Chapitre 7: The couple

Write by Les stories d'une K-mer

***Ingrid***

J’allais faire quoi mis à part me cacher. Je suis chez eux nor, elle a le droit de me faire ce qu’elle veut. Hum. Quand je pense comment maman les mettait à l'aise quand elles étaient à la maison. Toujours à faire ce qu’elles veulent. Pour peu que je mette un t-shirt, je dis bien UN T-shirt qui ne doit même pas valoir euros, elle me frappe ? moi ?

Et dans tout ça elle se refugie au salon (tapant des mains) ehh ahhh, elle m’a prise par lâcheté, et aussi je respecte tata Dési, il ne faut pas qu’on vienne ici ramasser son cadavre, j’ai laissé, (serrant la mâchoire) j’ai seulement laissé, Minalmi, Je t’aurai hein (agitant les main) Je t’ai laissé, je t’ai seulement laissé.

J’ai enlevé son vieux haut de prostituée là. Est-ce que ce que j’ai dit est faux ? C’est son problème si elle travaille la nuit, tout le monde ne fait pas dans la vente du corps. Tout ça sa mère accepte. Après pour me chante qu’il y a les heures pour rentrer chez elle ?

C’est ça, les enfants des autres on maltraite, mais ses enfant on en fait des petits saints. Je vais me plaindre chez qui ? maman ? qui voit sa sœur comme mère Thérèsa ? à qui tata D2si ? pour rien au monde elle ne peut prendre ma défense. (soufflant). Je plie le doigt, je supporte, mon retour sur les filles ci hein, elles vont me sentir. Elles vont me sentir passer (mordant ma lèvres) ou c’est moi ou c’est moi. Attendez, donnez-moi juste le temps de bien m’assoir dans ce pays. C’est le chez vous nor ? (tapant la poitrine) Moi je vais vous faire la loi, racailles, reste de filles (la main sur la joue) en plus elle a même gifler fort, Guenon comme ça.

[Pendant ce temps]

***Amira***

Moi (affolée) : Non !  

Véra : je te dis vrai, je ne sais pas avec qui elle parait mais en tout cas nos noms étaient dedans

Moi : humm, vraiment quoi ? Après tout ce temps ? Purée qu’est-ce que cette gamine veut à la fin ?

Véra : je ne sais, mais en tout cas, la gifle, elle l’a vue passer. Je ne rigole pas, tu me connais

Moi : Je n’en doute pas. Et maman ?

Véra : Maman rien ! cette histoire je la gère à mon niveau, le jour où ce sera chez maman ce sera une histoire entre mère, pur le moment je traite ce qui me concerne

Moi : Tu ne vas donc rien lui dire ?

Véra : à quoi bon ? Voir maman en palabre avec sa sœur pour uen petite qui ne sait même pas laver ses desous ? Tchrrr

Moi (rigolant) : doucement oh ! elle est où en passant

Véra : là (criant) elle est dans la chambre et je sait qu’elle écoute ce que ej dis (criant de plus belle) Si tu me cherches Ingrid tu vas me trouver, me traiter de pute ? (rire) nerveux, tu veux faire ta blédarde avec moi, je ferais ma batarde, et je pèse bien mes mots ! ingrate cochonne !

Moi (rigolant) : calme toi V, stp

Véra : t’inquiète, je suis calme, je suis même très calme (soufflant) si un temps soit peut j’avais été en colère il ya longtemps ses affaires seraient dehors ! là , là oui elle saura c’est quoi les ENFANTS de Mbeng, les restes de cousine comme elle dit, sapak !

Moi : Tu fera quoi donc ?

Véra : ce que j’ai déjà fait, la remettre à sa place. Dès que maman vient je me barre, je ne peux pas la supporter plus que ça, déjà que ce soir je vais dormir au salon, (criant) qu’elle reste bien enfermée dans la chambre là-bas !

Moi : hum

Véra : Bref, ça va toi ? L’écervelée là a failli me faire oublier (soupire), ça va ?

Moi : yup, un peu (rire), je ne sais pas trop comment ça sera

Véra : rhoooo ne te pose pas de questions chérie, tu le fais comme tu le sens, ok ?

Moi (souriant) : oui, de toute les façons il ne peux pas avoir pire que (rigolant)

Véra (éclatant de rire) : nonn !!! ça n’existe pas !

