Chapitre 19

Write by St Daniel

Les chroniques de Saint Daniel


Titre : L’amour des temps.

Auteur : Saint Daniel


Chapitre 19


J’étais là à regarder le journal quand mon téléphone portable sonne, c’est là j’ai remarqué que Sylvia s’est elle aussi endormie. J’ai fait attention à eux et je me suis déplacée sans la réveillé. Suis partie prendre l’appel et à mon retour j’ai porté princesse que j’ai posé dans le berceau. Après je suis venu porter Sylvia aussi dans mes bras.


Sylvia : Chéri vient là s’il te plait.

Ulrich : Euh je ne suis pas en forme pour ça  maintenant…

Sylvia : Qui parle de baise ? Moi je veux juste que tu me couvre de tes bras afin que je n’aie pas le froid de la nuit.

Ulrich : D’accord.


Le lendemain très tôt le matin je suis déjà réveillé. Je revoyais quelque truc concernant la banque sur mon ordinateur quand Sylvia se réveille à son tour.


Sylvia : Chéri tu fais quoi ? Euh c’est pour quoi ce valise ?

Ulrich : Ah tu t’es réveillé ? Je fais juste mon boulot. Ah oui ! Je vais voyager. Je vais me rendre quelque part pour une affaire. Je ferai un ou deux mois.

Sylvia : Un ou deux mois ? Un voyage d’affaire. Et on ne peut pas t’accompagner ? Notre fille et moi.

Ulrich : Euh elle n’est pas encore prête pour un tel voyage. De plus tu dois l’amener voir le docteur après-demain.

Sylvia : Ok. Mais tu peux attendre non ? Comme ça  on demande au docteur et s’il donne son accord on ira tous ensemble.

Ulrich : Non. Je ne peux pas. C’est urgent. Sinon…

Sylvia : Je ne veux juste pas que tu me laisse seul.

Ulrich : Je sais mais il le faut.


Elle s’est approché de moi, me couvre depuis mon dos et me donne de sa chaleur. Je me suis tournée la regardé, dans mon regard on pouvait lire l’étonnement. Elle ne m’a point fixé longtemps avant de m’embrasser et me conduire au lit. J’étais déjà exciter par ses caresses mais je ne voulais pas du sexe. J’allais me relever et trouver une excuse bidonville quand je la vois passer sa main sur mon torse, elle la caresse un peu et y posa sa tête.


Ulrich : Euh Sylvia !? Tout va bien ? Je veux dire, tu te sens bien ?

Sylvia : Oui ! Pourquoi ? Il y a un souci ?

Ulrich : Ah non ! Non !

Sylvia : Où j’ai plus le droit de me poser sur mon mari ? Ou tu ne veux plus de moi.

Ulrich : Quoi ? Comment tu peux dire ça ? Sylvia !

Sylvia : Tu te fâche pour si peu ? Je n’ai fait que parler, je n’étais pas sérieuse… Dit que j’adore m’endormir dans ses bras ne suffirait pas. Je pourrais hâter dans le noir en guise d’une pente sincère. A tous les heurts mon amour percevra si j’en fais trop, si tu savais comme je t’aime.

Ulrich : Tu sais qu’on n’est pas deux à avoir lu tous les documents du droit ? Bref pas besoin que tu le dises. Je ne veux pas lire dans ses yeux, car je m’y noie dans ses mots et je me sens être dieu. Je sais que tu m’aimes, et je t’aime aussi. C’est suffisant.



Alors qu’il sonne midi, douze heure zéro minute, je suis déjà à l’aviation prête à m’en aller vers un pays dont les ruelles me sont inconnu. Trois heures de temps en vol et nous y sommes. Dès que je descends de l’avion et que je respire cet air frais de ce lieu je lève mon regard vers se soleil de l’après-midi qui part se coucher et je me dis « Quittons à zéro, achevé duo, t’as été délabré, j’ai été caduc, le karma nous l’avons comme une épine dans le cœur. Mais, dit-moi l’authenticité, qui ne hélera pas après ? ». Après ses mots que je me dis que je la lui réciterais à mon retour je m’avance sans crainte et je me dis qu’il me faut un bon bain avant de penser à la suite.

La nuit n’a pas tardé à tomber et j’étais déjà prête pour la visite nocturne. J’ai un ami dans le coin mais lui aussi était occupé la nuit-là. Donc je me dois d’être prudent vu que je serai seul en attendant l’arrivée de mon ami. J’étais arrivé dans un bar calme, j’ai pris un verre de tequila et je me suis fait une place au niveau bar. La petite dame chanteuse qui chantait venait de s’arrêter et dit ses verres « Macrocosme, antan, ourdit pour nous charrier euphonie. Car destin s’arme de sort et tu harmonise la vie. Je te sens jouir. Je veux percevoir les vers sur ses babines, sentir ce mine badiner contre mon anxiété d’avouer… à vous tous ici présent qui m’écoute je dis ‘’trouver votre amour et vivez l’amour à cœur car la vie est une fois.’’ »  Après ses mots de la petite femme j’ai entendu cette voix en moi me dire « si seulement Sylvia pourrait être ici tu l’embrasseras et la traineras sur la piste sans crainte ». J’ignore le pourquoi j’ai fini triste d’un coup. Lorsque la soirée tendait vers la fin j’ai pris ma bouteille de bière et je me suis retiré. C’est en cherchant la clé de ma voiture que j’ai fini par jeter la bouteille au mur prise de colère. Je crie vers le ciel ensuite 

Ulrich : Seigneur ! Quotité de rien, que du perspective, selon le destin j’étais un scélérat. Mon nom pourrait être Innocent, me voici avec un dam dans mon crâne sans perte de nos sérendipité. Le monde un sac au dos, inguérissable à ne méditer qu’à cette vie. Je ne saurais vivoter céans, prohibes de mystifier, être ne me discutera ce que je hume. Il n’y a que mon cœur qui me dira ce qu’est la tendresse,  crime ou préjuger. Chérir quelqu’un est un truc mais l’être est plus, en sympathie ou en coup de foudre, le lever du soleil est beau mais le karma solde la palpable qui répète surface. Certes on sait vénérer sans l’être mais la grisaille entichée n’est pas à rêvassé.


Après je me assise à terre, j’ai contacté Sylvia mais l’appel ne passait pas. Après tant d’essai je suis rentré à l’hôtel et j’ai appelé mon ami en lui disant que demain je vais rentrer chez moi. Il a dit de sitôt ? Et à tenter de me convaincre de passer au moins deux jours mais j’ai refusé. J’étais là à m’occuper la pensée afin de ne pas penser à elle mais tout ce que je faisais m’amenait à elle. Je ne fais que me répéter son nom.


A suivre…


Pourquoi c’est ainsi ? Ressent-il encore de l’amour ? Ou est-ce de l’attachement.


Chapitre 20


Auteur : Saint Daniel

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