chapitre 2: Sabine
Write by ngakomal
~~~~~~~~~~~~~ Sabine BLAIRON ~~~~~~~~~~~~~
Depuis des mois que je prépare la rencontre de ce beau brun de garçon « riche » avec ma fille. J’ai fais des pieds, des mains et du cul pour que le ministre des eaux accepte de venir à ce diner avec son fils. Il affirme de ne vouloir forcer son fils à épousé ma fille. Je sais qu’au premier coup d’œil il sera captivé et si ca marche pas, hee ben !!! je saurais comment y faire. Les fétiches et autres ne sont pas ce qui manquent dans ce pays. Tout ce qu’il faut c’est qu’il n’aperçoive même pas cette sotte de rêve. J’ai beau l’enlaidir et lui rendre la vie dure, elle reste belle en tout temps. Le plus aveugle des hommes saurait voir ce qui se cache derrière ses haillons.
Je suis debout depuis des heures. Comme je n’avais pas entendu Rêve je suis allé la réveiller (qui à chaque fois sais me mette en colère) avant de revenir me coucher dans mon lit près de ce chauve dégarnit spécial trois minute. Une chose est bien vraie. S’il n’avait pas été blanc et riche je ne m’y serais même pas attardé. Pascal se tourne, émet un petit grognement et pose sa main sur mon sein et commence à le pétrir tout doucement tout en s’attardant sur le téton. Il s’approche plus près, pose la tête dans mon cou et me donne des petits baisés. Je veux bien me laisser faire car après l’amour il est facilement malléable mais quand je pense encore qu’il me laissera sur ma faim j’ai les boules. Sa main glisse maintenant sur mon ventre en traçant son chemin sur mon entrejambe. Je soupire.
Je n’avais pas remarqué que je retenais ma respiration. Je suis en manque de bon baise pas des touches pipi que l’idiot ci me donne. Cela fait deux semaines que j’ai eu un orgasme pas étonnant que je mouille déjà.
- Humm Pascal il est déjà 5h 30. Tu seras en retard. Dis-je dans un gémissement. Il venait de mettre son index sur mon clitoris et tournait sensuellement.
- A l’heure qu’il fallait s’occuper de moi tu as préféré aller faire le bruit à Reine. Réplique t-il la langue sur mon sein. Il me donne deux coups de sein et je réprime un gémissement.
- Cet enfant s’appelle rêve, MEHOUM si tu veux, mais jamais Reine. Hurlais-je avec force. C’est toujours comme cela que tu fais pour qu’elle prenne la grosse tête dans cette maison. Je le repousse. Et m’assied sur le lit. Pascal pourquoi mon avis dans ce foyer compte pour du beurre. Moi qui voulais un moyen pour le chasser c’est tout trouvé
- Bine mon chou. Ce n’est pas ça. Ecoute ce nom sonne simplement mieux aux oreilles.
- Que cela sonne même à l’anus je n’en ai rien à faire. J’ai demandé que tu l’appelle rêve. Je sais pourquoi je le fais. Peut être connais tu mieux ma famille que moi. Et après c’est pour m’accuser quand les conséquences surviendront. Dis-je fessant semblant d’être énervée. Je repousse par la même occasion la main qu’il pose sur ma cuisse.
- Choune je suis désolé. Je ne voulais pas te contrarier. Dit-il en se mettant à genoux sur le lit. Il affiche un air contrit. C’est juste que cette petite travail énormément et nos enfants se la coulent douce. Regarde Béthanie. Elle est tellement capricieuse qu’il m’arrive de me poser des questions sur son avenir.
- Tu te pose des questions ?? sur mon enfant ? des questions de quel genre Blairon ?? je pensais que nous parlions de ma nièce pas de ma fille. Explosais-je. Il se met à balbutier et je continue. Tu te rends compte que tu prendrais cette couillonne pour ta propre fille si je n’y veillais pas ??
- Excuse-moi. Que veux tu que je dise d’autre ? est ce qu’on pourrait recommencé où nous nous sommes arrêtés ?? ajoute t-il d’une toute petite voix. J’aime quand il me supplie.
