Chapitre 8

Write by Nessa.Belmonde

Chapitre 8 


** Naïrobi Masiya ** 


Deux semaines plus tard 


Je cherche ce Bradley , j’ai oublié un de mes sacs à l’arrière de sa voiture , il ne manquait plus que sa , cela va lui donner une opportunité de me parler or que je ne veut aucune communication avec lui . Maintenant que je le cherche ou est-il ? Lui qui apparaît toujours quand on ne veut pas de lui. 


Comme de par hasard aujourd’hui en sortant de mon travail je vit sa voiture devant , il est sorti de sa voiture, je reste à ma place à attendre qu’il vienne à moi. 


Bradley : Bonsoir Naïrobi 


Moi : Tu as ce dont j’ai besoins ?


Il m’a regardé quelques instant avant de légèrement soufflé 


Bradley : Oui 


Il est retourné a sa voiture pour récupérer le sac qui se trouvait toujours a l’arrière de sa voiture avant de me la ramener et me la rendre, je l’ai pris, j’ai voulu partir quand t-il attrapas mon poignet 


Bradley : Un merci ?! 


Moi : Merci ! 


Bradley : Naïrobi écoute .. 


Moi : Que j’écoute quoi Bradley ?! Dis-je en retirant mon poignet qui été encore sous l’emprise de sa main . Je ne te permet pas de me toucher comme bon cela te semble sous je ne sais quel prétexte ! Je ne t’autorise pas à me toucher ! Que sa soit la dernière fois de toute ton existence que tu puisse refaire ce que tu vient de faire ! 


Bradley : Excuse moi dans ce cas .. 


Moi : Que je t’excuse ?! C’est après avoir commis ce que tu as fait que tu me demande des excuse ? C’est après m’avoir toucher sans mon constamment que tu me demande des excuse ?! Après que l’acte soit passé ? Tu .. tu te rend compte de ce que tu est entrain de me dire ? 


Bradley : Naïrobi je t’ai demander de m’excuser 


Moi : C’est trop tard !! Tu la déjà fait !! Dis je en haussant le ton 


Bradley : Naïrobi tu dois aller voir spécialiste 


Moi : Tu m’insulte de folle ? 


Bradley : Au contraire je me fait du soucis pour toi 


Moi : Va te faire voir ! Dis-je avant de me dépêche de partir et prendre le premier taxi 


Ses histoires de taxi aussi j’en ai marre vivement une voiture ! 

Dans la taxi j’avais juste envie d’éclaté en sanglots, je voulais pleuré, c’est horrible j’ai l’impression de ne jamais guérir , seigneur aide moi je te prie je n’en peu plus , je n’en peu vraiment plus . 


Le taxi me déposa deux pâtés de maison de la mienne, pour je ne sais quel raison il me dit qu’il était pressé , idiot ! Je marchait quand t-il est apparu devant moi 


… : S’il te plaît 


Je me dépêcha de marcher vite 


… : Je t’en supplie prend le temps de m’écouter . Dit-il en marchant à la meme allure que moi


Moi : LAISSE MOI TRANQUILLE !!! Criai-je en arrivant devant chez moi 


… : Je ne veut pas te faire du mal , je .. 


Moi : J’AI DIS LAISSE MOI TRANQUILLE !!! Criait je en le tapant de toute mes force avec mon sac à main 


Je le tapait avec mon sac en criant de me laisser tranquille , je le tapait encore et encore , en déversant toute ma colère sur lui, mes parents et mon frère sont sorti de la maison en furie en demandant qu’est ce qu’il se passait pendant que moi j’étais entrain de déversé ma haine sur l’homme qui avait détruit ma vie , quand mon frère et mon père comprennent ils se sont mit à lui roue de coup , il saignait comme un porc, je me suis légèrement poussé pour regarder la scène 


Maman : Laisse le !! Laisse le !! Sa ne sert à rien il est déjà souffrant 


Ma mère se mit à les séparer 


Papa : Tu va mourir aujourd’hui ! 


Maman : Arrête tu va te faire arrêté laisse le !!


Ma mère a essayer tant bien que mal de les séparer, elle se fut aider par les gens qui étaient autour de nous , ils prirent l’homme et l’ont amener je ne sais où , tant que nous , nous sommes rentré de force par maman. 


Maman : Bo ko kende prison ! ( Vous allez partir en prison )


Papa : Et alors ? Pourquoi as tu séparé ?!


Maman : Tu pense que j’allais vous laisser tuer une personne juste sous mes yeux ? 