Moi : En tout cas tu me diras ok ? Mais calme toi honey, elle n’en vaut pas la peine. Faut juste mettre maman en garde sur ce qu’elle lui dit ou pas

Véra : compte sur moi pupuce, bisous, je t’aime

Moi : moi aussi mamaour, (rire) à demain

J’ai rangé mon téléphone dans mon sac, soulevé mes clé et hop j’étais dehors. Je passe la nuit chez Olivier (rire) depuis le temps qu’on sort ensemble c’est la toute première fois que je vais me permettre ça, dormir chez lui (pause). J’ai vraiment pris mon temps sur le chemin. Normalement c’est à 3à minutes en transport, mais, j’ai préféré marché une bonne partie du temps, question de me vider l’esprit (rire) , je ne sais pas comment aborder ça avec lui. Il y a tellement de scénario qui me passent par la tête.

Est-ce que je bondit sur lui dès que je me pointe chez lui ? (rire) est ce que je me couche sur son lit l’appelant à m’y rejoindre, est ce que (rire) je ne sais même pas comment ça marche tout ça. Véra a pris le soin de me donner la lingerie sexy (rire) sauf que ej ne sais pas trop si je veux les mettre ou pas. Pour notre première je veux rester dans le simple, et pas trop simple non plus (rire) bref je ne sais pas, et ça me stress.

***Olivier***

[sonnerie interphone]

Moi (au téléphone) : Non ce ne sera pas possible, je t’ai dit (soufflant) écoutes,  je n’ai plus rien à dire, ok ? On ne eut pas tout faire pour vous quand même. Bref tu vois ça avec maman(raccrochant) Merde (décrochant l’interphone) Oui ?

Ami : C’est moi

J’ai ouvert la porte du bas et celle de ma maison. Nous ne sommes qu’à notre troisième mois, je ne vois pas l’intérêt de lui donner ma clé maintenant. Déjà qu’on ne passe pas les nuits ensemble, donc, elle vient et sonne, et je fais pareil quand je vais chez elle

Moi (lui faisant un smcak) : ça va ?

Ami : oui et toi (me regardant) tu as l’air bizarre

Moi (soufflant) ce sont les gens du pays qui embêtent (m’asseyant) les même histoires tout le temps ?

Ami : vas-y racontes

Moi (sourire) : on dirait moi (rire) tu me copies ou quoi

Ami (posant son sac) : j’apprends vite c’est tout

Elle s’est posée sur mes cuisses en me caressant la tête (sourie) j’adore ça. J’ai posé ma main sur sa cuisse à elle, la lui caressant tout  en lui racontant mes histoires de famille (soupire), je n’en parle presque jamais, si ce n’est jamais. Elle fait partie des rare personnes avec qui j’ai envie d’en parler, et j’espère ne pas être déçu (pause).

Avant Amira, j’étais avec une fille, que j’ai aimé, vraiment aimé , malgré la distance qui nous séparait, malgré les obstacles, je me suis accroché à elle. Ornella était ma FEMME (pincement au cœur), ces choses que je ne dis à personne elle le savait. deux ans et demi de relation à distance (pause), pour elle je faisais au moins deux tours au pays par année. J’ai vraiment investie pour cette relation.

Nella c’est la petite sœur d’une ancienne amie à moi. On s’est retrouvé un jour par hasard sur facebook, à taper les divers du quartier (rire), parce qu’à l’époque on a vécu trois ou quatre ans dans le même quartier avant que mes parents ne déménagent. Avec sa sœur on a gardé le contact, j’étaies encore au lycée, mais une fois à l’université j’ai quitté le pays et je les ai perdu de vu. Donc discuter avec elle  c’était tout ça, cette époque de ma vie, où il n’y avait pas de problèmes (rire).

De la discussion sur sa sœur, nous en sommes arrivée à elle (pause), école de médecine au pays, beau parcours de vie et surtout très mateur dans ses réflexions. Nos fréquence de discussion ont augmenté, peu à peu ça devenait difficile de rester sans se parler.  Et il y a eu attachement, et là les sentiments avaient déjà commencé, pour six mois de discussions non-stop je peux vous dire que c’était intense.

Je suis retourné au pays, nous nous sommes vus, et avons officialisé notre relation. C’est-à-dire mettre sa sœur au courant, et moi de mon côté mes frères. Pour un début c’était ça. Les parents, nous étions d4accord ça se fera après. Mais une chose est sûre je la voulais et elle aussi me voulait, nous sommes de suite partie sur la base d’une relation sérieuse, et chacun a tenu. Mais la distance……

J’avais pensé trouvé une issu en proposant à Nella de venir ici fréquenter. Moi je travaillais déjà, ‘avais une situation et a ne me dérangeait pas le moins du monde de lui apporter mon soutien. Elle était en 4ième année à l’époque, et m’a dit qu’elle ne pouvait juste pas tout bâcler pour me rejoindre et tout recommencer à nouveau, et en plus vu l’investissement que ses parents ont fait sur elle, tout ça était juste impossible.

