Comme un mauvais rêve

Write by Nadiaa

Chap 19 


 

-          Oui ils ont volé mon enfant, je veux que vous m’aidiez à trouver mon bébé s’il vous plait, je vous en supplie. J’ai éclaté en sanglot 


-          Mon enfant mon enfant je veux voir mon bébé, remettez le moi docteur Arnaud s’il vous plaît.


Un policier m’a dit de faire très attention à ce que j’avançais, ils ont demandé si je peux les suivre au commissariat le docteur a dit qu’il fallait que je reste encore sur surveillance 24h au moins.


Surveillance sans mon enfant ? Personne ne me croyait même pas mon frère il était plutôt en colère contre moi.


-          Avec tout ce que cette fille a fait pour toi tu oses la remercier comme ça ? en l’accusant de quelque chose qu’elle n’a pas fait et que tu connais très bien la vérité ? dis-t-il 


Pour lui je savais où j’ai  mis mon enfant, ce qu’il ignorait c’est que même sans preuve j’avais le droit de douter de sa femme, une chose est très sure c’est qu’elle le trompait avec son sois disant oncle mais l’idiot ne savait pas il a  préféré croire en elle plutôt qu’en  moi sa propre sœur. Donc il me croyait capable de vendre mon propre enfant ? J’ai tellement pleuré ma voix ne sortait même plus les  policiers après m’avoir posé un tas de questions ils ont dit qu’ils allaient repasser, mais tout portait à croire qu’ils ne me croyaient pas, déjà que même mon propre frère était contre moi.


J’avais laissé un message à laure la veille pour lui dire que j’ai accouché, elle m’a trouvé dans ma chambre le matin, mais il ignorait ce qui s’est passé dans la nuit. Elle m’a trouvé toute pale elle m’avait ramené un tas de choses pour le bb et moi  jusqu’au petit déjeuner, j’étais dans un sale état, je faisais une  crise de nerf on lui a raconté des choses à l’accueil, quand je me suis calmé   je lui ai raconté tout ce qui se passait elle n’en croyait pas à ses oreilles. Elle m’a dit qu’ils croient tous que vu les difficultés auxquelles  je fais fasse j’ai donné mon bb a quelqu’un et je veux leur faire porter le chapeau pour me laver les mains.  Je pouvais devenir folle quand j’ai appris ça. Je lui ai raconté tout ce qui se passait dans ma vie je lui ai dit pourquoi je les suspectais et après tout cela elle était convaincu qu’ils ont quelque chose à voir avec cette histoire.


-          Natacha le pire c’est qu’ils ont appelés la police et ils t’accusent toi en plus ton frère ne t’aide pas trop parce que les réponses qu’il a donné à la police t’enfoncent plutôt, tu dis avoir vu une autre infirmière et lui il dit que c’est la Sita là qu’il a vu à son arrivée à la clinique


-          Mais non Sita est venu plus tard je te le jure 


-          Pas la peine miss je te crois mais le problème c’est que c’est ta parole contre celle de toutes ces personnes-là.


-          Le pire c’est que je ne pourrai même pas t’aider j’ai dit à mon mari hier que je veux divorcer il m’a bloqué tous mes comptes, il dit qu’il ne m’accordera jamais le divorce. Je ne veux pas que tu souffres comme moi j’ai souffert de la perte de mon enfant appelle un peu le père au cas où c’est lui qui l’aurait pris comme ils disent tous.


-          Ils mentent tous laure le père son numéro que j’ai ne passe plus et lui n’as aucune nouvelle de nous il ne sait même pas que cet enfant est de lui.


-          J’ai causé au téléphone avec Sandra et elle a promis de faire venir un avocat ici elle est malade c’est pourquoi elle ne peut pas être là. 


-          Ah ok tu parles de ta sœur ?


-          Oui 


Je suis resté dans cette clinique deux jours encore les policiers m’ont tellement menacés mais je disais la même chose, mon avocat a un moment faisait comme s’il voulait plutôt m’éviter la prison, un peu comme si c’était moi qui était en tort.


Je suis sorti laure est venu me prendre pour me déposer  chez nous, je ne voyais plus christian, il ne répondait plus à mes appels depuis que j’ai dit que sa copine pouvait être complice de cet enlèvement.


-          Laure me voici qui rentre chez moi sans mon bébé où est mon bébé ? elle essayait de me calmer mais c’était peine perdu je n’arrêtais pas de pleurer. comment je vais pouvoir vivre sans lui ? C’est lui qui était mon espoir j’avais encore qu’elle raison de vivre ? Laure m’encourageait beaucoup elle me disait de rester très forte car rien n’était encore perdu. 


