Sa question a beau être muette elle est très clair. Mais je ne sais pas quoi dire. Comment lui expliquer que JAMAIS je ne me suis laissé à aller jusque là avec un homme, j’étais championne pour me défile à la dernière minute mais lui : « Il a le droit ».

Et cette douleur n’a absolument rien de passagère cette douleur ? 1,2,3 respire et inspire, respire et inspire.

-          Sabine… ya Allah (=oh mon dieu) (il peine aussi à se maîtrise, il tremble de tout son corps et pose son front sur le mien. Avec difficulté) (il chuchotte) Tu aurais dû me le dire.

-          (je le regarde les yeux pleins de larmes et je ne sais pas quoi dire)…

-          (Avec douceur, il embrasse mes larmes qui maintenant coule le long de mes joues, il est toujours a l’intérieur de moi quand il me prend dans ses bras et change nos positions. Je me retrouve au dessus de lui, il arrange les oreilles et s’allonge dessus et je me retrouve assise sur lui mes mains autour de sa taille et dit d’une voix hachée) quand tu est prête

-          (la voix enrouée) Je voulais te le dire, je ne savais pas juste comment (la douleur a presque disparue et je commence même à m’y habitué)

-          Humm je n’en doute pas (il dit ça en bougeant légèrement tout en guettant ma réaction comme s’il me testait) détend toi, je te promet que ça va te plaire

-          (la stupéfaction sur mon visage laisse place à un sourire et je gémis quand il bouge encore de manière légère mais tellement profonde) AAshhh

-          Bouge Sabine STPPP (son visage est complètement déforme mais je saurais dire si c’est de douleur ou de plaisir)

-          (alors je commence à bouger de manière timide mais plus je bouge plus j’en veux alors mes mains se retrouve de part et d’autre de ses épaules mes seins lui tombe en plein visage et je me balance d’abord doucement ensuite de manière frénétique tellement c’est bon, Ash à poser ses mains sur mes reins mais il suis juste mes mouvements)

-          (murmurant) That it is babe, take it…. take it all (C’est ça Chérie, sert toi) is all yoursssss (c’est tout à toi)

-          (la jouissance me surprend et me foudroie en plein élan, je suis comme figée les yeux à demi clos en essayant d’absorbe tout ce Plaisir qui semble parti du creux de mon ventre pour se propage jusqu’au bout de mes orteils.)

Ash n’attend pas que je me remette de mes émotions et change encore nos positions et là toute la retenue dont il faisait preuve s’évapore. Il me laboure de manière féroce et ce feux que je croyais éteint en moi se rallume et je recommence à supplié, gémir.

-          Allez chérie tu peux encore (me susurre-t-il)

-          Nnnn noooo nonnnn (je secoue la tête de part d’autre en signe de protestation)

-          Si tu peux,

-          ….hummmm (je suis agrippé aux draps de toute mes force pendant que Ash ne faiblit pas il vas et viens en moi de manière impitoyable)

-          Maintenant (et là je vole en éclat comme si le son de sa voix avait libère quelque chose en moi )

Nos corps sont comme suspendus pendant que le plaisir lui continue son chemin insidieux dans tout mon système nerveux.

Quelques minute ou heures je ne saurais pas le dire exactement je le sens se levé et je me sens vide. Je proteste car j’ai mal aux jambes, l’intérieur de mon corps me fait mal quand j’essaie de me retourne. Mon regard se pose sur Ash à la lueur du crépuscule : ses longues jambes, sa carrure, sa taille et mon dieu SES FESSES ! y a pas à dire MON MARI est Canon.

Ash semble très à l’aise avec sa nudité, il se dirigé vers la salle de bain et mon premier réflexe est de me couvrir ce que je fais de suite. Je voudrais me lève pour allez prendre une douche mais je me sens vaseuse.

