Chapitre 11: Le debout de tout.

En une heure et trente minute je n’ai pu parlé cinq minutes avec la future mariée à se demande pourquoi je suis encore là. Je ne connais personne et vu la mine que j’ai, je dois effrayé tous ceux qui voudraient me faire la conversation et ceux même de manière polie. J’expire lourdement et sort mon téléphone de ma pochette pour regardé l’heure 21H42, ok c’est décide à 22H00 je vais m’excuse auprès de mon hôtesse en prétextant une longue journée et rentré chez moi peut-être que j’arriverais à temps pour voir la fin du film que Sophie et Maimouna suivent.

« Je vous offre une verre. » cette voix grave et profonde aux intonation régulière me dit quelque chose. Quand je me retourne c’est juste pour confirme que effectivement c’est lui. Je le regarde surprise il doit être tombe sur la tête sinon pourquoi me proposerait-il ça?

« Vous? »

« Vous êtes partie très vite après l’interview. »

« Yep » c’est tout ce que je sais dire sans rougir sous son regard inquisiteur.

« Serait-il de trop de demande pourquoi? »

Je me tourne pour lui faire face « vous vous foutez de moi? »

Il me regarde l’air de pas vraiment comprendre le pourquoi de ma question et réponds avec sérieux. « Sachez mademoiselle que je me fiche rarement des gens. »

« Vous vous êtes comporte comme.. »

Il me coupe la parole « un con »

« exactement, j’ai fait les maths. Traité l’un de mes futurs ‘’patron’’ de con n’allais pas m’obtenir ce contrat alors je n’ai pas trainé. »

« Hum hum. »

Hum. Hum. C’est tout ce qu’il trouve à dire. Mon irritation doit se lire partout sur mon visage car il reprend la parole. « Vous auriez pu regarde ou vous alliez? »

Waouh cet homme est d’un culot sans limite « ça vaut pour vous aussi je pense. » Avant qu’il n’ai pu dire quoique ce soit je reprend « Oh bien sûr ça ne doit pas être le cas, vous faites partir de cette catégorie d’homme qui croient avoir droit à tout surtout s’il ont le charisme et le porte feuille qui va un temps soit peu avec. »

« Vous êtes dur là. »

« Oui vous allez me dire que je me trompe? Que vous ne vous attendiez pas à ce que je me confondes en excuses? Que je rougisse comme une adolescente une fois que j’aurais posé les yeux sur vous? »

« Waouh » il a un léger mouvement de recul « il ne vous a pas raté dites moi. »

« Et qui donc? »

« L’homme qui vous a brise le coeur. »

« C’était avant ou après vous avoir promis mont et merveille avec sa plastique de rêve et son argent? »

Sa réplique me fait l’effet d’un coup de poing dans le plexus ce qui pendant quelque seconde me coupe le souffle. Je dois cligne plusieurs fois des yeux pour réfrène les larmes qui menace de déborder. Pourquoi ça me touche autant venant de quelqu’un que je ne connais pas, d’un fils à papa à qui tout a dû lui être servi sur un plateau d’argent, qui jamais de sa vie n’as eu à souffrir, ni à manquer d’affection.

« Je. suis. désole. » Je n’ai pas besoin de croise son regard pour savoir que je vais y trouve de la pitié hors c’est la dernière chose dont j’ai besoin venant de lui.

« Pourquoi? D’être un con sans manière? »

« Heu! je croyais que… » Pour la première fois depuis qu’il m’as aborde de manière on ne peut plus arrogante, se croyant dans son bon droit de m’impose sa présence il semble gêné, presque mal à aise.

« Que vous m’aviez cerné? » Je suis tenté de lui dire que oui mais que c’est beaucoup plus compliqué que ça. Que effectivement j’ai eu le coeur brisé, qu’on m’as vole mes illusions et qu’on m’as refuse le droit de ne serait-ce que rêve d’amour mais à la place je ne dis rien. 

« Ce que je voulais dire c’est que » mais il ne finit pas sa phrase car on est interrompu par Soumaya et son frère. Mr. Al-Hayat est celui qui était avec l’inconnu dans la salle de réunion. La tension entre l’inconnu et moi est palpable et mon amie et son frère viennent de s’en rendre compte.

« C’est un plaisir de vous revoir Mlle. Mahmoud. »

« Mr. rien ne m’aurais empêche de venir célèbre le bonheur de Soumaya. » Je me rends compte en prononçant cette phrase que je le pense vraiment et le sourire que j’offre à Soumaya est vraiment sincère.

« Merci, j’ai cru comprendre que tu as eu une journée plutôt merdique. » Elle dit ça en jetant un regard des plus réprobateur à  l’inconnu que je surnomme Mr. X vu que je  ne connais toujours pas son nom avant de me serre dans ses bras. Ils m’ont l’air d’ailleurs de bien se connaitre je pense mais ça dois être normal vu qu’il sont associés.

Mon téléphone choisit ce moment pour sonné quand je regarde je constate que c’est Sophie l’inquiétude m’envahit et c’est sans m’excuse auprès de mes hôtes et la main tremblante que je décroche en me tournant. « Oui? »

« C’est moi. »

« je sais. » je suis impatiente.

« Maimouna et moi on voulait savoir si tu rentre bientôt. »

« Heu, oui pourquoi elle ne se sent pas bien? »

« SI si  ne t’inquiète pas, c’est juste pour te demande de t’arrête au Mc-do nous prendre des mac-fleuris. »

J’exhale de soulagement « ok ça marche, je ne vais plus tardé de toute façon. Salam. » je raccroché et me tourne à nouveau vers eux.

« Tout vas bien? » Soumaya me demande inquiète.

« Oui ça va, mais je vais rentre je n’aime pas traine trop longtemps surtout quand elle n’est pas bien. »

« Votre fille? » La question pourrait paraitre innocente si ce n’était pas Mr. X qui l’avait posé.

« Non ma soeur. » Mon ton est un peu acerbe.

« Mlle avant que vous ne partiez. »

« Oui? » Toute mon attention est maintenant focalisé sur Mr Al-Hayat.

« Je serais ravi de pourvoir travaillé avec vous, ma secrétaire vas vous appelez pour réglé les détails. »