Papa : Et ce qu’il as fait à ma fille ? Qu’on le laisse comme sa ?!


Maman : Il y a une JUSTICE ! Peu importe qu’elle est il y’a une justice céleste et physique ! 


Papa : Je fait la justice seul pour MES ENFANTS ! 


Maman : Il est déjà malade comme ! Tu allait le tuer ! 


Abraham : Maman comment tu sais qu’il est malade 


Maman : .. 


Papa : Parle non !! Tu le connaît ?! Tu savait qui c’était depuis le début ?! Dit-il en commençant à serré ses points


Moi : Papa , maman n’y est pour rien .. c’est moi qui lui ai demander de garder le secret. Il me suivait pendant un moment et je ne savais pas que c’était lui .. et .. il y a quelques temps il est venu ici pour me demander pardon en me disant qu’il était atteint d’un cancer 


Papa : Pourquoi tu nous as rien dit Naïrobi 


Moi : Parce que ! Parce que je ne sais pas ! Parce que je suis fatigué de tout ce ci ! Et je ne savais pas quoi faire 


Abraham : Et qu’est-ce que tu veut faire ? 


Moi : J’ai besoins de voir un spy sinon mon fils risque de ce retrouver orphelin. Dis-je avant de monté dans ma chambre 


Je sais que sa question n’était pas porter sur sa mais je me suis rendu compte à cet instant que j’avais besoins d’aide et que vouloir la mort ou bien même que cet homme souffre ne me rapporte rien , je l’ai tapé aussi , de toute mes force mais cela n’a pas apaiser ce que j’avais dans le cœur bien au contraire et si je continue ainsi mon fils risque de me perdre et je ne veut pas de sa , je l’aime de toute mes force et je dois me battre pour lui . 


J’ai besoins d’air, j’ai donc décider de partir en week-end avec mon fils à Brazzaville , juste lui et moi , un week-end frais. 


Le week-end se passa bien , mon fils grandi à une allure incroyable et il est tellement intelligent, il est incroyable je n’arrive toujours pas à croire que j’ai mit au monde une personne aussi incroyable que mon fils , j’en ai les larmes aux yeux quelques fois. 


A mon retour de mon week-end je trouva y’a Maï assis dehors avec maman , d’après les dire de Sifa papa la laisser revenir car elle souffrait trop chez Hans et elle est tomber malade mais elle ne pouvait pas payer les frais médicaux, sa grossesse avait bien avancé, son ventre rond tout rebondi et pour dire vrais la grossesse la rendait belle . Y’a Maï est une très belle femme , elle est élancée avec de joli courbe , elle as le teint de ma mère , claire de peau avec de très long cheveux naturel qui lui arrive en bas du dos , de jolie yeux en forme amande et des lèvres rose , je me souvient avant il y avais des filles qui avait fait courir une rumeur que y’a Maï était une sirène , quand tu est trop belle et que les autres personnes ne supporte pas ta beauté et te jalouse, elle n’a jamais eu de grande copine sauf Mireille parce que toute les filles la détestait sans aucune raison. 


** Bradley Mouawad ** 


Un mois après plus tard 


Mon hôtel est enfin prêt pour son ouverture ! J’ai passé presque deux ans sur ce projet car je voulais que cela soit parfait ! La maquette , la vision de mon hôtel je voulais qu’elle soit parfaite ! Je suis un perfectionniste de nature. 


L’inauguration sera dans quelques jours, j’ai laisser mon staff s’occuper de sa car je ne pense pas avoir le temps de le faire. 


Aujourd’hui ma mère m’a invité à dîner chez elle , elle as dit qu’elle as une surprise pour moi. 

En arrivant elle était déjà installée a table mais avec une invité. 


Moi : Bonsoir , bonsoir 


Maman : Bonsoir mon fils comment cava ?! 


Moi : Moi cava et toi ?! 


Maman : Cava . Regarde il y a qui ?! Disait-elle remplis d’enthousiasme 


Je ne sais vraiment pas c’est qui cette fille donc je reste un peu perplexe 


.. : Salut Bradley , a voir ta tête tu ne te souvient plus de moi . Dit-elle en se levant 


Moi : A vrais dire oui 


Maman : Mais orh c’est Rita ! Rita , la fille de ma copine Micheline 


Je ne sais toujours pas c’est qui 


Rita : J’étais un peu garçon manqué, on jouait au foot ensemble 


Moi : Ah oui ! Dis-je en me souvenant d’elle . Mais tu as vraiment changer . Dis-je en lui faisant une accolade 


Rita : Oui maintenant je porte des robes . Disait-elle en ironisant 


Moi : Comment cava , ça fait un bail où était tu passé ?!