L’avocat ne m’était pas vraiment d’une grande utilité et puis c’est le mari de Sandra qui le payait il semblait ne même pas me croire, peut-être qu’après ce que je lui ai raconté il a vu que c’était des puissants fasse à moi qui n’était rien il ne voulait pas se risquer surtout qu’avec moi il n’avait pas beaucoup à gagner. J’avais décidé de monter mes propres recherches sur ce que je connaissais j’avais quelques pistes j’allais retrouver mon enfant même si je devais laisser ma vie. Ils ont profité du fait que je sois sans défense pour me prendre mon bb je priais qu’on ne lui fasse aucun mal. Tous ces jours à la clinique j’en voulais a notre seigneur j’avais même décidé de ne plus jamais prié a son nom je ne mangeai presque plus ma sœur m’appelait pour me remonter le moral de temps en temps, je ne voulais pas inquiéter ma mère la pauvre souffrait déjà énormément en plus de son problème de santé.


Je devais  rentrer chez moi avec toute la tristesse, j’avais des blessures de mon accouchement mais où était le résultat ? Mes seins avaient gonflés ça me  faisait horriblement mal à qui j’allais donner le lait ?  Et la police qui ne faisait que me rappeler de ne pas quitter la ville, comme si c’est moi qu’il fallait surveiller.


Laure me soutenait comme une sœur je me sentais tellement seule sans défense sans personne sur qui véritablement compter. J’avais essayé d’appeler Fabrice le pauvre était injoignable j’espérai qu’il aille bien dans cet endroit où personne de nous n’était là pour le soutenir.


Laure est venue me prendre le jour que je quittais l’hôpital, en sortant on nous a interpellés 


-          Vous allez où ? sans régler la facture ? passez à la caisse avant de partir


Humm j’avais oublié ce détail mais Sita était tellement heureuse de me le rappeler 


-          Ça fait combien ? lui demande je à la caisse 


-          75 mil qui restent à régler 


Laure s’est précipitée et elle a payée


-          Laure je te rembourse à la maison, merci 


-          C’est rien Natacha, tu n’es pas obligé de me rembourser sache le


Nous sommes parti jusqu’à la maison,  arrivés en route elle a garée pour qu’on descende  a pieds jusqu’à la maison, sa voiture étant basse on a préféré garer plus haut. Je descendais avec la honte je m’en foutais de ce que diront les gens mais je ressentais un énorme vide en moi où était le père pour me soutenir dans cette situation? J’étais tellement fatigué je n’avais pas pu dormir depuis que c’était arrivé je voulais me reposer en prenant des calmement et discuter un peu avec Christian. 


Une fois devant la maison je trouve sur la porte une plaque avec écrit dessus 


<<Maison à louer>>


-          Non non je rêve peut-être, comment ça se fait ?? 


 Je ne comprenais pas grand-chose où étaient passé toutes mes choses ? Christian avait donc décidé de rendre les clés aux bailleurs sans même me prévenir ? Je l’ai appelé de nombreuses fois il n’a pas pris j’ai appelé Jennifer elle ne prenait pas également.


Je suis restée là debout devant la maison avec mes affaires en main ne sachant pas ce que j’allais faire. Je ne pouvais pas aller dormir chez laure, j’ai appelé Sandra elle m’a dit que son mari est là et que sa belle-mère et ses belles sœurs sont chez elle depuis quelques jours, je ne pouvais pas me rajouter a tout ce beau monde chez elle. Laure m’a proposé de passer la nuit dans un hôtel en réfléchissant à comment j’allais faire. Elle m’a remis 20 mil encore, moi qui n’aimait pas prendre son argent en sachant qu’il venait de son mari trafiquant là est ce que j’avais alors le choix ?


-          Merci laure 


Si je n’avais pas rencontré cette fille qui serait en train de m’épauler dans ces moments ci ? Ma sœur malade ma mère au village et mon frère qui me bourde pour protéger sa copine.


Me voici à la rue ayant tout perdu, mon enfant qui était mon seul espoir je ne sais pas où on l’a mis mais Jennifer va me remettre mon enfant. J’avais décidé de ne même plus pleurer j’allais élaborer une stratégie peu importe ce que ça va me couter je retrouverai mon fils.


Pendant qu’on montait pour qu’elle me laisse dans un hôtel comme on avait finalement décidé, j’ai vu notre voisine qui entrait chez elle, même si on ne se parlait pas beaucoup  on se saluait quand même


-          Bonjour voisine


-          Bonjour 


-          S’il vous plaît vous savez pourquoi il y’a une plaque ici ?


