Chapitre 52 :

Write by Maya my'a


Il les écarta, puis il introduisit sa langue en elle ; il lapait son sexe avec appétit. Et tante Sidonie, se livrait complètement détendue.


J'étais sidérée ! Je regrettais d'être là, en ce moment précis.

J'avais honte de les voir, mais pour autant, effaré, je n'arrêtais pas de les regarder.


J'assistais le cœur en mille morceaux. Je devenais, une fois encore, spectatrice de la pornographie. Je l'avais bien cherché. Certes, j'avais filmé Pierre avec aisance ; la joie de montrer à tante Sidonie, que cet homme n'était pas ce qu'il lui faisait croire. Mais devant ce couple, j'étais très mal à l'aise. Je ne décrivais pas mon ressentiment face à cette situation. J'avais imaginé toutes les femmes dans ces positions, sauf elle.


Tante Sidonie, déchaînée, grimpait sur l'ogre, aspirant son membre avec ses fesses :


-C'est si bon George ! Ne bouge pas, je vais te faire jouir.


-Oui chef !


Les claquements de leurs peaux s'amplifiaient. Tante Sidonie criait sans se gêner de l'endroit où elle se trouvait, et moi, je continuais de les observer avec dégoût. Mes yeux plongés dans un fleuve de larmes.


Je devais me munir des preuves pour en parler à Monique, et espérer me faire entendre. Ainsi, je commençais une vidéo avec dégaine.


Elle ondulait en pressant ses grosses fesses ; ses cris aigus témoignaient son désir déjanté. Elle se libérait ! Elle se sentait libre de baiser dans la chambre de Monique.


Accroupie sur George, elle sautait en tenant ardemment ses épaules. George presque essoufflé, hurlait de plaisir.


-Sidonie ! Tu connais...


-Oui ! C'est ma spécialité... Ouh George...


-Sidonie ! Tu as mis quoi dans tes fesses ?


- Le miel et le piment, répondait-elle avec une voix sensuelle. Je le fais pour te faire vibrer. George, laisse-moi te conduire. Ouh ! Ah ! Siiiihh ah ! Ouh George tape fort ! Vas-y ! Aujourd'hui, je suis entièrement à toi.


George la prenait à quatre pattes. Il empoignait durement ses fesses, faisant des allers et retours avec pression.


J'étais encore plus ahuri et très mal ! J'avais l'impression d'être au bord d'une crise cardiaque. Je murmurais : Port-Gentil, eh pitié ! Ma pauvre mère.


Malheureusement, Meye n'était plus dans la ville pour voir ce film, qui se tournait dans la chambre que, Monique avait méticuleusement transformée pour un dîner aux chandelles. Ainsi, dans un décor digne d'une série romantique, les amants se mouvaient.


Ils étaient si concentrés, qu'un geste maladroit de tante Sidonie qui, voulant déplacer la commande du téléviseur, le mit en marche.


À l'écran, directement, s'affichait la vidéo originale du viol de maman. Surprise, j'interrompais mon enregistrement, pour me focaliser sur le film qui se produisait à l'écran.


 Hein ! Monique ! Tu avais cette vidéo ? M'interrogeais-je déboussolée.


George et tante Sidonie occupés, s'arrêtèrent brusquement, attirés pas les cris provenant de la vidéo. Ils se décolèrent de l'un et autre.


Ce film montrait clairement les visages. Monique implorait leur pitié en vain.


Déconcertée, tante Sidonie poussa un hurlement lorsqu'elle vit Pierre s'introduire brutalement en Monique. L'ogre mit ses mains sur la tête, stupéfait.


- Les yeux arrondis, Pierre ! Cria, tante Sidonie. Comment as-tu pu ? Mon Dieu !


Elle libéra, si haut, un sanglot, ignorant encore ma présence. Alors, toute nue, elle bondissait du lit. Et moi, ému par la découverte du plan de Monique, j'eus du mal à m'enfuir.


-George ! Soit maudit, vociférait-elle, lui donnant une gifle sur le visage.


Et lorsqu'elle se tourna :

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