Chapitre 27 :

Write by Maya my'a


Sophie...


Je raccroche. Je m'enferme dans ma chambre pour Parcourir les statuts de Paula. Sur Instagram et Facebook, elle a publié << Afterwork>>  Suivi d'une photo,  au côté de son avocate.


Je bouillonne de colère. Je laisse Facebook et Instagram pour WhatsApp. Je tombe sur un visage à moitié decouvert: celui de Patrick.


"Paula, tu ne construiras pas  ta vie avec ce con ; je refuse cette union, merde."


Je suis très remontée après elle.


" Patrick, qui de Paula et toi a eu de la chance de votre rencontre ? Merde, Paula rien ne se passera comme tu as planifié. Je t'ai faite. Tu me dois ta réussite..."


Sonnerie...


-Madame, le malheur vient de frapper...


-Hein ?


Je me redresse.


- Tu en es sûr ?


-Oui, madame. 


-Épargne-moi les détails... Quand l'as tu sûs ? 


- À l'instant !


-Laisse-moi l'exclusivité d'annoncer la nouvelle à la garce.


-D'accord, Madame !


Mon vaguemestre ne peut se permettre de me faire annoncer une telle nouvelle, si elle n'est pas fondée.


Trente minutes plus tard...


-Miss, les nouvelles sont terrible à l'horizon, la capricieuse est en deuil, informé-je à Marise.


-Bien fait pour ta copine, faite entièrement de caprice de fille à papa... Enfin, hum... Elle se calmera  pendant un moment.  On assistera plus à l'exposition des photos de tout genre sur son statut WhatsApp...


- Que dis-tu, Marise? Des quoi parles tu?


-Paula expose les images du criminel et de leurs avocats sur ses statuts..


-Tu en es sûre ?


-Oui, oui, elle ne manque pas de d'affiché le criminel sur ses statuts. Elle n'hésite pas à venter, en légende, les différentes villes qu'il a visité ... 


-Paula est une vraie garce...


-Une pro des garces. Elle a eu la chance d'avoir son véhicule gratuitement...


-Et un bâtard, chéri, ne l'oublie pas, dis-je calmement. Allez, je te laisse.


Je aspire et inspire, puis j'écris à Paula. 


Ainsi, je lui laisse un message  assez sympathique pour lui donner le moral.


Elle ne réagit pas. Alors, je laisse un deuxième message.


Elle ne répond toujours pas. Paula m'ignore. Néanmoins,

Je lui envoie un troisième message. Cette femme a du caractère; elle ne réagit pas malgré le contenu de mes SMS. Je baisse les bras pour ce coup.



***

Je sors de ma chambre, satisfaite. Je peux enfin arborer un sourrir radieux. Je donne quelques instructions à La nounou, qui s'occupe des enfants, avant ma petite promenade de seize heures. Je profite de ce beau temps doux de la journée pour me détendre.


 Fabien ne fait plus attention à moi, alors je me sers autrement pour me mettre à l'aise.


Allô...


-Au dernier lieu.


-Oui, Madame...


-Ne tarde pas.


Clic.


Il raccroche.


Cet insolant ose raccrocher mon appel.


***


Je porte une longue robe en tissu crêpe, rouge bordeaux. Je conduis en direction de l'hôtel hibiscus. En chambré dans une suite réservée à la veille, mon vaguemestre y est avec des photos en mains.


-Tu es sûr qu'il s'agit de ...  Douté-je en identifiant la personne sur la photo.


-Avec certitude, oui !


-Son visage est sacrement amoché.


-L'équipe bosse dur, madame.


- Bravo ! Maintenant, baise-moi, dans tous les sens : je meurs d'envie.


-Venez là, madame !


-Imbécile.


Il me pénètre à cheval sans préliminaires. Je n'en ai pas besoin, j'ai tellement envie. Il me pilonne délicatement, en donnant des coups secs et précis. Je n'ose pas crier. C'est si bon ; je retire ma robe, puis je me positionne mains et genoux au sol. Il s'invite en moi avec un geste précis. J'aime: il s'enfonce très loin en pressant mes grosses fesses.


-Madame, c'est bon dedans !


-Vas-y plus fort, salle

coursier.


Il s'arrête.


-Continue.


J'ordonne.


Il se déchaîne l'air en colère. Il chevauche vagin à l'anus par seconde. Je crie: le plaisir est intense. Il me donne de grosses gifles. Ça devient un véritable match.


-Que disais-tu, Sophie ? Hum, Que je te baise bien, n'est-ce pas ? Aller, tiens ça !


Il tape de plus en plus fort.


-Suis-je quoi ? Un chien, c'est ça ? Prend ça !


Sa voix devient raide au fur et à mesure de l'intensité de l'action.

Je me débats sans parvenir à sortir de son en prise. Il jette mon corps dans toute la pièce.


-Tu veux baiser ? Tiens-toi prête, Sophie.


Il me trimballe de la chambre à la douche. Il verrouille la cabine de douche et fait couler l'eau...


-Viens baiser !


-Arrête Serge ! Serge arrête ! Arrête...


Il devient violant.


- Laisse-moi ! Laisse-moi !

Je crie si Ford. Sors de cette chambre, sinon, je te vire...


-Pas avant de faire exploser ton gros cul.


Il me donne de coups sur l'ensemble de mon corps ; Ça devient sérieux ! Je suis face à une agression sexuelle et physique. Malgré tout, je ne me laisse pas faire.

J'ai si mal : le préservatif est très sec. Mon vagin et mon anus chauffes. Il s'y introduit avec force. C'est très désagréable. Je crie de toutes mes forces. Il galope en moi. Je me situe dans une douleur brûlante. Je me sens humilier.


Encore, deux minutes de bataille, il sort sans préservatif. Je suis étonnée. Je touche mon sexe humide par son sperme, dégoulinant sur mes cuisses. J'ai de plus en plus de haine. J'en veux à Paula et à Patrick particulièrement.


-Madame, c'était bon aujourd'hui ?


-Tu peux commencer à Pleurer ton bout du pain, crié-je en le mettant hors de chambre. Sort immédiatement d'ici... Considère ce viol comme ta récompense...


-Tu es folle, si tu ne donnes pas mon argent, tout le monde saura qui tu es réellement. Et particulierement ton mari.


-Sors d'ici !


-Pas sans mon chèque !


-Espace de con !


Je lui tends un chèque d'un million de francs CFA.


-Merci ! Petite trainée.


Il s'en va fièrement me laissant davantage en colère et souillé.





(Aucun droit sur image)


...

EMBARQUE D'UN DESTIN...