- Non. Tu nous as perdus trop de temps avec cette discussion stupide. Vas te préparer pour le travail. Il se lève direction la douche. Je lance un coup d’œil en sa direction et aperçois sa verge bien tendu et j’ajoute. Et il n’est pas question que tu te masturbe avec du savon sous la douche il est déjà six heure.
Il ne me répond pas et disparait derrière la porte. Je me rallonge sur le dos. Tout çà pour me chauffer dans zéro. Des foutaises ! Je passe les mains sur moi. Une se pose sur mon gauche et ma main droite descend direct se poser sur mon clitoris. J’écarte grand les jambes et ferme les yeux. Je commence par effleurer mon clitoris à l’aide de mon index puis j’augmente l’intensité en imitant la fréquence qu’avais pris le ministre avec sa langue lorsqu’il me donnait un cunit dans son bureau. Du pur bonheur même si c’était un coup vite fait, il savait y faire. Je me concentre sur ce moment j’introduis un doigt en moi puis un deuxième. Je fais des vas et vient avec vigueur. Vite et encore plus vite. Des picotements inondent mes reins. Ma cave est plein de mouille. La sensation remonte ma colonne vertébrale. Arrivée vers ma nuque elle commence à redescendre. Hé puis zut !!! Avec cet angle mes doigts n’arrivent pas à toucher mon poing G. j’abandonne ma cave pour me concentrer sur mon clitoris heureusement pour moi je suis aussi clitoridienne. De ma main gauche j’écarte les lèvres supérieures pour mieux permettre à la main droite de faire son travail de disquaire ou de DJ. Je repense à la manière dont le ministre m’a retourné comme une crêpe sur sa table afin de me prendre à cheval. Ce souvenir m’excite encore plus. Le mélange des sensations vécus et ceux que j’éprouve en ce moment font exploser mes sens. Je grogne mon plaisir et mon corps se détend sur le lit. Je n’ai pas atteint le Nirvana mais ceci a quand même permis de me calmer.
Un raclement vers la douche me fait lever le buste. Pascal fait des vas et vient sur sa verge. Sa main gauche le tient en équilibre sur le battant de la porte. Ses yeux sont fixés sur mon entre jambe car ils sont toujours grand ouvert. Dès que nos regards se croisent, il éjacule sur le carrelage de la chambre en criant son plaisir.
- Je t’avais demandé de ne pas te masturbé.
- Difficile de résister en te voyant faire. Bine tu sais me rendre fou. Dit- il haletant. Il se tourne pour rentrer dans la douche.
- Hééhéé revient ! ne compte pas sur moi pour nettoyer çà. Dis en lui montrant son sperme sur le sol.
Je me laisse glisser sur le dos. A peine mon dos a touché le lit que j’entends Béthanie hurler mon nom.
- Maman !! maman !! elle veut me tuer… maman !!!! rêêêêvvvvve hoooo. Elle a tout gâché. Snif snif …. Hhhhahhhhhhaaaaahhhh !!!
Des cris et des pleurs. Ma petite fille fait sa crise. Je me lève tel un ressort. Et m’empresse à passer une robe de chambre. Pascal s’approche enroulé dans une serviette de bain.
- Pourquoi Béthanie pleure de si bon matin ? qu’est ce qui a bien pu se passer pour qu’elle cri autant ?
- Et tu me demande ? sérieusement. J’ai toujours dis que cette fille c’est le diable. Si elle a touché mon bébé je te jure que je la tue de mes mains avant qu’elle ne dégage d’ici.
- Arrête mon cœur. Il est plus probable que ce soit Michel que Rei… Rêve. Dit-il de justesse.
- Tu recommences….
Il ne dit rien comme à son habitude. Cet homme est trop mou. D’ailleurs même s’il ne l’était pas qu’allait-il faire si ce n’est pas essayer de me cocufier avec cette chienne. Comme si je ne voyais les regards qu’il pose sur elle. Le visage bien amarré, je sorts et prends le couloir qui mène à la chambre de ma fille. J’entre sans cogner. Ma petite fille est à sa coiffeuse et pleure de plus belle. Je me dépêche d’aller vers elle et la prend dans mes bras.
