Chapitre 44: la naissance

Write by ngakomal

je suis désolée pour le retard. pour ceux qui vivent au Cameroun, ils savent le travail que nous fait subir la compagnie d'électricité.   please. vos commentaires donnent le sourire et encourage. merci d'avance.


~~~ Mehoum Reine~~~

Nous sommes assieds ici depuis plus d’une heure et je n’arrive toujours pas à croire que ce bel être devant moi puisse être d’une nature autre. Je le fixe intensément et lui soutient mon regard. J’étire mes lèvres en un sourire et baisse les yeux sur mon verre de cocktail de fruits frais que je porte à mes lèvres.

-          Cette sensualité en toi me fait définitivement perdre la tête.

-          Humm (comme pour dire oui) est tout ce que je trouve à dire. Voilà que maintenant j’évite son regard.

-          Alors comment était ta matinée?

-          Bien. C’était bien…

-          Bon ! j’en ai ma claque Reine. Si tu ne voulais ne pas sortir fallait juste le dire. Si tu avais changé d’avis j’aurais fais avec que de me retrouver fasse a un mur. Si je fais l’effort de remettre mes patients à un autre pour toi c’est pas pour que tu tire la tronche. Dit-il d’une traite.

-          Non...non…. bien sur que non. Lançais-je quelque peu inquiète. Il était si rare qu’il aligne plus de trois phrases d’affilées.  Je voulais aussi passer du temps avec toi. j’en ai rêvé….

-          Alors qu’est ce qui ne va pas ?

-          Rien je t’assure…..

-          Bien. Fini ton verre je te dépose chez vous.

-          Mais je ne veux pas rentrer. Tu as promis de me distraire… en plus je veux vraiment être avec toi.

-           Ecoute Reine je tolère beaucoup de choses mais être pris pour un con n’en fait pas partie.  Il est vrai que j’ai pas pu voir ton état de confusion tout à l’heure. J’avais trop envie de t’embrasser pour penser à autre chose glissa t-il suavement. Mais je constate que même ton aura est brouillée. Soit tu me dis ce qui ne va pas…

-          Je veux bien te parler. Coupais-je mais c’est tellement farfelu que moi-même je peine à y croire.

-          Dis toujours.

Je me suis mise à me tirer les phalanges et les presser les unes sur les autres. Par qu’elle bout allais-je le lui dire sans passer pour une folle. Je sais que mes rêves lorsque j’en fais se réalise tôt où tard. J’ai même vu le gros chat noir à ses côtés. Je levais les yeux vers lui et son regard intense me fixa sur mon siège. J’étais comme apaisée et mise en confiance. Un bien être m’envahit et j’avais comme impression que rien n’avait d’importance. Aussi légère qu’un papillon. 

-          Alors, fit-il en prenant les mains dans les siennes

-          Qu’est … qu’est ce que tu as fait ?

-          J’ai mélangé mon aura à la tienne pour te calmer… dis moi s’il te plait tu m’inquiète.

-          L’autre jour j’ai rêvé de toi et ce que j’ai vue me fais peur. Tu ne vas peut être pas le croire mais je sais que cela vas arriver. Il y avait même ton gros chat là. (J’ai sentis une petite pression sur mes doigts pour m’encourager à parler.) nous étions dans un palais  ton ami toi et moi. Tout était fait d’or et de pièces étrange. Il y avait un  vieux monsieur qui te ressemblait un peu. Un autre est sortit de nulle part et a attaquer le vieux monsieur d’une dague. Tu es entré dans une rage folle tandis que tu te transformais en un mastodonte froid et terrifiante il y avait un gros chat à la même allure à tes côtés. Et puis tout devient flou et je me suis réveillée.

-          Ce n’est rien dit-il.  c’est ce qu’on appelle cauchemar.

-          Que tu ne veuille rien me dire Ad je comprends… mais ne mens pas. S’il te plait ne me mens pas.

S’en  est suivit un silence qu’aucun de nous ne voulais rompre. J’ai demandé des nouvelles de son ami Biboum et du travail. J’ai rappelé pour mes cours J’ai fait exprès de changer de sujet. Je ne comprenais pas ce pincement dans mon cœur. Le fait qu’il ne veuille me dire ce qui n’allait pas me peinait. Je n’avais jamais sentis un rejet aussi puissant. Oui le fait qu’il ne veuille en parler pour moi était qu’il n’avait pas confiance. Nous avons fini nos consommations, sommes sortis et avons pris le chemin que j’ai reconnu être celui qui le mène chez lui.

-          Je ne veux pas aller chez toi Ad

-          Nous en avons besoin. Toi et moi.

J’avais compris depuis peu qu’il pouvait être buté et inflexible quand il prenait ce ton là. Je me suis laissé glisser dans la douceur du siège en laissant mes pensées voyager. Il arrivera bien un jour où je comprendrais où me mène ma vie.

Tout le long du trajet, je n’ai pu me concentrer sur rien d’autre que la longueur de ses doigts sur le levier de vitesse, sa mâchoire carré sur lequel se dessinaient les muscles de son visage à force de serrer les dents.  Je ne sais pas de quoi il se contrôlait mais je trouvais ça hyper sexy. J’ai pris mon téléphone et ai commencé à prendre des photos de lui de manière discrète.  Il est vraiment trop beau. 

