US AS A COUPLE

Ecrit par Larissa92

                              ****NATHAN SHERIDAN****

Je me sens tellement tendu que je dois respirer lentement pour essayer de me contrôler. Ce n’est pas simplement l’effet de son corps sur moi mais aussi l’effet de sa jalousie. Cela prouve au moins que tous mes efforts n’étaient pas en vain. Elle s’attache à moi et ça je dois avouer que j’adore. Je suis persuadée que son cou est plein de marque rougeâtre. Je n’ai pas envie de la prendre ici mais la facon dont elle est entrain de me caresser ne m’aide vraiment pas. Déjà que je ne l’ai jamais fait ainsi sans rien enfin plus depuis mes années lycée ou c’était un fiasco total jusqu’à ce que je sache ce que j’aime et l’assume grâce a papa. J’ai peur de la prendre et de lui faire mal.

-       Princess…je souffle contre sa joue alors qu’elle continue de me branler.

-       Je veux te sentir en moi SHERIDAN s’il te plait arrête de réfléchir.

C’est quand elle commence a frotter mon sexe contre le sien nu et moite que je me rends compte qu’elle est nue dessous. On va régler ca après. Mes mains se crispent sur ses fesses quand elle me positionne a son entrée et je m’insinue en elle avec violence. Elle étouffe son cri dans mon cou et ses jambes se serrent autour de moi. Comment vous expliquer ce que je ressens étant dans son fourreau ? C’est juste magique j’en tremble presque.

-       Ne te retiens surtout pas. Me susurre-t-elle avant de me mordre l’oreille.

-       Accroche-toi. Je lui dis

Le premier coup la fait presque hurler mais je suis plus vif et lui coupe la parole en l’embrassant avant de continuer. Ce sont ses ongles dans mes épaules qui me montrent qu’elle aime. Ça et ses gémissements étouffés. Je quitte sa bouche pour son sein que je mords

-       Oh Nate…gémît-elle

L’entendre gémir mon nom me rend dingue. Je me sens me liquéfier un peu plus à chaque minute qui passe. Je ne sais plus durant combien de temps je rêve de me perdre en elle comme ca. Enfin pas exactement comme ca mais juste l’avoir pour moi et la faire mienne. Elle me surprend en me repoussant doucement. Elle se retourne colle son torse au mur et m’offre sa croupe. Cette vue m’excite encore plus. Je prends le temps de regarder autour de moi avant de la soulever et me fondre en elle. Elle se laisse faire et se contente de recevoir mes assauts sans vouloir prendre le dessus. Elle prend une de mes mains qu’elle conduit sur son sein. Elle me fait lui pincer la pointe assez fort et je la sens venir ce qui me fait aller plus vite. Elle finit par jouir par jet sur moi. J’avais presqu’oublier qu’elle est une femme fontaine et j’adore comment elle me mouille en tremblant. Je la retourne et l’embrasse pour que ses soubresauts se calment. Quand elle se calme, elle me regarde dans les yeux.

-       Tu n’as pas aimé ? Demande-t-elle l’air déçu.

-       Bien sur que si. Je réponds en mettant de l’ordre dans ses vêtements.

Elle s’adosse au mur et me regarde alors que j’essaie d’arranger mes vêtements. Son air déçu ne l’a quitté. Moi je dois me changer parce que sinon c’est la catastrophe. Mais avant il faut que j’efface cette déception du visage de ma chérie. Je l’attire donc a moi et la tien pas la taille.

-       Hey look at me. Je dis d’une voix douce.

Elle leve les yeux vers moi et j’y vois briller des larmes

-       Tu sais que ce n’est pas toi le problème mais moi n’est-ce pas ? Je suis programmé ainsi. J’ai aimé ça me plait rien qu’être en toi mais il me faut autre chose pour jouir.

Je vois une larme couler de sur sa joue lentement puis, une autre.

-       Je sais que c’est stupide mais je pensais que ce serait différent avec moi pour une raison ou une autre bref.

-       Tout est différent avec toi Princess absolument tout. Avec une autre je n’aurais eu une érection que si je l’avais vu ligoté ou asservi. Alors oui tu es différente des autres sur plusieurs points.

