Chapitre 27 : le choc

Write by Nifêmi

Chapitre 27 : le choc

 

****VALDO****

Cela fait deux mois que je vis différemment. Je ne vais qu’à cendrillon juste pour déposer Foumi quand elle demande. Elle a un caractère de sauvage. Elle me prend la tête parfois mais je laisse faire, je suis le plus mature. Mais je sais comment l’avoir en retour. Je commence à la cerner et à l’aimer pour de vrai. Elle est une bonne fille. Depuis qu’elle est régulière chez moi, ma maison vit. Elle me fait la cuisine, j’aime beaucoup les différents plats qu’elle me propose. Mais elle a horreur de faire ménage. Ça me convient si elle sait me faire à manger et me faire l’amour. En parlant d’amour, on l’a fait partout dans la maison. Cuisine, salon, piscine douche… elle est superbe et me satisfait pleinement. Je n’ai vraiment pas besoin d’aller voir ailleurs ! Elle doit venir tout à l’heure passer du temps avec moi. Je regarde l’heure : 10 heures. Elle est un peu en retard mais elle viendra. J’aimerais lui trouver un travail en ville, je ne suis pas trop content qu’elle vive toujours à cendrillon avec ses sœurs que je ne connais pas. En plus elle refuse à ce que je lui prenne un appartement non loin de chez moi ou de vivre même avec moi. Ses sœurs ne seront pas d’accord selon elle…ses sœurs qu’elle refuse que je rencontre. Mais je reste patient.

Et Joyce que j’évite royalement depuis que j’ai su pour elle. Elle a surement compris que je suis en train de l’ignorer comme tout à nos débuts. Elle est certes belle mais sexuellement elle ne me convient pas. Elle aussi très dépensière. Elle va me ruiner. Pour Joyce je suis en voyage. J’ai demandé à son Chris de me faire signe à chaque fois qu’elle lui fait appelle, mais c’est lorsque je suis avec Foumi qu’il me prévient. Le temps que je passe avec Foumi est beaucoup plus important, je sais être patient je l’aurai cette Joyce, tôt ou tard.

Dean et moi nous avions fait un semblant de paix, ce n’est pas encore ça mais se voit pour discuter de nos petites affaires, mais ça se voit que je ne lui ai pas encore pardonné, à lui et à ma mère. Cette dernière tente de me rencontrer, c’est peine perdue. Chaque fois qu’elle vient, je dis à la sécurité de lui dire que je ne suis pas à la maison. Je l’en veux, elle n’a pas changé. Elle continue ses bêtises qui ont précipité papa dans la tombe. Ma mère j’en ai fini avec elle.

J’entends la clé tourné dans la serrure, c’est Foumi qui se précipite dans le salon. Sa venue me fait réaliser que j’étais au salon entrain de suivre un programme. Elle marche rapidement vers moi effrayée, la main sur la poitrine :

Moi : qu’est-ce qui se passe ? Tu as quoi ?

Elle : il y a une dame très âgée qui me menaçait au dehors, elle me traitait de tous les noms, soit disant que je suis la raison pour laquelle tu ne cherches pas à la voir.

Moi : elle a dit ça vraiment ?

Elle : donc tu la connaît vraiment ? C’est qui ? Dis-moi !!!

Moi : c’est ma mère… installe toi j’arrive.

Je sors d’un pas pressé pour aller voir ma mère au dehors. J’entendis ses cris. L’agent de sécurité n’était pas à son poste. Je le vois au dehors entrain de la calmer.

Moi : maman tu as perdu tout, ta dignité ton honneur et ton fils. Je ne veux plus jamais te revoir. Et arrête d’agresser ma petite amie. Oublie que tu as un fils car moi je n’ai plus de mère.

Elle pleurant : mon fils…

Moi : qui est ton fils ?

Elle : pour l’amour de ton père, pardonne moi… tu es la seule famille qu’il me reste…pardonne-moi

Moi : tu n’as plus de famille, tu me honnis, jusqu’à coucher avec des jeunes qui ont l’âge de ton fils, maman tu as couché avec mon ami

J’avais l’émotion dans la voix. Un homme ne pleure pas. Et je ne voulais pas pleurer devant elle. Je retourne tout simplement à l’intérieur. Je vois Foumi sur la terrasse la main sur le ventre et l’autre sur sa poitrine. Je la rejoins :

Moi : chéri, t’inquiète. Elle va partir

Elle : c’est ta mère, si tu traites ta mère de la sorte, comment me traiteras-tu alors ?

