Chapitre 22

Write by sokil

Chapitre 22

 

Je ne pouvais espérer mieux ! Il m’avait ouvert la porte… Pour une surprise c’en était une. J’avais sauté à son cou et il m’avait enlacée à son tour… Jess !!!

- J’étais si impatient de te voir…

- Tu m’as eue ! Quelle surprise !

- C’est plus excitant comme ça !

- Tu es un cas social toi !

- Je suis un cas désespérément amoureux…

Il m’attira et me traîna rapidement à l’intérieur ; et pendant qu’on s’embrassait avec empressement, il referma la porte d’une main. L’étreinte était d’une puissance que nous n’arrivions plus à nous lâcher, trop excités, trop enthousiasmés de s’être retrouvés, il était temps ! Je ne savais pas encore ce qu’il avait prévu, mais la bouteille de champagne dans son sceau de glace posé sur la table laissait présager une ambiance romanesque. Lui-même n’était pas en reste ; son physique, on aurait dit qu’il avait passé tous ces derniers mois à le parfaire dans une salle de gym ! Torse nu et vêtu uniquement d’un pantalon de sport de couleur noir, je ne pus qu’admirer le joli tableau tout en caressant affectueusement ses plaquettes de chocolat. Il me tenait fermement de ses mains, si baladeuses! Parfois une se posait sur ma hanche, tandis que l’autre caressait mon dos ; ensuite il me prit délicatement le visage de ses deux mains pour mieux me considérer avant d’écraser encore ses lèvres sur les miennes, ce qui ne nous laissait pas le temps de pouvoir se parler et quand bien même on essayait de le faire, le son de sa voix devenait si rocailleux tandis que le son de ma voix si empreint de féminité, marquait l’excitation profonde qui montait peu à peu. Le désir se fit ressentir à l’immédiat. S’interrompant brusquement, j’ouvris les yeux, et son front collé contre le mien, sans oublier son regard plongeant dans le mien nous fit sourire amoureusement. Il plissa ses lèvres, avant de dire un mot.

- Tu ne sais pas ce que j’ai enduré tous ces derniers mois !

- Moi j’endure cela depuis le jour où tu es parti !

- Tout ira bien !

On se parla ainsi, en prenant des petites pauses, sa bouche parcourut délicatement mon cou, et le creux de ma poitrine lorsque j’essayais de parler. A la fin il ne me laissa plus le temps de terminer ma phrase ; il empoigna mes seins fermement avant de soulever ma robe un peu moulante et de me l’enlever avec une brutalité qui me stimula encore plus, et ce sans détacher son regard plein de malice du mien, accompagné d’un sourire très espiègle. Il se décala, m’observa et se dirigea vers la table sur laquelle était posée la bouteille de champagne. Tenant en main les deux flûtes à moitié remplies, il s’assit sur le fauteuil, et me fit signe d’approcher. J’étais en slip et soutien gorge lorsque je vins le rejoindre.

- Tiens chérie… Buvons à ces retrouvailles !

- A nos retrouvailles !

Assise contre lui, il passa son bras athlétique autour de mes épaules ; lovés l’un contre l’autre, nous trinquâmes à l’amour, ce sentiment si puissant ! Rien n’était plus beau ! On se regardait, on souriait, on sirotait, on se bécotait, on se parlait, on n’en revenait pas !

- Je ne voulais pas te le dire mais… J’ai eu très mal de te savoir encore plus mal, avec tous ces problèmes…

- La douleur, elle a pénétré ma chair … C’était encore plus dur !

- Je n’ai pu rien faire, je m’en veux !

- Mais non ! Tu as beaucoup fait malgré cette distance, j’ai ressenti ça ! Tu m’as aussi sauvée en quelque sorte ; petit à petit mes blessures sont entrain d’être pansées, ce cœur qui saigne constamment… Tu fais partie tout comme ma tante de ceux là qui m’ont aidé à me retrouver, à me soigner et à guérir ! Aujourd’hui, je vais beaucoup mieux, je retrouve confiance en moi et j’essaie de faire confiance à ceux que j’aime. Malgré cette distance entre toi et moi, j’ai appris à nouveau à croire que ça existe, aimer !