-       J’ai envie de te faire te sentir aussi bien que tu me fais me sentir quand je suis avec toi. Je veux t’apporter autant que tu m’apportes par ta simple présence.

Je la soulève de terre et elle s’accroche à moi comme un petit singe. J’adore quand elle fait ça.  

-       Quand je vois ce grand sourire que tu fais ces derniers temps sur ton visage et que je me rends compte que c’est grâce a moi ou pour moi. Tu me rends heureux à chaque pas que tu fais vers un NOUS alors ne force pas les choses.

Je parle en nous conduisant dans la maison à partir de l’autre porte. Elle entoure mon cou de ses bras et m’embrasse. Je l’aime trop cette fille. Quand on arrive ou je voulais sans croiser personne, je nous conduis dans la salle de bain. On prend une douche pleine de caresse et de baisers avant de choisir parmi les vêtements qui sont dans cette chambre. Il y a cette pièce dans cette maison ou il y a toujours des vêtements que nous laissons ou que le couple commande et laisse pour nous. Y en a de toutes les tailles tout simplement parce que c’est plus ici qu’on se rencontre. Je me fais un plaisir de lui prendre une longue robe sobre couleur crème. Elle est ouverte ou niveau du dos mais couvre toutes les autres parties de son corps. Avant de sortir, elle lève la tête vers moi a la recherche d’un baiser. Elle s’est plainte dans la salle de bain du fait qu’elle ne peut pas m’embrasser comme elle veut à cause de ma taille.

Tous les regards se posent sur nous quand nous faisons notre entrée dans le jardin. Il faut dire que c’est clair que nous avons fait des impolitesses, vu que nous sommes changes et ma cherie a une coiffure complètement différente. Je la sens toute gênée près de moi. Sa main serre plus fermement la mienne. Je nous conduis a notre table ou nous prenons place.

-       Mais vous ne savez même pas être discret hein. Vous partez 1h pour revenir avec différents vêtements, coiffure et cheveux mouillés. Lance Eddy. Les autres se moquent aussi et Petuna attrape mon bras et pose sa tete dessus toute rouge.

Sa bague brille sous le reflet de la lumière. Elle fait de petits pas donc je ne vais pas commencer à lui mettre la pression avec ce genre de détails bien qu’énorme. Je sais que le jours qu’elle ôtera ses bagues, elle sera prête a passer a l’étape supérieure, la dernière donc je ne la stress pas. Jusqu’ici la manière dont je procède marche donc je ne vais pas non plus changer. Je sais qu’elle est avec moi parce qu’elle le veut et non parce qu’elle est obligée donc ça me suffit amplement. C’est vrai que j’aimerai entendre un je t’aime comme réponse au mien mais je préfère qu’elle ne me le dise pas au lieu de le dire sans vraiment le penser.

Les conversations vont bons trains autour de la table. Certains se sont levés pour aller danser d’autre mangent étant donné que le service de cuisine fonctionne toujours. Je manque m’étouffer en buvant mon verre de scotch quand je sens la petite main de ma femme se poser sur mon sexe. Il est redescendu après la douche mais à recommencer à prendre un peu de volume quand je l’ai vu dans sa robe. Surtout que je sais que dessous elle est complètement nue. C’est moi qui ai enduit son corps de sa crème hydratante. Donc je sais à quel point sa peau est douce en ce moment. Je me mets à tousser aussi discrètement que je peux avant de sentir le zip de ma fermeture être glissé. Elle sort mon sexe et se met à le branler. D’habitude je n’aime pas tout ce qui me soumet. Ce qui fait en sorte que ma partenaire ait du pouvoir sur moi mais j’aime bien ce qu’elle est en train de me faire en ce moment et encore plus le fait qu’elle soit assise ici avec son air innocent. Elle continue sa conversation avec Nayla alors que je suis certain d’être tout rouge.

-       Qu’est-ce que tu as ? Demande Ed alors que je ne fais que me racler la gorge.

-       Rien. Je réponds en serrant mon verre alors qu’elle me caresse le bout du sexe.