Nous arrivons chez lui et le voici dans le salon à tourner comme un lion en cage. J’ai posé mes fesses sur un pied de table afin d’avoir la meilleure luminosité des grandes baies vitrés de son séjour.

-          Dépose moi ce fichu téléphone Meh. Demanda t-il sur un ton exaspéré.

J’ai juste obtempéré hein. Je me demandais encore ce que j’avais fais.

-          Tu as parlé d’un gros chat tout à l’heure… tu peux m’expliquer ?

-          Comment ça ? demandais-je évasive.

-          Qui t’en a parlé ?

-         

-          Je sais que tu sais… le fait que tu n’as pas pris tes jambes à ton cou m’étonne encore. Mais que tu sois là si calme si confiante alors que j’ai souvent peur de moi laisse à désirer alors je repose ma question. Qui es tu Meh ?

La froideur avec laquelle il a posé la question m’a glacé le sang. Mais je ne ressentais aucune peur. Vous savez celle qui saisit le cœur et fige le cerveau. J’étais plus dans la crainte de ne pouvoir maitriser sa colère ou la subir. En plus je savais que mon ressentis était anormale. J’ai avalé ma salive et ai joint les deux mains pour chasser mon stress.

-          Je … je…

-          La vérité Meh… la vérité.

On pouvait entendre une mouche volé entre coupé de ma respiration saccadé. Je voulais bien dire la vérité mais laquelle ? Moi-même je ne la connaissais pas. Me croirait-il ? Le regard posé sur moi ne me donnait guerre le choix

-          Je suis celle que j’ai toujours été. lançais-je d’une traite. Celle qui a été hospitalisé dans ton hôpital et qui t’as présenté à sa famille. Il est vrai que depuis peu il y a beaucoup de chose qui se passe dans ma vie que je ne comprends pas. il est vrai aussi qu’appart les Blairon je ne connais personne d’autre de ma famille. Il parait que je suis la fille d’une amie de maman sabine et qu’elle m’a prise après la mort de ma grande mère. Et pour le gros chat il s’est présenté à moi….

-          Quoi ? grogna t-il incrédule.

 Je voyais bien ses traits devenir de plus en plus dur. Il fit un pas vers moi et moi j’en fis deux à reculons.

-          Je te jure… L’autre jour dans ta chambre… on a dormis et … et j’ai rêvé de lui …. Il a dit être ton génie. Et puis Nzeu a dit que cela pouvait arriver. Et … et…

Je voyais bien qu’il ne me croyait pas. À sa place je ne me croirais pas non plus. Il se contenta de soulever un sourcil l’air sceptique.

-           Je dis vrai merde ! tu crois peu être que c’est facile de se lever un matin et de commencer à se poser des questions sur son existence. De vivre des choses tellement farfelus que tu es consciente du fait que tu ne pourras te confier a personne surtout avec le genre de famille que j’ai. Tu as au moins des amis à qui tu peu dire qui tu es. Même ton poisson est meilleur confident que ma famille et mon ami réunis. Tu pense quoi ? j’en arrive à me demander qui je suis, si je suis humaine. Et toi tu es la à me demander des comptes sur ton gros chat. Humm. (et là ni tenant plus, j’ai éclaté de rire mélanger aux larmes qui coulaient depuis peu sur mes joues) si tu savais ce que j’entends, vois et vis. Sniff Des fois je me mêle tellement les pinceaux que je ne sais plus si c’est le présent où le futur. snif snif Si c’est de ce monde où pas. j’ai meme peur de dormir. Je je… j’en ai marre sniff sniff… je ne veux plus lutter sniff snif je suis fatiguer, épuiser….

Je ne sais à quel moment il s’est joint à moi a même le sol. Où je continuais de pleurer ma peine. Je voulais juste que cela cesse. Je voulais juste arrêter de me contrôler juste pour un moment. Le temps de souffler. Et dire que tout ceci a commencé avec cette histoire de rêve.

-          Meh … ma reine calme toi c’est bon. Je saisis, je te comprends. Calme toi … tu vas tout détruire.  Disait-il en me serrant fort dans ses bras.  Calme-toi. je ne pourrais t’aider si tu me tiens si loin… laisse moi mélanger mon aura à la tienne et te communiquer un peu de ma quiétude. Me chantait-il comme une litanie

Pendant ce temps, la voix de Nzeu me vrillait les tempes il y en avait que pour des « calme toi ma grâce, à cette allure le mûr ne tiendra pas », « tu n’es pas préparer, il aurait fallut que tu ais confiance en ton protecteur avant » ; «  l’énergie que tu dégageras les aviseras de ta presence et ils pourront te localiser », « Mehoum reine rêve arrête moi ça tout de suite tu nous amèneras à notre perte à cette allure »

Je percevais tout ceci comme dans un voile un brouhaha, les voix était si lointaine et le mal de tête s’empirait. La douleur allait en ligne linéaire de la nuque au point centrale du front. On aurait dit une plait ouverte dans le quel on s’amusait à faire danser des fers chauffer à blanc. Et La douleur était telle que j’avais l’impression de suffoquer au point de me perde. Comment était-ce possible ? Là était le moindre de mes soucis. Comme un reflexe de survie, il me fallait l’exprimer. J’ai placé mes deux mains de part en part de ma tête et le cri sorti de mes poumons me fit comprendre…..