J’ai pris sur moi, et malgré ça, j’étais prêt à attendre, trois ans , oui je pouvais tenir. Pour elle je me rendais au moins deux fois au pays, la voir, même si c’était clair pour elle, pas de sexe avant le mariage, oui j’ai respecté, et je lui étais fidèle. Seulement la distance a eu raison de nous, la relation a commencé à battre de l’aile, et malgré mes efforts, NOS efforts, on a pas tenu. D’un commun accord (pause), non pour me protéger, j’ai décidé de quitter la relation. J’en souffrait aussi, mais pas autant qu’elle c’est sur. Pourquoi me suis dégonflé, je n’en sais rien, jusqu’à ce jour je ne saurai vous le dire.

Sa maturité, encore sa maturité, elle a pris sur elle, et a réalisé que ce serait pour notre bien à tous les deux. D’un côté moi qui la veut auprès de moi, et l’autre ses parents qui investissent pour la voir supporter la famille. Impossible de leur imposer une vie sans leur fille. Elle en avait conscience et j’ai respecté sa décision, seulement je ne pouvais pas être entre sa famille et elle, et je me suis retiré. Je crois que c’est la seule explication valable que je peux donner à cette rupture (pincement au cœur)

Aujourd’hui nous sommes amis, (sourire) e c’est mieux comme ça. Après elle ma mère a voulu me mettre avec la fille de son amie (rire). Très vite rien n’a marché, et voilà, je n’ai pas forcé, ni voulu m’investir d’ailleurs.

Pour revenir aux problèmes, j’étais en ligne avec mon petit frère, Arthur. (soufflant) Tu dis à un enfant fait ça, il fait ce qui lui plait. Tout ça pour te dire qu’il faut l’argent. Ok c’est bon, ai-je un argentier chez moi ? Non. C’est toi qui fais le têtu, et c’est encore toi qui qui veut qu’on finance ta têtutesse ? à côté de tout ça, il y les problème que j’ai avec la banque (soufflant) je ne comprends plus.

Tu prends un crédit immobilier, tu fais toute la paperasse qui va avec mais ces conseillers sont incapables de faire une transaction en une fois ? Un clic ? pfff. On s’est mis d’accord, dès que  l’appel de fond est lancé, vous répondez avec un virement de 89 mille euro. Mais non vous êtes allé faire un virement de 79 mille. Et voilà que le notaire rapplique me disant qu’il fat les 10 mille euro avant mardi (soufflant). Ce n’est pas un problème d’argent, l’argent est sur le compte, mais bon sang faites votre travail  (prenant mon Pc)

Moi : En gros c’est ça ce qui me vexe depuis. J’étais avec le conseillé ce matin

Ami (se mettant sur le côté) : ça va aller (toujours en me caressant la tête) Ce n’est pas la peine de te mettre en colère tu sais ? Espérant qu’il fasse le virement à temps.

Moi : oui je l’espère aussi. (soufflant) Excuse moi de te raconter tout ça

Ami (tournant les yeux) : il ya de ça entre nous depuis ? Tchrrrr

Moi (souriant) : ahahah

Ami : quand tu me parle de ton frère ça m’amuse (sourire) tu vois ma cousine, la blédarde qui a débarqué chez nous

Moi (rigolant) : oui (appuyant sur les mots) TA cousine qui vient du pays

Ami : Tchrrr, la blédarde ! elle s’amuse à colporter des choses sur nous à des gens je ne sais où. Véra l’a surprise au téléphone

Moi : wow

Ami (mouvement de la main) : Paf !!!! la gifle (éclatant de rire) J’aime trop ma petite sœur, aiee,

Moi : ah ça. Et votre mère ?

Ami : chez son copain. Je n pense pas que Véra lui dira (rire) elle va déjà bien me traiter cet enfant. Une petite insolente, dépuis son plus bas âge

Moi : Elle est l’égal de qui

Ami : Personne ! Ma petite sœur, la petite sœur de Véra. Elle a 21 ans je crois Véra en a 22. Mais c’est elle qui fait son intéressante. En tout cas  je suis contente Véra est sur le coup

Moi : ah ben dit donc, elle ne rigole pas ta sœur

Ami (l’air menaçant) : Ce sera pareil pour toi si tu me fais pleurer

Moi (posant mon pc) : toi-même tu sais (tenant son visage) Je ne suis pas du genre

Je lui ai fait un smack, et me suis levé

Ami (m’attrapant le bras) : tu vas où ?