Cette petite veut me manquer de respect je vous jure. Elle veut faire plier un grand comme moi. Je n’ai jamais pris mon pied de cette manière. Tout comme je déteste la fellation. Mais là c’est surement son air qui me fait cet effet. Elle a l’air a fond dans sa conversation avec Nayla que Rick ignore depuis le début de la soirée. Je ne sais pas ce qui se passe entre les deux et je n’ai pas le temps de m’en inquiéter pour l’instant alors que la petite pression que ma femme fait sur mon membre est sur le point de me faire perdre pied. Je finis par poser ma main sur la sienne pour la stopper. Si je dois jouir, ce sera en elle. Elle tourne la tête vers moi et je lui pose un baiser sur les lèvres.

-       On rentre ? Je lui chuchote.

-       Quand tu veux. Dit-elle avec un grand sourire.

-       Que l’érection que tu m’as donné baisse.

Elle sourit et je l’embrasse une dernière fois avant de la mordre tendrement. J’ai constaté qu’elle aime ça.

-       Si on m’avait dit que j’allais te voire sourire plus d’une fois en une soirée. Me fait remarquer Eddy. Cette fille te rend humain à ce que je vois.

-       Autant que celle que tu nous caches et trompes à tort et à travers. Je lui fais remarquer d’un ton réprobateur.

-       S’il te plait ne me commence pas tes choses de droiture là. Me dit-il en levant les mains. Il y a trop de bonnes choses dehors. Comme celle qui passe là.

Je ne sais pas comment il fait pour tromper. Ni ou il a appris ça. Je ne vois pas un de nos pères qui l’a fait à une de nos mères. Oui je sais qu’en couchant avec Princess alors qu’elle était toujours en couple était mal mais je sais aussi que je ne pourrais pas la tromper tellement je l’aime. Je comprends aisément ce que Kristof a pu ressentir quand il a su et surtout que j’étais toujours dans la vie de Princess après. Jaloux et extrêmement possessif que je sois-je ne pense pas que je supporterai une telle chose. Je pense aussi qu’elle a appris la leçon avec la douleur infligée à Kristof et qu’elle ne fera plus jamais une chose pareille.

Eddy a une copine avec qui il est depuis deux ans. Cette fille l’a soutenu pendant ses années d’étude vu qu’elle était d’abord une amie a lui mais il ne traite pas cette fille a sa juste valeur. Je redoute qu’elle en ait ras le bol et finisse par le quitter. Elle m’a déjà appelé en larmes par deux fois à cause de soupçons d’infidélités. Une fille superbe. Je ne sais pas ce qu’il cherche dehors.

-       Je ne sais vraiment pas ce que tu cherches dehors que tu ne vois pas chez Precious. Je ne peux m’empêcher de dire

-       Déjà Precious est bien en chair contrairement a celle qui arrive là.

Il parle de l’une des serveuses qui vient vers nous avec un plateau de fruits de mer. Elle passe trop à cette table à mon gout. Elle ressemble plus à ces filles légères vu comment elle a exposé ses petits seins et ses grosses fesses sont moulées dans une jupe on dirait qu’elle va craquer d’une minute a l’autre. Elle se baisse outrageusement pour poser le plateau que nous n’avons pas commandé soit dit en passant. Elle ne quitte pas Eddy des yeux. Lui aussi il fait genre bref. Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas. Nayla et Princess ont stoppé leurs conversations et regarde la fille faire son jeu. Je me suis levée après avoir vérifié que j’avais remonté ma braguette et lui ai tendu la main elle l’a prise et nous sommes allés sur la piste pour danser sur perfect d’Ed Sheran. C’est à peine si on bouge. Elle a la tête sur moi et les mains dans mon dos. Elle ne peut pas les passer autour de ma nuque car trop petite pour. J’ai tellement de choses que j’aimerai lui dire mais je me retiens. J’ai l’impression parfois qu’elle m’écoute sans que j’aie besoin de parler comme maintenant. Elle lève lentement la tête vers moi et me tend ses lèvres. Je me baisse vers elle l’embrasse. A la fin de la chanson, on cherche maman Sameen et tonton Hilash a qui on dit aurevoir.

-       Faites attention sur la route. Dit maman Sameen en nous bénissant.

