14

Write by kony ariane

. 14

Il m’a soulevé et m’a  posé sur le rebord de ma commode. Il a remonté ma jupe, retiré ma culotte qu’il  a porté à son nez avant de la mettre dans sa poche. Avec ses lèvres et sa langue il a mangé ma moule jusqu’à  explosion.

J’avais  la tête qui tournait tant la jouissance avait été grande. J’ai  pris une douche et je suis venue près de lui dans le lit.

-tu pars à quelle heure ?

-je ne sais pas. Christophe en question il te fait des avances ? Il a l’air  d’aimer  ton cul surtout. Il salivait en le regardant

-aucune idée, nous avons juste dîner. C’est  mon patron

-bien. Je vais faire une tournée nationale. Je crois que j’en ai pour trois à quatre semaines et quand je reviens? je dois voir des partenaires en Europe…

-très bien, je serai là à ton retour

J’aime qu’il soit ambitieux, j’aime qu’il  poursuive son rêve, mais j’aime moins qu’il me délaisse.

-j’aime pas être loin de toi surtout maintenant

-ça veut dire quoi ?

-que je suis fou de toi comme jamais

-tu pars quand ? Et tu reviens quand ?

-d’après mon agenda j’en ai pour  un mois et demi ?

-un mois et demi ? Tu me demandes ? Ok, bonne chance et courage. Je reviens je vais me prendre quelque chose à boire. Je te rapporte quelque chose ?

-Une bouteille d’eau

C’est vraiment difficile d’être  avec une personne comme lui et dans ma condition. C’est  comme si je dois toujours répondre présente quand il faut.

Lorsque je reviens, il me montre mon téléphone.

- dois-je m’inquiéter Rita ?

-pour ?

-ton cher Christophe a adoré parler avec toi, il espère remettre ça et te souhaite une douce nuit.

-D’accord, le problème est où ?

-Il n’y  en a pas ma chérie.

-la solitude me tue Georges, ce n’est  qu’un collègue

-qui a des vues sur toi…

-et moi je n’ai d’yeux que pour toi.

-j’ai  confiance en toi, mais de savoir qu’un autre te désire, j’aime pas.

-encore heureuse que d’autres  me désirent mon cœur, tu sauras que la compétition n’est pas gagnée.

J’ai eu droit à une tape sur la fesse, qui s’est soldé par un énième témoignage d’amour.

 

Georges est parti pour sa tournée, il est davantage amoureux de moi. Nous parlons jusqu’à nous endormir. Il m’envoie  des messages dès qu’il à un bout de temps. J’ai même reçu un paquet ce matin avec un mot. « Tu mettras ça ce soir, je verrai si c’est comme je l’imaginais ». C’est  des dessous ultra sexy.

J’ai attendu toute la journée que le soir vienne. Je me suis faite une belle toilette et j’ai enfilé mon cadeau. Il était vingt  heures et j’avais  hâte qu’il m’appelle. J’ai attendu plus d’une heure et toujours aucun appel. J’ai reçu un message, mais pas de lui. « Pourrais tu sortir, j’ai quelque chose pour toi. Désolé, je sais qu’il est tard. » C’est de Christophe.

J’ai enfilé un gros pantalon qui traîne et un tee shirt. J’ai troqué mes escarpins contre des sandales et je suis sortie.

-salut,

-vraiment désolé de débarquer à cette heure mais je suis sorti acheter des glaces et j’ai pensé à toi. Je sais que tu aimes le chocolat donc j’en ai pris à plusieurs recettes

-merci c’est gentil

-donc comme ça tu vas faire la fête et tu ne penses pas au petit frère.

Il l’avait dit avec son accent ivoirien pur souche

- non je ne sors pas,

Je me suis souvenu être maquillée en mode femme fatale

-en fait je devais sortir mais j’ai  annulé.

J’ai vu des phares braqués sur nous et quand j’ai réalisé, la voiture entrait déjà dans le garage. Georges ? Il est je ne sais dans quelle localité…

-je ne te retiens pas plus longtemps. Agréable soirée et pensez au petit s’il y a un mouvement.

Et il me fait un clin d’œil. Il est craquant.

Lorsque je suis retournée dans la maison, Georges était encore dans sa voiture et son chauffeur dehors. Il m’a dit que son patron demande que je monte dans la voiture. J’ai été surprise, il n’a  plus rien ajouter et a suivit le gardien dehors. J’ai pris une grande inspiration et je suis montée.

-bonsoir mon cœur, que fais-tu ici ?

-Toi que faisais-tu dehors ? Et c’est  quoi ça ?

-mon collègue m’a  ramené des glaces

J’ai vu sa mâchoire se serrer. Il a pris son téléphone et la minute d’après le chauffeur est venu. Georges a baissé la vitre et m’a  pris le paquet des mains.

-débarrasse moi de ça

Je n’ai pas pipé mots. Quand il eu fermé la vitre et que le chauffeur eut refermé le portail derrière lui, à peine allais je crier qu’il dit d’une douce voix.

-tu veux des glaces, tu demandes à ton homme. Il n’a pas à faire ça. C’est de mon ressort à moi de te faire plaisir.

Sa phrase m’énerva tellement que je levai les yeux au ciel.

-je t’ai dit plus d’une fois de ne pas faire ça, c’est irrespectueux.

J’étais  davantage énervée que je me mis à tirer sur mon tee short.

-Tu n’as pas osé

-qu’ai je encore fais ?

Il soulève mon haut et regarde. La climatisation m’a  durcit les tétons. Le moteur tournait toujours. Il a ôté mon haut. Il ne faisait que jurer. Il m’a embrassé le creux de la poitrine qui était bombé davantage grâce au soutien gorge. Il descendit mon pantalon. On aurait dit qu’il avait vu un fantôme.

En un éclair, il a défait sa ceinture et descendu son pantalon. Il me souleva et me posa sur son axe. Il me déposa délicatement de manière à ce que je le sente dans mes chairs. Je me mis à onduler tel un ressort qu’on  venait de titiller. Il ne mit pas long feu. Il m’embrassa avec fougue.

-met ton haut et suis-moi.

-ton chauffeur, le gardien…

-mon chauffeur et lui se tiendront dehors jusqu’à  ce que je leur fasse signe.

Je suis sortie, j’allais  courir lorsqu’il  m’a  rattrapé.

-je t’aime tu en as conscience ?

           

L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

L' Amour Au Grand Jo...