-          Ekiéé c’est vous qui avez déménagé non ? comment vous me demandez-vous n’étiez pas là? _ elle s’est même fâchée elle est partie, peut-être qu’elle croyait que je la dérangeais même.


 Laure m’a laissé à l’hôtel, du plateau à UCB, c’était très propre et les prix des chambres étaient très abordables, j’ai pris une chambre là-bas j’y ai  passé la nuit, malgré le confort je n’ai pas pu dormir, j’ai passé la nuit  à réfléchir sur mon cas je ne trouvais pas de solution même le travail je n’avais plus la façon qu’on m’a traité à la clinique quand je sortais de là même la gentille femme qui m’avait montré le travail me regardait avec un air méfiant.


Très tôt le matin la police m’a convoqué au commissariat à nouveau je suis arrivée et il y a un nouveau enquêteur qui avait l’ai beaucoup plus gentil, c’est lui qui avait pris l’affaire en charge.


-          Bonjour mademoiselle, c’est moi qui suis chargé de votre affaire maintenant 


-          Bonjour Mr 


-          Pourquoi on a porté plainte contre vous ?


-          C’est moi qui veut porter plainte chef, ils ont volés mon enfant je vous le jure, tout a été planifié.


-          Sur quoi fondez-vous vos propos ?


Je lui ai raconté tout ce qui me semblait suspect, tout ce que j’avais jusqu’ici trouver de bizarre, le fait qu’on m’injecte des substances  sans mon autorisation, les femmes enceintes que j’avais vu chez Jennifer la copine de mon frère, sa relation avec son faux oncle, tout ce qui me revenait de suspect je balançais.


-          C’est très compliqué ce que vous me dites là, vous n’avez de ce que je retiens aucune preuve qui justifie vos dits ?


-          Non malheureusement je n’en ai pas chef.


-          Je m’appelle  kevin et non chef


-          D’accord 


-          Est-ce que vous avez l’adresse de là où vous avez vu ces jeunes filles enceintes ? chez votre belle-sœur ?


-          Oui je sais où c’est 


-          D’accord je vais prévenir deux collègues on va faire  un tour là-bas juste pour voir 


-          Ok 


J’ai attendu dehors, quelques minutes après ils m’ont rejoint, nous sommes allé jusqu’à la maison de jennifer.


-          Vous êtes sûr que c’est ici ? 


-          Oui chef _ il m’a lancé un regard, comme pour me rappeler qu’il ne s’appelle pas chef 


On a sonné, un Mr est venu ouvrir 


-          Bonjour Mr, lieutenant onana kevin _ il lui a montré son badge 


-          Bonjour messieurs que puis-je faire pour vous ? 


-          Nous sommes là dans le cadre  d’une enquête, nous pouvons entrer ?


-          Il s’agit de quoi ? dites le moi d’abord


-          Monsieur cette fille que vous voyez a dit avoir remarqué dans cette maison il y a quelques jours de nombreuses femmes enceintes sans abris, ce qui laisserait croire, on n’est pas sur je préfère le préciser ca laisserai penser à une éventuelle possibilité de trafic d’enfants, ça on n’est pas sur c’est justement pour ça que nous sommes là pour vérifier de nous-même.


-          Des femmes enceintes dans cette maison ?? non il n’y en a pas eu du tous ces derniers jours, c’est mon appartement et vous pouvez entrer fouiller.


Mince, comment le père là peut mentir comme ça ? C’est bien dans cette maison que j’avais vu toutes ces femmes. Nous sommes entré après avoir inspecté les lieux, ils sont ressorti et effectivement aucune trace de femme enceinte, ni de jennifer, bizarre pourtant je suis plus que sur que c’est là qu’elle m’avait invité le premier jour que je suis allée chez elle, et c’est toujours ici que j’ai vu ces filles enceintes. Un des policiers nous a laissé, il est parti


-          Mr je suis désolé de vous avoir embêté pour rien 


-          Ce n’est rien chef


-          J’ai une autre question s’il vous plaît 


-          Connaissez-vous tout de même cette jennifer ? 


-          Non 


-          Est-ce que vous venez d’entrer dans cette maison ?


-          Non j’y vis depuis des années, je m’absente souvent mais c’est moi qui vit toujours dans cette maison depuis des années.


-          D’accord, on va arrêter de vous embêter désolé encore 


-          Ce n’est pas grave, bonne suite dans vos recherches.