Je cherche maman des yeux et nous allons dire aurevoir a papa et elle. Elle est un peu plus distante avec Princess que Maman Adriana et maman Sameen. Elle n’arrive pas à lire en elle. Je le sais parce que j’ai fait un blocage pour ça. Je veux que notre couple soit à nous, juste elle et moi. Je ne veux pas que quelqu’un soit au courant de notre avenir alors que nous ne le sommes pas. Je sais qu’elle est la bonne et ça me suffit.

Dans la voiture, je la sens pensive et le lui fait remarquer.

-       Qu’est ce qui se passe ?

-       Rien. Dit-elle simplement avant de pousser un soupir

-       Ecoute si tu n’es pas prête on va attendre tu le sais n’est-ce pas ?

-       Ça n’a rien à voir Nate arrête. Je ne regrette pas ce qui s’est passé plus tôt et je suis prête. C’est juste que je suis consciente que ta maman et ta tante Adriana et m’apprécient pas vraiment et j’aimerai trouver un moyen de changer ça.

-       Contente toi d’être toi-même et tu verras que les choses se feront d’elles même. En plus l’important est que moi je t’aime.

Elle me regarde, sourit et porte la main que j’avais sur sa cuisse a ses lèvres. Elle remonte ensuite sa longue robe jusqu’au niveau de ses fesses, pose une jambe sur moi et une autre sur le tableau de bord avant de poser ma main sur son aine. Quand je vous dis que cette fille veut me tuer. Alors que mon index et mon majeur se promènent entre ses lèvres, elle baisse la bretelle de sa robe et commence à se masser le sein. Mes yeux vont de son visage a la route. Heureusement que je conduis une automatique. Elle rejette la tête en arrière ferme les yeux et se mord la lèvre quand je lui enfonce deux doigts. Je commence a aller et venir et elle gémit en se pinçant les deux seins maintenant. Je libère son antre et vais lui agacer le clitoris. Elle se tord de plaisir ici en chantant mon nom. Résultat, je suis bien gonflé ici et l’idée qu’on arrive bientôt à la maison fait que je gonfle plus.

-       Nate…oh Nate gémit-elle en laissant échapper un jet alors que je me gare.

Je continue de lui caresser les seins jusqu’à ce qu’elle se calme. Je me baisse vers elle et happe une pointe. Il y a encore un peu de lait qui en sort mais plus grand-chose. Je sors de mon côté et viens l’aider en prenant le soin de vérifier qu’elle a mis de l’ordre dans ses vêtements. Je la colle a la voiture et l’embrasse langoureusement en prenant le soin de prendre possession de sa bouche pour lui donner un avant-gout de ce qui va suivre.

-       Tu es sure ? Je demande quand on arrive dans la maison

Elle dit oui alors, je pousse la porte de la bibliothèque. Elle resserre sa petite main sur mes doigts. Je la regarde et elle me fait un sourire incertain. Je m’arrête au milieu de la salle et me tourne vers elle. On reste quelques minutes au centre de la pièce. Je prends son visage entre mes mains et lui pose un léger baiser sur les lèvres.

-       Si tu ne veux pas tu n’es pas obligée Princess.

-       Ce n’est pas ca SHERIDAN. Dit-elle en détournant le regard

-       Hey regarde-moi et dis-moi ce qui te dérange.

Ses épaules s’affaissent et elle soupire. Je la conduis jusqu’au lit et la fait asseoir sur moi. Direct elle met la tête dans mon cou et se met à pleurer en me disant qu’elle est désolée. Là je me maudis de ne pas y avoir pensé. Notre première fois était ici mais notre première fois est attachée a une douleur infligée a l’homme qu’elle…

-       Je n’aurais pas dû t’emmener ici. Je dis en lui caressant le dos.

-       Je veux que notre première fois soit ce que tu mérites SHERIDAN. Pas quelque chose qu’on a volé parce que tu mérites tellement mieux. Dit-elle en me faisant des bisous sur le visage le visage en larmes.