Moi : tu ne sais pas ce qui s’est passé…

Elle : peu importe c’est ta mère ! Si j’ai un enfant qui me traite comme ça je finirai par en mourir.

Moi : tu es ce que tu es mais tu ne seras jamais come ma mère. C’est aussi difficile pour moi tu sais. Mais je ne vais pas tolérer que ma mère s’envoie en l’air avec mon meilleur pote.

Elle : hum ! Tu es trop dur avec elle ! Quand toi tu vivais ta vie en désordre à cendrillon avec les filles d’autrui, tu ne veux pas que ta mère se fasse sauter par un autre ?

Moi : je vois que tu ne comprends rien

Mon téléphone, c’est Chris :

Moi : oui ! Je comprends, comme d’habitude je suis occupé. Continue de m’informer, le jour je serai disponible, je viendrai. Bon boulot… je t’enverrai une petite commission…quoi ! Tu n’en veux pas ? C’est comme tu veux...

Je raccroche. Je monte rapidement prendre la clé de ma voiture. Foumi est toujours sur la terrasse :

Elle : tu sors et tu comptes me laisser ici seule ? Tu es étrange aujourd’hui...

Moi : suis-moi si tu veux, je t’expliquerai en chemin

Elle : ok, j’ai une information importante pour toi

Moi : si ce n’est pas urgent on en parle au retour.

Elle : pas de soucis.

Je lui ouvre la portière de la voiture et elle s’installe. Je prends place aussi dans le véhicule, un coup de klaxon, le portail s’ouvre. Je vois ma mère à travers mon rétroviseur. Je sors la voiture du garage. Sans aucun regard pour elle je démarre en trombe. Foumi me jette un regard de colère.

Elle : tu es très méchant

Moi : je le sais

Elle : tu files trop, vas doucement.

Moi : ne t’inquiète pas.

Elle : on va où ?

Moi : chez ma fiancée !

Elle ouvre la bouche et me regarde intensément. Elle est très belle ma Foumi, une beauté naturelle. L’inquiétude que je lis sur son visage est la preuve qu’elle m’aime vraiment.

Moi : ma future ex-fiancée… je suis avec toi et personne ne me séparera de toi.

Elle, criant : tu es un gros malade toi, j’aurais dû me méfier de toi. Tu n’es qu’un malade… et je t’ai fait confiance.

Moi étonnée : du calme ! Ooooh ! Du calme ! Depuis que je suis avec toi, tu as toujours été la seule… mais je n’avais aucune raison pour me séparer, et aujourd’hui j’ai la preuve pour la quitter.

Elle : tu n’es pas un homme

Moi : toi si !!

Elle : je suis sérieuse là ! Un vrai homme n’attend pas des preuves pour quitter son ex, il va lui dire la vérité et assume comme un homme.

Moi : petite fille…tu me fais la leçon ?

Elle : une petite fille que tu aimes coucher. Je suis déçue par tes agissements. Ta mère et maintenant ta fiancée

Moi : ex…

Elle : peu importe ! Tu veux retourner la situation contre elle, au lieu de lui rompre comme cela se doit avec elle. Tu veux la faire culpabiliser, du genre c’est à cause d’elle que tu es avec moi…

Moi : elle fréquente un gigolo depuis des mois, et c’est bien avant de connaitre. Aujourd’hui, elle est avec lui dans la maison que je lui paie. Et ils ne savent pas que je viens.

Elle : huum ! Tout ça c’est trop pour moi ! Normalement…

Moi : on vient d’arriver, si tu finis tes analyses rejoins moi dans à l’intérieur.

Je descends, et elle me suit jusqu’à l’intérieur. La porte est fermée à clé. Je la pousse de toutes mes forces et la défonce d’un coup. Il y a deux verre et du jus sur la table basse du salon. Les chaussures d’homme au salon, des cris de jouissances. Je cours dans la chambre et ils étaient en train de s’envoyer en l’air. Je mets à applaudir, avant qu’ils ne remarquent ma présence :

Chris surpris : monsieur !

Joyce : Oswald ?

Au même moment Foumi entre dans la chambre :

Chris : Candice ?