-          Merci 


J’étais dépassé le regard des enquêteurs sur moi, il me voyait tous comme une menteuse moi j’étais surprise je leur ai dit que j’étais partir là-bas 2 fois déjà et que je n’avais jamais vu cet homme-là. Ils ne me croyaient plus.


-          Mademoiselle si vous nous menez en bourrique ça peut vous couter très cher sachez-le, le mieux c’est de de nous dire la vérité maintenant. Me lance un autre officier 


 Ils ont passé plusieurs appels et m’ont fait attendre dans la voiture quelques minutes,  plus tard j’ai vu Christian qui venait avec un policier.


J’étais contente qu’il soit là lui au moins allait confirmer que c’est bien le chez elle là-bas.


Nous sommes descendu on l’a retrouvé j’avais des choses à lui dire mais il fallait d’abord qu’on règle cette histoire-là.


-          Mr reconnaissez-vous cet appartement ? lui demande le policier avec qui il était, en présence des autres


-          Non je ne reconnais pas 


-          Vous n’êtes jamais venu ici ?


-          Non jamais c’est ma toute première fois de voir cet appartement


-          Christian ce n’est pas ici que tu vis souvent avec jennifer


-          Non Natacha pourquoi tu fais ça ? qu’est-ce que cette pauvre fille t’a fait ? si ce n’est t’aider ?


Messieurs  je peux vous montrer où elle moi, passions souvent la nuit ensemble depuis que je la connais, avant que je ne prenne l’appartement dans lequel elle et moi vivions actuellement.


J’ai failli m’écrouler là-bas  tellement j’étais déçu, je me demandais si lui aussi était complice avec ceux qui m’ont pris mon bébé ou il l’a couvrait seulement. Les enquêteurs nous ont laissé parler ensemble 


-          Christian pourquoi tu me fais ça a-moi ta sœur ? 


-          J’ai besoin de mon enfant chris, dis la vérité s’il te plaît, j’ai besoin de justifier ces blessures que je porte sur mon ventre en serrant mon bébé contre moi Christian. _ J’ai déclenché les pleurs là-bas 


-          Natacha tu me dégoutes, quand est-ce que tu t’es transformé en véritable monstre ? pourquoi tu nous fais ça ? on t’a fait quoi ? pourquoi tu veux nous détruire ? qu’elle manipulatrice tu es devenue ? il faut vraiment te faire soigner ça devient pathétique tes mensonges.


-          Ne me cherche plus jamais et oublie que je suis ton frère_ il s’est tourné  


-          A cause d’une femme qui te trompe Christian ? elle couche avec Arnaud_ il s’est retourné et m’a donné une gifle pannn !!!!  c’est le lieutenant Kevin qui est venu l’arrêté  


-          Cette fille délire déjà, éloignez là de nous c’est ma sœur mais je ne la reconnais plus.


-          Natacha fais toi soigner tu me déçois énormément _ dis t’il en partant


On n’a même pas pu nous expliquer par rapport à la maison, je voulais savoir où il a mis mes choses, celles de mon bébé 


Les policiers m’ont  libéré plus tard, en me rappelant qu’il m’appellerait n’importe quand toujours pour cette affaire. Je marchais, je ne savais même pas où j’allais il fallait que je retourne régulièrement dans un  hôpital pour faire le pansement de mes blessures j’avais un peu d’argent dans un de mes sac, je ne savais même pas où Christian l’avait mis. 


J’ai pensé aller au village pour un moment mais je pensais au stress qu’aurait ma mère en apprenant tout ce qui se passe, en plus il fallait que je mène mes propres enquêtes concernant la disparition de mon bb. Je marchais dans la rue sans destination, je me suis arrêté sur un banc de touche je me suis assise j’ai pleuré pendant  longtemps, une petite fille est venu me demander pourquoi je pleurai je me suis ressaisie. Pourquoi la vie était si cruelle en vers moi ? Même pas de répit, j’enchaîne les déceptions souffrance sur souffrance,  Faut que je me remette d’abord de toutes mes douleurs avant de penser à chercher à nouveau le travail et qui allait m’entretenir pendant ce temps ? Où est ce que j’allais dormir  même? J’ai pensé à l’instant à la sœur consanguine de ma mère qui vivait à bonaberi mais est ce que j’avais son numéro ? je sais que ma mère et elle ne s’entende plus, j’ignore pourquoi  mais c’est elle la seule issue que j’avais en ce moment,  J’ai appelé Sandra elle m’a dit qu’on lui a fait un cerclage parce que le bébé menaçait de sortir et là elle ne peut plus faire d’effort et sa belle-famille a profité pour envahir sa maison et le pire c’est que personne ne l’aide même, elle me disait de venir si je veux mais je ne voulais pas être de trop en plus connaissant comment la maman là bavarde elle allait tout dire si elle me voyait venir m’ajouter a eux. Elle m’a passé le numéro de quelqu’un qui pouvait avoir le numéro de ma tante là je l’ai appelé et ça tombait bien ils étaient ensemble, je lui ai dit dans qu’elle condition j’étais elle m’a dit que je pouvais venir a l’instant même. J’étais soulagé mais je ne comptais pas rester là-bas longtemps je voulais juste avoir le temps de mettre une bonne stratégie en œuvre.