Rita : J’étais parti vivre en France 


Moi : Ah d’accord et tu est de retour parmi nous ?! 


Rita : A vrais dire je ne sais pas encore 


Maman : Allez on s’installe 


Nous nous sommes installé à table pour dîner nous discutions de tout et de rien dans la bonne humeur. A la fin de la soirée j’ai proposé à Rita de la déposer chez elle , il se fait tard et c’est pas très prudent pour une femme de conduire la nuire seul , le chauffeur de maman lui déposera sa voiture demain matin, elle as accepté. 

En chemin nous discutions de sa vie en Europe, elle songe revenir vivre ici et ouvrir un business me dit-elle mais elle y réfléchit encore . Je la déposa chez elle avant de rentré chez moi me coucher . 


Le jour de l’inauguration j’ai invité la famille de Naïrobi, je m’entend super bien avec eux , il y a peu j’ai eu à rencontrer son père et son grand frère, nous nous sommes super entendu, Sifa je la prend comme la petite sœur que je n’ai jamais eu et je tenais qu’elle soit là. 

Ma mère m’a dit pendant la soirée qu’elle avait invité Rita et ses parents. 


Je suis tellement fier de mon travail, quand je vois cette immeuble de seize étage, à mon image le travail acharner pendant plusieurs mois je suis fier de moi. 


J’ai fait envoyer des fleurs à Naïrobi aujourd’hui, je ne l’ai pas invité parce que je savais qu’elle ne viendra pas mais en pensant à elle ce matin je lui ai envoyé un bouquet de rose. 


Tout la soirée c’est bien déroulé , j’ai reçu des félicitations de partout après cela avec Aaron et d’autres amies nous parti passer le reste de notre soirée en boîte, Aaron me força à rentré avec quelqu’un mais je n’étais vraiment pas d’humeur je suis rentré seul. 


Naïrobi m’intrigue , j’ai l’impression qu’elle vie un mal être et que personne ne voit se cela , derrière ses air froid et repoussant il se cache quelque chose , je pense que la tragédie qu’elle as vécu du à son viol la rendu celle qu’elle est aujourd’hui. 

Je tourna dans la mon lit . Je ne comprend vraiment pas pourquoi je l’ai tellement dans la tête , avec une autre je serais parti dès le premier jour, je n’ai pas le temps d’être avec une personne qui me prend la tete voilà pourquoi toute mes relations de couple n’ont jamais duré car dès qu’elles commençait à se sentir trop à l’aise à me reprocher quelque chose je les quittait , Naïrobi qui me crie dessus ,tape sur moi, je ne suis même pas en couple avec elle et je veut encore la revoir , suis-je entrain de vivre mon karma ? Tout le mal que j’ai fait aux filles je c’est Naïrobi qui me le fait payé ? 

J’ai enfin réussi à trouver le sommeil . 


Pendant deux semaines je lui envoyait des fleurs de tout les matins chez elle avec du chocolat, Sifa me dit qu’elle les voit mais ne les calcule pas. 

Son père m’a invité à dîner chez eux se soir j’ai accepté l’invitation et j’ai répondu présent en lui apportant un bouquet de fleures. 

A mon arrivée elle n’était pas là, j’étais assis sur l’avant terrasse avec Sifa et son père , sa maman était dans la cuisine avec leurs grande sœur , jusqu’à aujourd’hui je ne savais pas qu’elle avait une grande sœur. 


Nous discutions égaiement tout les trois quand Naïrobi rentra avec son fils dans les bras. Quand elle me vit elle serra son visage lança un bonsoir sans regarder vers moi . 


Papy : Cava ma fille ?! 


Naïrobi : Oui 


Papy : Mon petit fils dors !?


Naïrobi : Oui .. Sifa tu peut le mettre sur son lit s’il te plaît 


Sifa se leva et prie l’enfant avant de rentré dans la maison , Naïrobi allait faire de même quand son père l’arrêta.


Papy : Tu as vu Bradley ta ramène des fleurs . Dit-il en lui tendant le bouquet 


Elle prie le bouquet avant de le jeté de l’autre côté de la cours, tchipé puis rentré dans la maison, elle laissa son père bouche bée tandis que moi je m’attendais à ce genre de réaction. 


Papy : Je suis désolée , peut tu excuser ma fille s’il te plaît 


Moi : Ce n’est rien 


Papy : Excuse la .. je suis sincèrement désolé 


Moi : Cava aller ce n’est rien 

Les pages de la vie...