~~~ sango njanè … madiba adrian~~~

Qu’est ce qui m’avait pris de tomber sur elle de cette façon ? Je ne pourrais blâmer personne d’autre que ma personne. Ma maison vibrait comme si elle subissait un tremblement de terre de magnétisme 9 et je pouvais voir que dans quelques minutes je perdrais définitivement le contrôle. Sa force…. J’essayais de la contenir tant bien que mal et je pourrais voir que je ne tiendrais pas. Il me fallait du renfort. Je contactais Biboum par télépathie.

Piè avait pris place depuis fort longtemps à l’extérieur pour contenir l’explosion. Oui elle ne saurait tarder. J’avais assisté à ce genre de truck deux ou trois de fois dans ma vie pour savoir qu’elle (l’explosion) ne tarderait pas.  Il était sortis sans mon avis de mon corps et juste dit «  l’heure est arrivé et ceci marque le début de la bataille »

-          De quoi tu parles ? lui avais-je demandé

-          Il faudrait retenir l’onde de choc afin que toute la ville ne subisse des secousses. Je ne pourrais contenir l’explosion et le faire. Appel ton protecteur maitre.

L’heure n’était pas aux questions, il fallait agir. Les explications viendraient après de toute façon, il n’y avait pas mort d’homme. J’avais de la peine à la voir ainsi se tordant de douleur. Ses cris de loup blessé fendant mon âme et sa douleur me comprimait le cœur. Je ne savais pas que mon attitude quelque peu rude aurait cet effet. Alors que j’avais pris soin de réprimer ma colère… et dire que mère passait son temps à me réprimander sur mon caractère. Je pouvais  changer au quart de tour. Et la violence sadique qui allait avec.