Je suis arrivée chez elle 1h plus tard, elle était heureuse de m’accueillir et tellement désolé de tout ce qui m’arrivait elle m’a dit qu’il fallait tout de même que j’essaie de contacter le père malgré tout, son mari avait deux femmes elle était la première mais la moins considéré d’après ce qu’elle m’a dit, il écoutait plus la dernière, C’était une grande maison avec beaucoup de pièces, le propriétaire de la maison était malade il vivait au dernier niveau, on s’occupait de lui là-bas.


  Elle m’a donné des conditions pour rester là-bas je devais faire le ménage et faire la cuisine ça ne me dérangeai pas du tout au moins je devais pouvoir dormir sur un lit sans attendre de facture.


-          Tu sais que je n’ai plus d’enfant dans cette maison depuis la mort d’Alexis, son fils donc ça ne peut que me faire plaisir de te garder ici, malgré tout ce qui s’est passé dans le passé entre ma sœur et moi vous les enfants n’y êtes pour rien.  Je préfère te prévenir, ma coépouse est très exigeante, donc pour que tu restes ici elle va exiger beaucoup de choses de toi, fait seulement tout le travail qu’elle va te demander et dis-toi que tu es là pour un temps le temps que ta situation  s’arrange. Viens je vais te montrer la chambre où tu vas t’installer personne ne l’a occupée là-bas 


-          Ok merci beaucoup maman Sidonie 


Elle m’a installé dans cette chambre là et m’a conseillé de parler de tout ce qui m’arrive avec le père de l’enfant. J’ai décidé d’aller affronté  Wendy parce que la dernière fois qu’on s’était vu je ne savais pas vraiment ce qui se passait je n’ai pas eu le temps de lui dire ses vérités pire encore depuis que je savais qu’elle m’avait menti sur mes résultats au baccalauréat.


Je n’avais plus de ses nouvelles je ne savais pas où elle habitait mais j’allais seulement la trouver, j’ai appelé tata béa elle m’a dit qu’elle ne savait rien à propos j’ai décidé de descendre au quartier voir sa mère.


Je suis arrivé chez eux sa mère n’était pas là j’ai aperçu son soit disant cousin que j’avais vu chez eux le soir de notre anniversaire là je l’ai interpelé et il a fait comme si il ne m’avait jamais vu.


Je lui ai posé des questions il ne m’a donné aucune réponse, je l’ai laissé je suis partie arrivé en route j’ai aperçu sa mère, elle a fait comme si elle ne m’avait pas vu elle voulait me traverser, je l’ai appelé elle s’est arrêté. Je lui ai dit que je la considérais comme une mère pour moi-même et que je sais tout ce qu’elle a comploté avec sa fille pour détruire ma relation avec serge.


-          Mama si vous ne me dites pas où je peux la trouver là maintenant je vous jure que j’irai tout raconter à la famille de serge ce qui est sûr il finira par m’écouter vos gris-gris ne sont pas éternels ça peut agir sur lui mais pas sur sa famille vous savez bien que l’enfant que je portais était celui de serge. Wendy et moi devrions nous expliquer 


Elle m’a regardé sans rien dire pendant un moment après elle a sorti son téléphone de la poche de son kabas et m’a donné le numéro de Wendy. Je l’ai appelé juste après mais je savais bien que sa mère m’avait devancé. On s’est bien insulté au téléphone et elle a refusé de me rencontrer j’ai insisté en la menaçant toujours comme sa mère. Je l’entendais parler à quelqu’un, elle demandé à cette personne de l’accompagner quelque part,  j’ai donc conclure qu’elle était en voiture.


Elle m’a donné rendez-vous dans un coin a logbaba je suis arrivé avant elle, elle m’a rejoint plu tard en me menaçant 


-          Je n’ai qu’une minute ici pas plus, parle vite



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