Foumi : Chris ? Tu fous quoi avec elle ? Non mais ce n’est pas vrai !!

Moi : Candice !!! Qui est Candice ? Foumi, tu t’appelles Candice aussi ?

 

------Foumi------

Je n’aurais pas dû le suivre si je savais que c’était Chris ! Il vient de m’appeler Candice. Comment j’aurais même su que c’était Chris ! Seigneur !! Je suis démasquée

Valdo : Foumi, donc tu connais ce salaud ?

Joyce: Oswald, s’il Te plait!

Valdo: you shut up your mouth!

Moi, voix tremblante : Chris, Chris, est un ami de, de l’université, de cendrillon!

Valdo : université ou cendrillon ?explique moi chérie ! Je suis confuse

Chris : on est ami à cendrillon

Il ne finit pas de parler que déjà Valdo a jumpé sur le lit en le rouant de coup ! C’était atroce à voir ! Mon dieu. Joyce s’est enfuie du lit. Valdo l’a poursuivi jusqu’au salon en laissant Chris, visage ensanglanté. Je rejoins Valdo au salon.

Valdo furieux : où comptais-tu partir ? Au Nigéria j’espère, car je ne veux plus te revoir ici. Ramasses tes affaires et sors de chez moi. Je te laisse jusqu’à ce soir pour dégager.

Joyce : tu mets au dehors à cause de cette chatte noire ?

Valdo : une chatte noire douce et suave…rien avoir avec toi.

Joyce : et c’est pour ça tu me quittes ! Moi je t’avais déjà quitté depuis, tu n’es jamais présent et tu veux que je fasse quoi ? Maintenant tu viens me dire quoi ici ?

Valdo : tu oses me parler de la sorte ?

Joyce : et donc que me feras-tu ? Je vais quitter ta vie plus vite que prévu. Tu es juste riche mais tu es trop vilain pour moi, celle qui te convient c’est bien elle. J’imagine son vagin ! Aussi large qu’un puits. Vous allez bien !

Je regarde Valdo, il bondit sur elle et l’assène une paire de gifle. Au même moment Chris aussi sort et le gifle.

Chris : je t’interdis de la traiter de la sorte

Joyce : non mais, que-est-ce qu’elle vous a fait pour que vous me frapper tous deux ? Chris !! Chris j’étais prête à tout quitter pour être avec toi.

Chris : non merci je fais mon boulot, j’ai déjà une petite amie qui connait ton existence. Toi et moi c’est zéro.

Je regardais la scène qui se déroule devant moi, incrédule. Je me souviens de ce soir où j’ai agressé Valdo, j’ai vu Chris et cette Joyce avec lui se parler. Seigneur ! Donc c’était ça. Tout est encore un peu flou dans ma tête. Valdo est redevenu subitement calme et dis :

Lui : Joyce avant le soir tu bouges d’ici, je ne veux plus jamais te revoir. Foumi ou Candice je m’n vais. Pas besoin de me suivre, tu restes avec Chris c’est mieux, puisqu’il te défend aussi bien !

Moi : Valdo arrête ! S’il te plaît

Joyce : sale pute

Je l’ignore, et c’est Valdo qui vient pour lui donner une autre gifle et elle s’enfuit pour se cacher derrière Chris. Valdo sort de la maison, je le poursuis. Il s’en ferme dans la voiture refusant de m’écouter. C’est quoi son problème ? Il est jaloux ou quoi ? Il voulait aussi profiter pour me régler mon compte ou quoi ? il démarre me laissant là. Je regarde la voiture partir au loin, et… non mais je rêve !

Moi : nooooooon !

Je mets à courir ! Une voiture vient de le percuter ! Un accident…

 

-----Bella-----

Enfin ! Je me suis vengée ! Quel soulagement ! Il m’a utilisé et m’a jeté, il devrait en payer le prix fort. Cela fait trois mois que je suis au chômage et je planifiais cette vengeance depuis. Enfin ! Je ris de joie.si je le pouvais je vais même me mettre à danser. Je regarde dans mon rétroviseur, la voiture est en fumée au loin. Pendant des semaines, je le filais. Je recherchais le bon moment pour réaliser ma vengeance…. J’espère qu’il sera mort calciner dans cet accident. En tout cas il peut sortir vivant après la cascade qu’a fait sa voiture. J’ai juste de la peine pour sa nouvelle poufiasse…

 

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