Moi : à la cuisine

Ami (bizarre) : pour ?

Moi : bah…. (fronçant les sourcils) Qu’est-ce que tu fais ?

Je n’ai pas eu le temps de réaliser qu’elle m’avait fait assoir sur le fauteuil et elle sur moi. Elle a délibérément posé mes mais sur ses hanches, tout en déboutonnant son chemisier.

Moi (perdu) : bébé ?

Ami (posant son index sur ma bouche) : shut !!!

Elle m’a embrassé, et je n’ai fait que y répondre. Venant d’elle je ne m’y attendais pas du tout. Langoureux et très sensuels baisers, accompagner des vas et viens sur mois, et mes mains de découvrir ses courbes (perturbé) elle est vraiment mystérieuse cette fille, et j’aime son mystère. Avant aujourd’hui on avait jamais parlé de surjet coquins, je veux dire, rein ne me montrait qu’elle avait cette idée derrière la tête

Moi (respirant fortement) : Je n’ai pas de préservatifs

Ami (imperturbable) : t’inquiète j’ai tout prévu

Elle a continué l’exploration de son corps avec sa bouche. Tout mon être était épris d’elle, en un instant j’ai cru rêvé(rire) tellement de délicatesse dans ses gestes.  Je lui ai donné deux fessées question de me rassuré de n’être pas en train de rêvé (rire)

Ami (sourire) : aie ! Coquin hein (me tapant à son tour) tu aimes ça hein !

Tout était parfait jusqu’au moment où j’ai pris le dessus, là j’ai revu la Mira que je connais, la timide et apeuré.

Moi : tu es vierge ?

Ami : pas vraiment

Moi (forçant les sourcils) :

Ami : Je ne l’ai fait qu’une fois, il y a 6 ans

Moi : si tu n’es pas prête on peut s’arrêter

Elle a ramené mon bassin vers son entre jambes, toujours en m’embrassant

Ami(dans le creux de mon oreille) : ne me refroidi pas

J’ai souri et me suis donné à la tâche. On a commencé au salon, puis avons rejoint la chambre (rire). J’étais claqué, et elle aussi. J’ai eu juste le temps de fermé les yeux, et me suis levé pour prendre un verre d’eau. Elle est allée prendre sa douche, j’ai fait pareil  en le rejoignant sur le lit. Et c’est enlacé que nous avons ouverts les yeux le matin.

Les semaines qui on suivies étaient plus relaxes. Je découvrais chaque jour une personne différente, un coté d’elle que je ne connaissais pas. Outre son côté un peu fragile, elle est d’une grande  ténacité et force mentale. Il faut juste un peu la stimuler, pour qu’elle parvienne elle-même à voir cette force qui sommeille en elle (rire)

J’ai rencontré sa mère, et la fameuse cousine (rire). Et je peux comprendre quelle exaspère autant Véra. Même son bonjour est percutant. Elle semblerait -il s’est calmé, mais ce que j’ai vu (rire), bref.

Moi : J’ai confirmé mes billets, juste pour deux semaines

Ami (à la cuisine) : ok, super. Si mes congés sont validés j’y serai aussi

Moi : ouais ce serait cool, ce serait même l’occasion de voir mes frères (rire)

Ami : humm !!! C’est déjà l’introduction à la famille ?

Moi : J’ai bien vu ta mère nor ?

Ami (sourire) : Bref, on en vas pas revenir sur ce débat

Moi : oui oui vaut mieux pas. Nous les noirs on ne présentent que quand c’est sérieux c’est ça ?

Ami (rire) : Moi aussi je suis noire !

Moi (rigolant) : c’est ça oui. Tu est une perdue. Ni noire, ni blanche (éclatant de rire)

Ami : C’est ça ! je suis noire de cœur (rire)

On passe désormais la plupart de notre temps ensemble, à rigoler, et se faire des petits problèmes. La nouvelle Amira est très taquine, et vraiment agréable à vivre, loin de la fille dure, sèche que j’ai connu un an en arrière. Mes amis elle les connais, ceux d’ici et aussi ceux du pays.  

Parlant même de mes ami, Eric se marie , c’est d’ailleurs pour ça que je rentre au pays en Aout prochain. à côté je refaire ma CNI, espérant avoir au moins le récépissé avant de rentrer. Maman n’a quad faire marcher ses relations.