- C’était le but ! Je te l’avais dit non ? Que je voulais te réapprendre à aimer !

- C’est vrai !

- Quelque part tous ces problèmes ont eu un drôle d’effet sur toi…

- Dans quel sens ?

- Dans le sens où je constate que tu as vraiment pris soin de toi, tu es encore plus coquette, plus belle…

- Ooooh arrêtes ! Ahahah ! Ce n’est pas…

- Non sérieux ! Encore plus attirante, plus séduisante, plus provocante, plus sexy, plus…

Au fur et à mesure qu’il débitait toute la litanie de mots sensuels sur mon physique, sa voix et l’expression de son visage devinrent plus conséquent ; il ne put la terminer sa phrase qu’il m’empoigna avec fermeté avant de déposer rapidement nos verres sur la table. A genoux sur le canapé, pendant que je l’enlaçai sans oublier de le couvrir de bécots un peu partout; il m’ôta avec tendresse le soutien gorge avant de me titiller les nichons un à un, tantôt avec sa bouche, tantôt avec le bout de sa langue tout en me les pressant tour à tour avec un art et une dextérité sans pareils. Il savait que ça me rendait dingue, il savait que j’en raffolais. Il m’ordonna par la suite de me lever, il se débarrassa rapidement de mon slip et de son pantalon de sport ! Il n’avait rien en dessous ! Pratique ! Me dis-je intérieurement, qu’il ait fait simple ; il le fit sans efforts. A la vue de ce phallus tendu et érigé devant moi j’émis un petit son étouffé malgré moi.

Il m’attira à nouveau, pas contre lui, mais plutôt sur lui ! Ondulant tout autour, je pouvais sentir ce membre qui cherchait rapidement la porte d’entrée, mais c’était encore trop tôt. Jess me retenait si bien que pendant nos baisers, il devina mon intention de la prendre dans ma bouche.

- Vas-y ! Qu’est ce que tu attends ?

Agenouillée entre ses jambes, je venais de la prendre dans ma bouche ; il me guidait de sa main en me tenant par les cheveux, de haut en bas et de bas en haut, sans oublier de le regarder avec de grands yeux bien ronds et coquins, ce qui le stimula encore plus, si bien qu’à un moment donné, il pencha sa tête en arrière ; lui aussi il apprécia ce moment et tout en m’effleurant légèrement ma bouche du bout de ses doigts, il finit par m’extirper lentement de sa verge que je me mis à caresser de la main avec modération. Il se pencha vers moi, et me fit ce baiser langoureux comme pour me féliciter de ma bravoure ; il me fit balancer sur le canapé et m’écarta les jambes ; il me mordillait l’intérieur des cuisses et je brûlais à petit feu comme une marmite à l’intérieur de laquelle on laisse la sauce mijoter pendant plusieurs minutes. Ne pouvant plus me retenir, je me cambrais, me tordait dans touts les sens ; ne pouvant pas le retenir lui, il s’exécutait avec minutie et semblait n’y prêter guère attention à mes supplications. Savamment dosés, ses coups de langues étaient si fins, si doux, si bien appliqués que je ne pouvais qu’exprimer mon euphorie par des cris entrecoupés, des grincements de dents, des mouvements de la bouche, des plissements des lèvres et des grimaces qu’exprimait mon visage…

C’était beau, c’était l’amour ! Mes suppliques se firent entendre lorsque Jess lui-même estima que j’étais déjà prête à ce qu’on passe à l’action. Je confirmai qu’il passait vraiment son temps dans les salles de gym ! Ce n’était pas le même lorsqu’il vint en moi et que les mouvements de ses hanches étaient si bien articulés ; il n’était plus le même lorsqu’en me prenant à quatre pattes il accéléra la cadence tout en me donnant de petites tapes sur les fesses, il n’était plus cette même personne lorsqu’une fois de plus il se retrouva en dessous de ma foufoune, lui allongé sur le dos et moi à genoux et ayant toute la foufoune trempée dans sa bouche. Non, ce n’était plus celui là que je chevauchais à mon tour sans efforts puisque c’est encore lui qui donnait le rythme et c’est encore lui qui me retenait d’une main sur la tête et une autre sur mes fesses… C’était aussi ça la définition de l’amour, cette magie qui s’opère lorsque deux êtes qui s’aiment et décident de se donner l’un à l’autre, corps à corps… Corps et âme !