-          Mais …. Njanè que se passe t-il ? demanda Biboum qui était apparu au coin adéquat sans que je ne m’en rende compte.

-          Qu’est ce que….

Il fut interrompu par une onde plus puissante que les deux autres apparut au par avant qui nous propulsa tête la première dans le mur.  Moi dans un poteau en béton et lui, traversa le mur pour se trouver en cuisine. Son cri déchira l’espace et sa douleur la fit s’enrouler au sol. Ses mots étaient incohérents et décédés.

-          Met toi à l’extérieur et contient les ondes. Nous avons besoin de cette couverture. Nous avons trop travaillé pour reprendre tout de zéro. De ce que j’ai compris elle en aura aussi besoin. Moi je continu a canaliser son énergie. Ordonnais-je lorsque chacun  de nous repris ses esprits.

Il sortit de suite et je me remis au près d’elle. Ceci ne durait que depuis une heure et j’avais l’impression d’une éternité. J’étais épuisé, la lutte était rude et sauvage. J’allais perdre…. que le ciel nous vienne en aide….

~~~Sango Da Sango ~~~

Dans les profondeurs….

Il faudrait être aveugle pour ne pas comprendre qu’à la surface il y avait un problème. Mon fils avait un problème. Les signaux de détresse que je sentais au fond de moi ne pouvaient être une illusion. J’étais assied là dans la grande salle depuis près d’une heure comme un con tandis que celle qui qu’on appelle femme n’avait rien remarqué de mon trouble. C’est en ce genre de moment que je regrette les lois de mon royaume. Les plaintes se suivent et je n’y ai vraiment plus la tête.  Je juge de manière expéditive et prétexte un malaise pour éviter les longs pourparlers avec mes conseillés. Je vais dans mes appartements et lance des signaux mentaux à ma dame Siegue.

Je marche de long en large et casse plusieurs choses à mon passage. Cela a toujours été ainsi, au moindre stress, j’ai besoin d’évacuer. Et cogner,  casser m’aide ou alors la vois de ma dame. La fonction de roi est tellement délicate que dans tout ce royaume je n’avais confiance qu’en trois personnes. Mon chef de guerre car il avait servit mon père, ma femme et moi.

Je sais qu’ils sont nombreux et comme moi ils savent que mon fils à un rôle important à jouer. Mes informateurs disent que les ramifications de cette milice remontent jusqu’aux olympes. Mais qui ? Mais qui bon sang en donnant un coup de pied ravageur dans la commode. J’ai fait appel à un garde pour qu’il aille la chercher. Je n’ai pas la patience d’attendre. Les pensées en ébullition, je me demandais comment j’avais pu être si aveugle. Ma dame m’avait prévenu mais plus têtue que moi tu meurs. J’aurais du l’écouter et appeler Nzeu Tchoko dans mon royaume avant sa mort.  Je me retrouve actuellement avec un méli-mélo de puzzle dans lequel ne trouve aucune cohérence. Lorsque mon premier ventre à confirmer que l’état de NZA Elimbi venait d’un empoisonnement venant du peuple banni, j’ai  compris qu’ils étaient préparés et ce depuis longtemps.

Elle entre sur cet entre fait et regarde autour d’elle avant de poser ses yeux de velours sur moi. Elle secoue la tête et s’avance pour me prendre dans ses bras et comme toujours je me laisse faire.

-          Tu as sentis ? lui demandais-je en humant son odeur dans le cou.

-          Oui.

-          Il appel à l’aide. S’il en arrive là … je crains le pire. Je devrais y aller. j’ai besoin de savoir qu’il va bien.

-          Tu sais très bien que c’est impossible. La seule personne capable de le faire de manière discrète est actuellement couché malade.

-          Ils savaient que ce moment arriverait. J’ai mal de ne pouvoir rien faire.

-          Je sais. Moi-même je l’ai compris et c’est la raison pour laquelle j’ai inclus dans sa médication de quoi développer son psychique afin d’utiliser le canal qu’il a avec le protecteur de Djanè.