***Véra***

Un an déjà que je suis avec Quentin, je n’y avais pas cru (rire), et dire que je me suis engagée sur un coup de tête, aujourd’hui je n’imagine pas ma vie sans lui. On a officiellement aménagé ensemble il ya trois mois. Maman n’était pas très d’accord, soir disant, qu’il faut qu’on soit marié et tout, mais moi je ne suis pas trop dans les nuages. On vis ensemble on s’aime c’est le plus important, le mariage c’est sur papier, en plus je ne vois pas l’intérêt. On est bien comme ça. Le jours où on voudra des enfants on pensera à les sécuriser dans un couple légal, en faisant ce qu’il faut, mariage par exemple, mais pour le moment nous vivons juste notre vis.  

Maman me dis être trop blanche dans la tête (rire), tout ça parce que j’aime mon indépendance, et que mariage et consort ne soient pas mon fort. (levant les épaule), il en fallait bien une , et cette une c’est moi. Elle a sa Noire Amira et sa Blanche Véra (rire).

Moi : Toi-même qui parle là, quand est ce que Michel vient nous voir pour demander ta main

Maman (me fixant) : qui est la mère entre nous deux ?

Moi : tu aimes intimider hein

Maman (à Ingrid) : il faut apprendre à tes sœurs le respect hein

Celle là n’a même pas eu le courage de me regarder. Depuis sa mise à sa place, elle sait se tenir quand je suis dans les parages étant donné que je ne traine plus trop à la maison. Je sais aussi qu’elle av déjà fait le racontage come quoi je suis avec un baptou et Ami un Renoi. Tant qu’elle le fait loin de moi, ça me va. Mais malheur à elle si la boucle se boucle et j’apprends tout ce qu’elle dit sur moi, c’est ce jour que je vais lui refaire le portrait pour devrai, la renvoyant chez ses parents par la même occasion.

[téléphone qui sonne]

C’est celui de maman elle a décroché

Maman : Oui Ami…. Hum hum. Ah ok. Super! Tu iras avec mes mesures…. D’accord attend (manipulant son téléphone) Aie…. Je suis du soir le jour-là. Tu peux venir ici avant de t’y rendre ? … Je comprends. Bon Je vais demander à Michel et je te dis. Clic

Moi : Elle a eu ses congés ?

Maman : et son billet avec (rire) pressée pressée de partir, il y a seulement quoi au Cameroun

Moi : Laisse Mater, la force du gars ! tu voilà qui part chez les CH’TIS nor ?

Maman : de me laisser pardon !

Moi (rigolant) : C’est ça même

Je suis allée dans la chambre avant d’appeler Ami, connaissant les antennes de l’autre je fais désormais attention à ce que je dis. Et maman aussi et mise en garde, tant que quelque chose nous concerne, elle n’en parle que vaguement, pas de précision. Je ne suis pas allée plus en profondeur pour ne pas attirée son attention sur la froideur entre sa nièce et nous. Du moment où chacune vie sa vie ça va.

Moi (au téléphone) : Alors ? Comme ça tu pars ?

Ami (heureuse) : je te dis, je dois même réservé mon hôtel

Moi : Tu ne vas pas chez Tata MI ?

Ami : pour que toute ma vie soit dehors ? Je vais y passer vite fais, si non, je serais à l’hôtel, en plus on a prévu voyager avec Olivier

Moi : Super ! Mieux de vous

Ami : Mieux. Les gens biens c’est vous qui allez au brésil

Moi (rire) : à chacune ses vacances sœurette

Ami : En tout cas ! raccroche stp, maman m’appelle

Moi : Aka ,elle va te parler de mon téléphone (criant) Maman c’est moi qui occupe la ligne

Maman : dépêche toi pardon.

Moi (allant au salon) : oki, je te prends après (donnant à maman) prends

Elle se sont mises d’accord. Vu que Maman est du soir le jour où Ami part, c’est Michel qui ira la déposé à l’aéroport. Elle va faire NANTES-Paris- Yaoundé. Sans s’arrêter à la maison. C’est juste pour trois semaines (rire), elle vera maman après. Quentin et moi, on s’envole pour le bresil après son retour (rire), eh oui !

***Ingrid***

J’ai de suite texté Nessa, l’autre rentre pour les vacances (rire), le scoop de ça, avec son gars en plus parait-il, humm.

Moi (par message) : Il faut qu’on parle !


L'histoire que vous lisez

Statistiques du chapitre

Ces histoires vous intéresseront

Amour comme Humour