- C’est jusqu’à l’aube… Bébé!

- Je… je … ne te reconnais plus !

- Tu penses que j’ai passé mon temps à dormir ? Il fallait que je me sente prêt pour te satisfaire! Je te l’ai promis !

- Pour une fois que tu promettes quelque chose !

- Et ce n’est que le début ! Ce soir je t’amène quelque part !

Le temps qui passait ne comptait plus, je ne sais pas combien de temps nous étions restés dans l’appartement, mais après avoir récupéré nos esprits, Jess décida de me faire une autre surprise ; c’était l’après midi et en cette période d’été, le moment était propice pour faire une petite balade, en amoureux. Il l’avait fait, c’était réel, la péniche ! Je poussai un cri de joie et je sautillai sur place… Je respirai cet air de liberté et d’amour, il me tenait dans ses bras, tout en m’expliquant, en me montrant et en décrivant tout ce qui nous entourait pendant que nous longions ce fleuve long de plusieurs kilomètres, La Seine ! Nous pûmes terminer cette jolie balade dans un restaurant, un des plus prisés de la ville, « La Plage Parisienne » dont le nom donne autant envie que son emplacement, au bord de la Seine et les sièges moelleux aux tons beiges qui rappellent les restaurants tendances du bord de mer,.

- Alors ? Tu aimes ?

- C’est magnifique ! Si je pouvais rester, mais surtout avec toi, du genre on ne se sépare plus jamais !

- Ça viendra, j’en suis sûr !

- Quand est ce que tu retournes ?

- J’en ai aussi pour deux semaines, je me suis arrangé ! Demain on ira visiter ces fameux monuments, Tour Eiffel et autre…

- C’est demain que débute la conférence, je ne suis pas sûre que ton père va me libérer à temps !

- Ne t’en fais pas ! C’est une demande spéciale ! Nous irons chercher tes affaires à l’hôtel, tu passes tout le séjour avec moi !

- Waouh Jess ! Tu me bluffes encore une fois de plus ! Je le savais ! Je savais bien qu’il y avait quelque chose en dessous… Ton père et toi ! Apparemment vous vous êtes beaucoup rapprochés ! Est-il au courant ?

- Il l’a su depuis le jour où tu as décidé de m’aider, tu souviens ? Quand j’étais malade ! Pascal ne sait rien cacher, il lui a fait un rapport complet selon lequel tu faisais des aller et venues constants pour veiller sur moi, sans oublier que c’est toi qui m’a amené chez ce prêtre …

- Ooooh !!! Le traître ! Et comment il a réagit ton père ?

- Justement c’est ça qui nous a rapprochés … Il m’a avoué qu’il a toujours souhaité que je fasse ma vie avec une femme du pays, ainsi je serai plus proche de toute la famille…

- Je ne sais pas comment je vais pouvoir le regarder en face ton père… La honte !!!

- Il est fair-play ce Victor ! Lui et moi on ne reparle plus de ça, jusqu’à ce qu’il décide de mettre cette Priscilla à la porte et de la livrer aux autorités ! C’est alors que je lui fais la demande et il accepte volontiers ! Il m’a dit deux semaines pas plus ! Tu restes son employée et tu vas devoir retourner avec lui au pays ! Au moins ce voyage t’ouvrera beaucoup de portes.

- C’est un type bien ton père !

- Ah ça ! L’autre jour il me dit « Fiston ! Si c’est elle que tu as choisis c’est tant mieux ! Une fille du pays c’est encore plus exotique, plus chaud et plus naturel… »

- Ahahaha !

- Lui aussi il t’aime bien !

- Tu lui as parlé de tes enfants ?

