés chez Jules, je leur explique la situation ils étaient
tous étonnés.
—Attends donc tu te marie pour de vrai la semaine prochaine.
Demanda Christophe.
—Oui cher ami.
—Et tu ne viendras plus au cours ?
—Malheureusement mon père ne veut plus que je remette les
pieds à l’école et le comble c’est qu’il va dire à mon futur mari de ne plus
jamais m’inscrire. Vous vous rendez un peu compte de la portée de sa décision.
—Ouais c’est vrai que le vieux n’est pas prêt pour
toi ; mais essaie un peu de te mettre à sa place il veut juste assurer ton
avenir.
—Mais qu’est-ce que vous avez tous à prendre sa défense. M’emportais-je
contre Jules. Donc moi-même je ne suis pas habilité à faire ce qui est bon pour
moi ? Vous m’énervez a toujours vouloir justifier son geste.
—Eeh ne te fâche pas ma belle. Excuse-moi alors, je donnais
juste mon point de vue. Bon tapons l’œil ; et Léon comment prend-t-il la
nouvelle ?
Je roulais les yeux d’un air coquin.
—Il le prend avec philosophie même si au début il était
triste ; mais Devinez quoi ?
—On donne notre langue au chat allez accouche !
—J’ai cassée…
Ils ne semblaient pas comprendre quand soudain leur visage
s’éclaira.
—Oh non tu plaisante j’espère !
—Je le jure. J’en avais marre de tout ça et je ne voulais
surtout pas qu’un inconnu me ravisse ce que j’ai de plus cher. Donc à qui le
donner si ce n’est à mon amour dis-je malicieuse.
—Hum je comprends pourquoi tu brilles autant et il se dégage
de toi un sex appeal d’enfer. Et puis j’adore ta petite robe. Confessa Jules
avec un clin d’œil.
—Mais moi j’ai une préoccupation souligna Christophe. Je
sais que chez vous la virginité d’une femme est comment dire un signe de bonne éducation
et de vertu, mais toi comment ferra tu le jour de ton mariage ? Et qui
plus est ton papa est l’un des représentant de la communauté et il ne laissera
pas ça passé ; le connaissant il va surement vouloir te faire le coup du
drap blanc.
—Comment toi tu sais tout ça Chris ? M’exclamais-je en
pouffant de rire.
—Tu oublie que j’ai eu une petite amie musulmane Myriam et
elle ne voulait jamais sauté le pas avec moi, raison pour laquelle nous avons
rompu.
—Oui ce que tu dis n’est pas faux. Mais moi je me fous complètement
de l’avis de mon père ; il m’a choisi un mari et ça s’arrête là ; il
n’a pas à venir fouiner dans ma vie intime. Pour ce qui est de Son coup du drap
blanc je lui réserve une bonne surprise.
Rien que de penser à la tête de mon père quand il saura que
je ne me suis pas marié vierge me fit éclater de rire.
Je papotais encore un peu avec les garçons et leur fit mes
adieux, vue que ce n’était pas évident que je les revois encore un bon avant moment.
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J’ai un double de clé de la chambre de Léon. Il m’a dit
qu’il est encore au boulot donc je l’attendais à la maison, il ne devra plus
tarder à rentrer.
Ça fait bientôt un an que je suis en couple avec lui. Nous
nous sommes rencontrés dans le magasin de son oncle qu’il gère non loin de mon
lycée. J’ai automatiquement flashée sur lui et je sais que je ne le laissais
pas indifférent non plus. Il est beau et propre ; toujours bien habillé
soit en jeans et polo ou en pantalon et chemise. Il est étudiant en dernière
année de Sociologie à l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan et doit
soutenir sa thèse dans quelques mois.
Il s’occupe de la gestion du commerce de son oncle ; ce
dernier lui paie une modique somme à la fin du mois qui sert juste à payer ses
factures. Il vit dans un petit studio en attendant les jours meilleurs. Il
n’est certes pas riche mais il a un bon cœur et il est vraiment adorable ;
j’aimerais tellement qu’il fasse de moi sa femme et je prie intérieurement pour
qu’il puisse me mettre enceinte, même s’il ne veut pas faire d’enfant tant
qu’il n’aura pas les moyens de s’en occuper.
Sauf que pour moi c’est un gage qu’on restera toujours
ensemble. Et puis je sais que mes parents n’accepteront jamais notre mariage.