-          Le canal ? demandais-je surpris en me décollant d’elle.

-          Oui. Le lien ombilical.

-          Comment ? ils sont frères ? comment est-ce possible vue le décalage.

-          Non. C’est le fils de sa sœur banni.

-          Pardon ? et il en a fait le protecteur de mon fils ? non mais il pensait à quoi ? les conséquences quand on le saura…. Bon sang ! je n’ai pas encore fini avec un que l’autre s’ajoute. Pourquoi a-t-il fait ça ? il me met maintenant dans une situation inconfortable et …..

-          La ferme djanè …. Tu entends norr la ferme ! dit-elle d’une vois si calme que je trouvais cela dangereux. Quand est ce tu comprendras que tu es en guerre et que le champ d’en face s’en fout pas mal de tes lois. Quand je suppliais ici de ne pas mettre tes trucks la dans mon enfant est ce que tu comprenais ? et tu penses que j’aurais permis que mon fils s’en aille sans être sur que son compagnon n’est pas un traitre ? j’ai fait cette demande à Nza. C’est vrai que je n’ai su leur lien que depuis que j’ai commencé son traitement. Contrairement à toi ton chef de guerre avait pris les avertissements de ce Nzeu tchoko au sérieux. Toi tu avais tellement…. Bref. Dit-elle reprenant son souffle en une grande inspiration relâchant ses branchies. Ceci n’est pas la question…

-          Ha bon ?

-          Oui. La question est que tu devrais faire confiance à ton fils. C’est son combat et je sais qu’il le mènera à bien. Dans l’état actuel des choses, nous ne pouvons rien faire car les lois compriment nos mouvements. Il faudra contourner nos restrictions avec tact et intelligence. Surtout que Nza Elimbi suspectait certains conseillés…

-          Les quels demandais-je en m’échauffant.

-          Il nous connait trop bien. Il a refusé de me montrer. Il sait que je ne peux te mentir et toi t’empêcher de faire une bêtise.

-          Ok. Tu reste avec moi ? j’ai prétexté un malaise.

-           Tu sais que je ne peux pas. à l’heure actuelle, tout le royaume sait que tu m’as fait appel dans ta chambre. Heureusement que tu as tout cassé. Je vais sortir d’ici en pleur et toi tu reprendras le cours de ta journée. Avec un peu de chance il se diront que c’est une dispute de couple. Il ne faut en aucun cas qu’ils sachent que nous savons. Plus ils nous croient idiot le mieux pour nous.

-          Comment vais-je tenir ? ma tête n’y est plus.

-          Il faudrait des fois que tu l’utilise convenablement cette tête. Si tu avais ma sensibilité tu aurais compris que l’énergie qui se dégage est intense et positive. Si les eaux les ressent à des millions de kilomètres, c’est qu’elle la reçoit et la conduit a travers le monde si non l’univers. Nos ennemis la ressentent aussi. Si tu panique ils pourront comprendre que tu garde un lien direct avec ton fils pas seulement tes rendez-vous avec son gardien.

-          Ok.

Nous avons fait comme elle a dit. A chacun son cinémas !

~~~ Quelque part entre ciel, terre et mers~~~

-          Maitre elle s’est réveillée, la prêtresse est de retour.

-          Je sais… donne une information que je ne sais pas. tous l’univers a ressentis sa naissance Charles.

-          Elle est dans la même ville que Njanè et l’épicentre de cette énergie est son domicile.

-          Est-ce à dire qu’elle est dans leurs mains ? je le croyais banni celui là…

-          Oui il l’est toujours. Loin des siens depuis près de 17 ans.

-          Pourra t-il joindre la cause ?

-          Je ne pense pas… il aime trop l’humanité que je représente. Mais il est écrit «  la prêtresse naitra auprès de son protecteur ».

-          Ceci change toute l’équation…. Mais je te l’assure nous serons vainqueur.

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