- Non pas encore ! Ça lui donnera une bonne occasion de me mettre la pression ! Je vais bientôt les récupérer, quand je serai stable.

- Au fait tu ne m’as jamais dit comment ils s’appellent !

- Le garçon s’appelle Ethan et la fille c’est Beverly !

- C’est mignon tout ça ! Mine de rien et sans que tu ne t’en rendes compte tu es entrain de fonder ta propre famille et bientôt tu vas devoir agir en conséquence…

- Je ne pige pas !

- Je veux dire que tu seras obligé d’apprendre à être plus sociable, envers ton frère et ta sœur, et tous ceux qui sont au pays ! Vous êtes une grande famille aussi, je donnerai tout pour avoir une famille comme ça ! Mais je ne sais même pas ce qu’ils sont devenus, tout ce que je sais c’est que avant de disparaître ma vraie mère avait épousé un type, un polygame qui avait déjà 14 enfants !

- Quoi ? Tu … Tu as 14 frères ??? Mais il y a de quoi repeupler tout un quartier !!! En incluant leurs enfants et autre !

- J’ai bien 14 frères et sœurs consanguins et je n’en connais aucun ! Toi tu connais bien les tiens, mais tu les rejettes ! Ça les affecte beaucoup tu sais ?

Jess m’écoutait attentivement et secouait juste la tête qu’il baissa par la suite. La réponse qu’il me donna me fit éclater de rire.

- Je crains tout ce beau monde !

- Ahahah Jess ! Tu es vraiment bizarre ! Mais pourquoi ? C’est ton sang et ils n’attendent que ça !

- Tu imagines ? J’ai l’impression qu’ils me prennent tous vraiment comme un enfant bâtard ; j’ai horreur de ça ! Leurs regards plein de pitié et de je ne sais quoi me mets très mal à l’aise !

- C’est juste une impression ! Même Pippo ?

- Celui là! Toujours entrain de vouloir jouer les grands érudits ! Il me dit toujours « Hé p’ti frère ! Selon la loi du …» Tu vois comme il est avocat, il me sort toujours des théories bidons ! Il est trop nase !

- Et ton oncle Yves ? Il parait qu’il aussi relax que ton père !

- Lui il passe son temps à vouloir me présenter des filles à gauche et à droite… Ça c’est encore pire… Toutes les fois qu’on s’est vus, il s’arrangeait à me présenter une fille différente ! Tu me connais, je n’ai pas l’approche facile… A la fin il finit toujours par me traiter d’impoli, d’insolent et d’irrespectueux !

- Tu n’auras qu’à lui dire prochainement que ton cœur est déjà pris ! Je me trompe ?

- Tu as gagné ! Je le ferai…

- C’est promis ? Monsieur qui ne promet jamais !

- T'es folle! Aller on rentre ! On récupère tes affaires à l’hôtel, la nuit ne fait que commencer et c’est jusqu’à l’aube ma chère…

- Je dois me reposer tu as oublié ? Ce n’est que ce matin que je suis arrivée !

- Tu as raison allons y !

Nous avions récupéré mes affaires à l’hôtel, et Jess avait passé un coup de fil à son père qui était absent ; je me souviens qu’il avait dit qu’il comptait rencontrer d’autres confères dans la soirée. Jess me laissa finalement m’endormir ; mais avant, nous passâmes encore un bon moment à bavarder, de tout, mais surtout de beaucoup de choses importantes, de nos projets et de notre futur.

- Chérie tu sais que je n’aime pas beaucoup parler du futur ! Nous sommes là à présent, c’est tout ce qui compte !

- Mais le fait de parler du futur laisse espérer …

- Oui le futur nous laisse espérer qu’un jour toi et moi…

- Tu n’en es pas sûr ?

- Ce n’est pas ce que j’ai dit ! Tout ce que je sais c’est que je t’aime Jaïda ! Je veux être sûr de ça, de ton amour aussi ! Si c’est le cas… Alors le reste suivra son cours normalement !

- Je t’aime aussi !