Parce que monsieur Oumar Sy Savané Imam de son état n’acceptera jamais de
donner sa fille en mariage à un non musulman ; mais je m’étais promis de
l’emmener à être d’accord avec mon choix. Mais tout ça c’était avant qu’il ne
me parle de ce gredin d’Aly fils de son ami avec lequel il a fait ses études en
Arabie Saoudite.
J’ai déjà rencontré ce dernier quelque rare fois. Il
s’occupe de la société d’import-export de son papa et fait office d’imam de
temps à autre. Même si ce n’est pas sa vocation première ; il a fait ses études
en Tunisie et cela fait un an qu’il est rentrée définitivement au pays.
Coté physique il est grand et bien bâti, il a un joli
visage. Je reconnais qu’il a du charme mais pas plus que mon bébé. Je préfère
de loin la beauté de mon chéri, qui lui ressemble à un Dieu sortie tout droit
de la mythologie grec.
Léon est d’une beauté très minutieuse. Sa grande mère est métisse,
et il a pris un peu de son teint clair et des cheveux naturellement frisé d’un
noir très prononcé ; ce qui lui donne des airs de beau brun ténébreux. Le
genre de mec qui vous brise le cœur mais que vous ne pouvez pas quitter car
vous êtes raide dingue de lui. Il a une belle gueule à la Michaël Ange.
J’étais perdu dans mes pensées quand j’entendis la clé
tourner dans la serrure. Hum mon prince est de retour.
—Salut ma puce ! Tu es là Ya longtemps ?
—Hum pas aussi longtemps que ça. Allez viens m’embrasser.
Il me prit par la taille et m’embrassa langoureusement. Et
je répondis à son baiser avec une fougue non dissimulée.
—On dirait que j’ai réveillé la tigresse qui sommeillait en
toi. Me taquina-t-il.
Si tu savais ce que tu as réveillé en moi…
—Oui on peut dire ça ; ou bien n’es-tu pas heureux
d’avoir été le premier ?
—Bien sûr que je suis heureux sauf que j’aurais préféré être
le seul à pouvoir m’introduire dans ta douce féminité. Il huma ma peau. Hum tu
sens tellement bon ma douce et en parlant de dragon je pense qu’il Ya un qui
vient de se réveiller ; murmura-t-il en tirant ma main pour la poser sur
la bosse qui déformais son pantalon.
Je ressentie une douce chaleur m’inonder au creux de mon
intimité. Il est tellement sensuel.
—Moi aussi j’aurais souhaité que tu sois le seul et
l’unique, mais mon tyran de père en a décidé autrement. Je ne veux même pas
qu’un autre homme puisse poser la main sur moi ; je pense que tu m’as imprégner.
Dis-je avec un sourire coquin.
—Hum bonne nouvelle madame ! Parce que je compte bien
laisser mes marques partout sur ton corps.
Je frissonnais de désir et d’impatience.
—Et que puis-je faire pour remédier à la bosse du pantalon?
Il baissa la tête et commença à défaire sa ceinture en
enlevant rapidement son pantalon.
Waouh ! Il est aussi dressé qu’un cheval et sa virilité
palpitant de désir.
Je me débarrassais de ma robe et comme d’habitude j’étais carrément
à poil en dessous.
—Hum j’adore te voir comme ça ma princesse ; il passa
sa main dans la moiteur de mon entrejambe. En plus tu es toujours chaude. Oh ma
douce comme tu mouille bien ; tu me rends dingue.
Il me mit à genoux sur le lit et commença à masser mes
fesses qu’il avait bien en vue.
—Oh mon Dieu je ne peux pas te laisser te marier à un autre
homme. Rien que d’y penser j’en ai le cœur qui souffre. Je t’aime ma puce.
—Moi aussi je t’aime chéri, et je n’irai nulle part. Et
sache qu’en dépit de ce stupide mariage, tu seras toujours l’homme pour qui mon
cœur battra toujours. Alors tu peux me prendre autant de fois que tu
veux ; je t’appartiens.
Mes mots le mit hors de lui et il commença à caresser les
seins quand d’un coup il entra en moi. Je poussais un long cri de plaisir.
La torture dura pendant ce qui me parut une éternité ;
ses mouvement étaient tantôt rapide comme l’éclair et tantôt lent comme un slow
enivrant.
Il continua à me gratifier de cette performance dont lui
seul à le secret quand soudain je me libérais.
—Oui c’est ça bébé… jouis pour moi !!!
Et comme un ordre mon orgasme se fit encore plus intense,
j’étais encore dans les nuages quand mon amant me rejoignit dans ma jouissance
et ensemble nous planions dans un monde de volupté sans fin…