Je suis presque endormie quand je sens le lit s’affaissait, j’ouvre les yeux pour tombe sur mon mari qui me regarde comme si on ne venait pas juste de…

-          J’ai à peine le dos tourné que tu te cache (faisant reference au draps avec lequel je me suis couverte)

-          Je ne me cache pas (et juste pour vérifie quelque chose je me

-          lève un peu et jette un coup d’œil à son entrejambe, son érection reste intacte on ne dirait même pas qu’il à joui)

-          (Il suit mon regard et souri devant air surpris) c’est ta faute

-          (il tire légèrement sur le drap et comme je me m’y attendais je me retrouve aussi nue que lui et là je constate qu’il à avec lui une serviette et une petite bassine d’eau) C’est pour faire quoi ? ( mon cerveau refuse de confirme ce que je supçone déjà)

-          (d’un air parfaitement calme) te nettoyer

-          Heinnnnnn

-          (Après l’avoir trempe et essore il essaye d’écarter mes jambes mais je suis débout en un temps deux mouvement. Lui l’air surpris) qu’est que tu fait ?

-          (je le regarde choqué) Toi qu’est-ce que tu fais ??

-          Je te fait une toilette

-          Je peux le faire toute seule (aucune chance que je le laisse voir mes vergetures dus à ma variation de poids quand j’étais plus jeune, ou toutes ces uniformités de teint que j’ai à cet endroit :c’est un tué l’amour pas possible ABSOULEMENT AUCUNE CHANCE, je suis nue mais ce n’est pas grave j’ai juste hâte de me retrouve dans la salle de bain seule mais je n’ai pas cette chance)

-          ( il me stoppe par la main quand je passe devant lui et me ramène à lui doucement mais fermement) J’ai le droit

-          Non pas celui là je n’ose même pas le regarde dans les yeux

-          (l’air choqué) SABINE, on vient de faire l’amour

-          Et ???

-          Je suis ton mari

-          Ash, s’il te plait

-          Non ce n’est pas négociable Sabine (il me recouche sur le lit)

-          (je suis étendu là nu comme vert et jamais je n’ai été aussi mal à l’aise) Je ne suis pas parfaite (je lance cette phrase quand il est sur le point écarte mes jambes)

-          Je sais ce pour quoi j’ai signé Mme Khan (me repondt-il avec un sourire) et j’ai le droit à tout

-          (Pour toute réponse j’ai tourné la tête de l’autre côte et je me suis laisse faire. J’ai senti la serviette tiède sur ma peau, mon intimité et j’ai essayé de ne pas réagir le plus possible et quand je croyais qu’il à fini j’ai senti sa bouche à l’intérieur de ma cuisse à l’endroit ou mes vergetures sont les plus chroniques. Personnellement je n’en tenais pas cas, jusqu’à aujourd’hui. Sa bouche continue son chemin jusqu’à cœur de ma féminité) Ash

-          (avec un sourire espiègle) juste pour que tu comprennes que je sais exactement que je sais ce pourquoi j’ai signé (je n’ai même pas le temps de proteste que sa bouche reprend sa lente et douce torture. Il embrasse chaque parcelle de me cuisses, sa langue me fouille, suce et quand j’y suis presque, il ralenti jusqu ce que n’en pouvant plus j’explose encore) tu as très très bon gout (il se passe la langue sur ces lèvres)

-          ( ok on vas joué à ça) C’est mon tour

-          De quoi

-          De me régale

-          Tu n’est pas obligé

-          J’en ai envie (je me glisse lentement sur le sol devant lui et me met à genou, le prend dans ma main et humecte me lèvres. Je lèche son gland humide et le gobe comme une sucette. Ma bouche remplace petit à petit ma main il sent tellement bon et j’avoue ça me fait encore plus mouille de le voir comme ça alors je le prend plus profondément, je délaisse son membre érigé pour prendre ses boules dans ma bouche Ash pousse un sacre juron et frémir

-          More…. Babe…..

-          (comme si je n’attendais que ça je le repend dans ma bouche jusqu’à la garde et quand je le sens venir au lieu de me retire j’attends

-          Je viens (il essaye de me repoussé)

-          (mais je ne l’entends pas de cette oreille et reste là et c’est comme ça que la jouissance le prend et j’avale tout. J’ai toujours cru que ce serait dégoutant mais non, il à bon gout mon homme)

-          (Il me regarde ahuri) Waouhhhh, babe c’était magique

-          (je souris satisfaite)

-          (il eclate de rire devant mon air satisfait) Ok, on est bon pour une douche

Des heures plus tard allonge dans le lit (on a du le refaire) repu et satisfait Ash me pose la question à laquelle je me disais avoir échappe ou plutôt il fait un constat.

-          Tu est vierge

-          Je l’étais.