- C’est tout ce qui compte…

Je me laissai bercer par ses paroles qui au fond ne m’arrangèrent pas. Mais je tentais tout de même de le croire et surtout, de lui faire confiance. J’essayais de les combattre tous ces vieux démons, en l’occurrence cette faiblesse que j’avais en moi, le doute et le découragement. Jess resserra son étreinte contre moi, il me fit ensuite un doux câlin sur la joue, question de me rassurer… Je finis par m’endormir. Je ne sais pas combien de temps j’avais dormi, mais je le sentis s’agiter à côté de moi ; il venait de passer sa main sous ma nuisette…

- Jess ! Tu as vu l’heure ? Il n’est que 2 heures du matin ! C’est mieux le matin tu ne penses pas ?

- Je me suis retenu pendant tout ce temps ! Je te l’ai dit c’est jusqu’à l’aube ! Demain c’est la grasse matinée avant de sortir dans l’après midi… S’il te plait ! Je bande grave ! Je t’ai dit que c’était jusqu’à l’aube…

- C’est là que tu sais faire les promesses !

- C’est pas une promesse ! C’est un désir longtemps réfréné !

- Ah dis donc ! Ne m’embrouille pas ! Tu…

Il ne me laissa pas terminer qu’il avait déjà passé sa tête sous ma robe et de se délecter en toute aise ; Je ne parvins pas à résister… Ce n’est que plus tard vers les 4h du matin qu’une dernière fois avant de pourvoir enfin fermer l’œil, que Jess, si près de moi me murmura.

- Le fait que je ne sois pas si clair à propos de notre futur ne devrait pas t’inquiéter… Je sais ce que je veux, toi ! Tu es une fille bien, et j’aimerai que tu fasses partie intégrante de mon existence…

- C’est aussi mon souhait !

- Donne-moi juste le temps de m’organiser et de me ranger ! Tout ce que je sais c’est que je t’aime chérie !

- Je t’aime aussi… Maintenant essayons de dormir… Je suis lessivée !

- Je te l’avis dit, que c’était jusqu’à…

- Laisse comme ça ! J’ai confirmé ! Je suis cass !!!!!

- Bonne nuit ma belle princesse de Paris !

- Bonne nuit mon beau prince de Paris !

Enfin je pouvais fermer l’œil ! Nous étions toujours si près l’un de l’autre. Je commençais déjà à m’assoupir que je me rendis compte que la télé était restée allumée depuis tout ce temps. J’étais une adepte du sommeil sans bruit ; alors le moindre bourdonnement me mettait mal à l’aise ; la main de Jess me retenait ; en même temps je ne voulais pas le réveiller, mais trop tard, il avait déjà ouvert un œil.

- Qu’est ce que tu fais ? Où vas-tu ? Tu en veux encore ?

- Non ! J’ai eu ma dose… Je vais éteindre la télé, elle m’empêche de dormir !

- Ok vas-y !

C’est la chaîne BBC qui passait ! Les infos étaient donc en anglais ; je n’arrivais pas à croire ce que j’étais entrain de voir ! Je retins mon souffle et plus je m’approchais de la télé, plus mon cœur se mit à battre à la chamade… Ce que j’étais entrain de voir à l’écran me fit m’exclamer à haute voix.

- C’est pas vrai !!!! Comment est ce possible ? Jess !!! Réveille-toi et regarde ce que les infos passent en boucle depuis !

- Maintenant c’est toi qui ne veux plus dormir ? Je crois que la dose que je t’ai administré t’as mise dans un état ! C’est comme une drogue tu sais !

- Je ne parle pas de ça ! Regarde toi-même ce qui passe à la télé !

Il se redressa avec peine, les yeux encore endormis.

- Chérie ! On vient à peine de … Ohhhh putain !!! Mais… Comment ?

- Je me pose bien la question !

Il était devenu négativement célèbre lui. Jess m’expliqua en gros ce qu’on disait à propos de lui à la télé.

- Je ne comprends pas très bien ! Traduis un peu !

- Ils disent tout simplement que … L’un des plus grands escrocs de la ville de Londres, Placide Danga à été libéré hier matin…

A ce moment là je crois que mon sommeil fut définitivement interrompu.

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