-       Arrête de pleurer mon amour. Nous devons simplement accepter que cet épisode fait partie de notre histoire. Je ne veux pas une histoire d’amour classique parce que c’est tellement ennuyeux parfois. Je veux une histoire d’amour juste a nous. Alors oui on n’a pas commencé en ayant le coup de foudre ou en se rencontrant de manière conventionnelle comme les autres mais cela ne veut pas dire que notre histoire ne sera pas belle. On la racontera aux enfants dans 10 ans avec les erreurs commises pour qu’ils ne commettent pas les mêmes. Je sais que ça pèse sur toi quand les gens racontent que tu n’as pas assez pleuré Kristof mais ne t’attarde pas dessus. Tu lui as donné les meilleurs cadeaux vos enfants. Je sais que tu le pleures tous les jours et je n’ai pas besoin que tu te caches de moi pour pleurer. Avant d’être ton homme, je suis ton ami je ne veux pas que tu oublies cette partie-là de notre relation. Je t’aime et ca ne risque pas de changer.

Elle plonge sur mes lèvres dès que je finis de parler et m’embrasse avec une passion que je ne lui connais pas jusqu’ici.

-       Je veux être ta soumise aujourd’hui et tous les autres jours de ma vie. De NOTRE vie.

Elle a son front collé au mien et me regarde dans les yeux. Je lui souris.

-       Ta soumise juste dans la chambre hein. Précise-t-elle.

Je ris et elle aussi. Elle se lève et se met à se promener dans la pièce en caressant tout ce qu’elle voit du bout des doigts.

-       J’aimerai bien essayer ça. Dit-elle en pointant le swing

-       Les principes d’être une soumise c’est de ne pas avoir de voix. Tout se fait comme je veux. Je dis en souriant.

-       Oh ok. Dit-elle

Elle soulève la robe et la fait passer par-dessus sa tête et se retrouve nue devant moi. Les marques que j’ai laissé sur son corps m’excite.

-       Je vais être puni pour ça je suppose. Dit-elle en me tendant la cravache un sourire espiègle aux lèvres.

Je prends la cravache et l’attire a moi pour l’embrasser de manière rude. Elle se laisse faire puis, je la surprends en lui assenant un coup aux fesses. Elle tressaille de douleur et je la retourne pour voir la marque.

-       On va y aller doucement pour une première fois.  Je lui dis quand je la retourne vers moi.

Je la fais coucher et lui montre les menottes. Elle me fait signe que oui de la tête.

-       Tu me fais confiance n’est-ce pas ? Je lui demande. De nouveau un oui de la tête. Dès que tu ressens le besoin d’arrêter tu me le dis. Je ne vais pas te bâillonner aujourd’hui. Ok sur le dos.

Mon ton est sec et elle obéit. Je lui passe les menottes autour de chaque poignet et condamne sur les barres du lit. Je fais ensuite lever sa croupe avant de prendre la cravache.

-       Surtout tu me dis quand tu ressens plus de douleur que de plaisir ok ?

-       Ok. Dit-elle

Le premier coup la surprend et ses fesses tremblent. Elle gémit un peu de douleur et la trace rouge ne tarde pas à apparaitre. Je défais les premiers boutons de ma chemise et mes manchettes. Un autre coup et elle gémit encore en tendant sa croupe vers moi. En faite ce que je prenais pour une plainte douloureuse était une plainte de plaisir. Un dominateur ne prend vraiment de plaisir que quand la soumise aime ça aussi. Raison pour laquelle je suis totalement tendu dans mon pantalon. Je lui donne encore deux autres coups. Je la voix se débattre avec les menottes. C’est trop jouissif de la voir ainsi. Ses fesses sont assez meurtries comme ça. Je monte sur le lit lui écarte les jambes avant d’y enfouir ma tête pour lui manger proprement la foufoune.

-       Putainnn. Crie-t-elle quand je lui mords légèrement le clitoris.

Pour le moment, je vais la laisser prendre son plaisir parce que ça m’excite aussi. Elle se débat avec les menottes mais je m’acharne sur sa chair sensible.  Ses gémissements se font de plus en plus fort et je ne sais pas si je vais me contrôler longtemps. Je continue de la lécher en massant ses fesses meurtries pour mélanger plaisir et douleur et c’est entrain de la rendre folle. Elle me supplie d’arrêter et quand je le fais, elle me supplie d’y aller plus vite.