- Là là ma chérie je suis là. Qu’est ce qui ne va pas ? ne pleure plus ma chérie et explique moi. Je le lui demande d’une voix douce. Ne vous surprenne… c’est mon œuf,mon bébé. Son visage est encadré dans mes mains et j’essuie ses larmes. Dis-moi, parle-moi.
- Sniff n’est ce pas rêve ?? sniff riiiefh snif. Elle m’a défigurée maman. Regarde mon nez snif comment pourrais-je me montrer ce soir à Mike. Elle renifle et cache son visage dans mon cou.
- Aller mon cœur laisse moi voir. C’était juste une petite éraflure. Si elle n’avait pas été métisse, cela serait passé inaperçu. Nous allons arranger çà. Avec un peu de fond de teint et un bon maquillage il n’y paraitra plus rien. Sèche tes larmes ma fille. Elle s’exécute
- Dis maman tu ne la laisseras pas hein !!! rêve n’as pas le droit de me frapper. Dit-elle en levant sur moi des yeux de merlan frit.
- Pardon ? fis-je en la tenant à bout de bras. Mais…mais … mais. Bégayais-je
- Oui maman c’est bien elle qui m’as fais ça.
- Non mais…. Cette petite … pour qui elle se prend. Je vais régler çà de se pas. Je me lève en catastrophe.
Je fulmine de colère. Cette moins que rien depuis ce matin me cherche et je jure sur tout ce que j’ai de plus chers qu’elle me verra passer. Je me dirige vers la chambre de Michel et ouvre la porte à la volée. Mon fils se chausse assit sur son lit.
- Où se trouve rêve ?
- Pas ici mam.
Je me retourne vers le couloir qui mène aux escaliers secondaires et donne directement aux cuisines. Ce grain de poux y sera à coup sûr. J’enrage littéralement et la voir là devant moi de dos trémoussant ses petites fesses en découpant les légumes n’as pas arrangé les choses. Mon sang n’a fait qu’un j’ai bondit sur elle. Coup de pied, coup de poing tout ce qui venait, je donnais. Cette fille m’énervait à un point. Elle criait, pleurait, suppliait ; j’en n’avais cure. Je commençais à fatiguer quand elle s’est couchée sur le sol en position du fœtus. Je m’en suis donné à cœur joie. Cela fessait des années que je n’avais pas fait de sport alors je ma rattrapais.
J’ai sentis une main me tirer vers l’arrière et je me suis retrouvée le cul sur le sol. Je sortais peu à peu de ma torpeur. Je regardai à gauche et à droite comme si je ne me retrouvais plus. Mon mari me regardait comme si j’avais perdu la boule. Son regard allait de rêve à moi.
- Mon dieu sabine ! tu voulais seulement la tuer ?
Michel poussa alors un cri d’effroi et commença aussi à pleurer et à crier
- Papa !!! du sang. hhhhhaaaaaaa !!!! du sang elle l’a tué. Sinf. Papa rêve ne bouge plus. Elle l’a tué.
Les propos de mon fils me font me tourner vers le corps inerte de rêve. Mon mari se précipite vers elle et commence à l’appeler tout doucement comme une supplique.
- Reine je t’en prie ne nous fais pas çà.
Je me retourne vers mes enfants. Michel a une main sur la bouche et pleure tandis que sa sœur regarde la cène de manière stoïque. Pascal porte rêve à bout de bras et cours vers le portail en criant :
- Michel prend les clés de ma voiture sur la table et ouvre moi le portail.
Sa fille lui demande en lui courant après
- Papa où est ce que tu vas ?
- A l’hôpital. j’essaie de minimiser les conséquences de vos actes à ta mère et à toi.
Ben qu’elle meurt. Il y en aura toujours une pour me pourrir la vie. T’elle mère t’elle fille !