-       Je viens…je viens SHERIDAN. Crie-t-elle

Quelques secondes plus tard, elle se verse sur mon visage et je me fais une joie de la sentir couler sur moi. Je vais boire les dernières gouttes avant de la lécher encore. Tout son corps s’affaisse sur le lit mais je le remonte à mon niveau, lui ouvre encore les jambes avant de la prendre sans la prévenir. Tout habillé. Elle pousse un petit cri de surprise avant de se mettre à gémir. Elle m’enserre tellement bien que je me rends compte que je ne mettrais pas long feu avant de jouir.

-       SHERIDAN…seigneur SHERIDAN. Gémit-elle alors que je la prends avec plus de force.

Je défais son chignon et enroule ses cheveux autour de mon bras avant de tirer dessus. Pendant que ses bras son prisonniers du lit, sa tête est prisonnière de ma main et je la lime avec force. La voire tiraillée ainsi a raison de moi et je jouie en tirant plus fort sur ses cheveux en grognant. Elle jouie encore une fois sur moi. Oui elle est profonde et clitoridienne. Elle dit des choses dans une langue que je ne maitrise pas avant de se laisser aller sur le lit. Je prends les clés sur la table près du lit et la libère. Dès qu’elle se retourne, elle prend ma tête entre ses mains et m’embrasse. Je me rends compte que ça lui a manqué pendant l’acte.

-       C’est quoi ce sourire ? Je demande alors qu’on se sépare.

-       J’aime voire ton visage satisfait grâce a moi. Dit-elle

-       Je t’aime. Je dis en caressant son visage.

-       Je…

-       Tu n’as pas besoin de répondre. Je coupe

-       J’espère juste que tu sais à quel point tu es important pour moi.

-       Je sais. Je dis en la portant.

Nous sommes sous la douche dans notre chambre et elle ne fait que me poser des questions.

-       Alors ?

-       Ngono je t’ai dit que j’ai aimé comment on l’a fait au mariage tout a l’heure aussi. Je dis en soupirant.

-       Quand un homme aime il jouit non ?

-       En principe oui mais je peux aussi aimer juste etre en toi.

-       Donc on ne le fera jamais de manière spontanee ? Genre on veut juste se sauter dessus ?

Je vous jure qu’elle me donne des maux de tete. Je lui ai déjà dit que je ne l’ai jamais ressentis avec quelqu’un mais je ne sais pas en quelle langue elle veut que je lui dise.

-       Ok on va faire un truc alors. Si toi tu as envie de me sauter dessus n’importe où, fais-le comme ça on verra comment mon corps réagira ok ?

-       That’s fair enough. Dit-elle enfin mais ce n’était pas fini. Donc la prochaine fois qu’on le fera tu utiliseras quoi ?

-       NGONO comment je saurais ? Je demande alors qu’elle a son peignoir et me grimpe dessus.

Je finis par la prendre au dos. Mais sa bouche ne se ferme pas. Si je lui dis qu’elle bavarde trop elle va se plaindre. Je ne l’ai pas assez fatigué. Les autres femmes quand elles jouissent même une fois elles dorment mais celle-ci deux fois ne suffisent pas. J’épargne juste son corps pour un début. Dans la chambre, je la pose et elle sort une petite valise pour préparer ses affaires pour son weekend entre filles à Kribi.

-       En faite tu voulais me distraire pour faire ta valise toute seule. Je remarque

-       Je ne vois pas de quoi tu parles. Dit-elle en sortant une longue robe blanche et legere.

-       Je parle de la robe que tu as en main par exemple. Quand elle se mouille elle est complètement transparente donc non.

-       Mais je ne vais pas la mouiller.

-       NGONO après c’est pour dire que c’est quelqu’un d’autre qui t’a mouillé et ce n’est pas ta faute si mes choses sont dehors. Je dis non. Et ce deux pièces rose ce n’est même pas la peine d’y penser. Je t’ai vu avec sur des photos. Ça a l’air sage comme ca mais sur toi pas du tout.

-       Seigneur Jésus. Fait-elle en passant la main sur son visage dépassée.

-       Laisse le la ou il est. Il a vu tout ce que tu as fait dans l’autre pièce. Je ne serai pas à Kribi avec vous mais ce sera tout comme ne l’oublie pas.

Accept, Stay, Fight...