DANS LE PÉTRIN
Write by Phénix
***** Jauris *****
Nous étions dans le jardin quand Cécil est arrivé. J’ai voulu l’empêcher mais Kelly à tenu à ce qu’on le laisse dire ce qui l’amenait. Ma colère est sans borne. Ce gars me sort par les pores. Il ne se rend même pas compte de ce qu’il perd en rejetant ainsi Ana. Mais puisqu’il a décidé d’être idiot, moi je serai là pour consoler la petite dame et elle finira par me laisser faire d’elle ma reine. J’ai assisté à la scène en cachant ma satisfaction devant la raclée que Kelly vient de lui mettre. Sans la moindre gène, Ana à éclaté de rire en voyant la bouche tordue de son mari. Kelly était tout calme, mais je le connais trop bien pour savoir qu’il a des envies de meurtre.
Cecil : Tu vas le regretter imbécile. Je vais porter plainte.
Kelly : Tu n’es qu’un pauvre type. Je vais d’abord te refaire le portrait avant de te laisser partir. Comme ça, Tu ne m’oublieras jamais. Si tu portes plainte, Je plaidera légitime défense. Tous ceux qui sont ici peuvent le témoigner. Je peux même te tuer ici si je veux. C’est ce que tu mérites pour l’avoir fait pleurer.
Cecil : (se relevant) Oh ! Comme c’est mignon. Ça te soulage ? Tu es jaloux parce qu’elle ne t’a jamais remarqué ? Parce que tu n’as jamais pu lui avouer ton amour ni la mettre dans ton lit ? Tu es trop minable. Mais bon, si tu veux je te la passe pour une nuit. Tu verras, elle est vraiment bonne. En tout cas, mieux que ta femme hein ! Elles sont toutes des putes….
Jauris a sauté sur lui en lui donnant des directs pas possible. Le gars se protégeait juste le visage en hurlant. Il faisait tellement de bruit que le reste du groupe est venu voir ce qui se passait. Tous étaient surpris de voir Jauris dans cette posture. Un des notre s’est approché pour les séparer.
Kelly et moi : Non !
Moi : Laisse le déguster encore un peu s’il te plaît.
Finalement, ils retirèrent Jauris qui se débattait comme un beau diable en criant de le laisser l’achever. Cécil se leva en titubant.
Cecil : (regardant les autres membres) Vous êtes témoins qu’il m’a agressé hein !
Best : Qui est témoin ? En tout cas nous on n’a rien vu.
Cecil : bande d’idiot
Kelly : Va t’en avant que je t’écrase, rat d’égouts .
Cécil : Sauvage, Tu auras de mes nouvelles. Je comprends pourquoi ta femme se plaint de toi.
Kelly a fait un pas vers lui et Cécil à détalé sans demander son reste, ce qui a déclenché le fou rire de notre côté.
***** DEUX SEMAINES APRES ******
**** Frédérique ****
Je reviens de la banque et franchement je n’ai rien compris à ce qu’ils m’ont dit. Je suis allée retirer un million sur le compte de Kelly pour lancer une commande de bijoux. Mais les agents m’ont dit que je n’avais plus accès à ce compte. Comment cela est-il possible ? J’utilise ce compte depuis près de six ans. Comment ne puis-je plus y accéder ? C’est très en colère que j’ai garé dans la grande cour de notre maison et que je suis rentrée. J’ai vu mon mari couché dans le canapé, portable à l’oreille et sourire aux lèvres. Je me Suis campée devant lui, les mains sur les hanches. Il n’a même pas levé les yeux pour me regarder.
- Oui ma puce, ce sera fait.
- …
- OK, Je te rappelle. Prends soin de vous.
Il a raccroché, puis a mis de la musique tout en m'ignorant. Verte de rage, j’ai tout coupé avant de revenir en face de lui.
- Tu prépares un rôle pour une pièce théâtrale ? Parce que je n’ai pas envie d’y figurer. Laisse-moi donc savourer ma musique en paix. Et dégage de la Fred.
- Je reviens de la banque Kelly. Il paraît que je n’ai plus accès à ton compte ? Tu peux m’expliquer ?
- …
- Je te parle là Kelly !
- …
- (hurlant ) Tu vas répondre ! Putains !
- (posé) J’ai horreur du bruit Frédérique.
- Réponds moi alors.
- Je ne sais même pas pourquoi tu viens me déranger. Tu as bien dit mon compte n’est ce pas ?
- Et quoi ? J’ai toujours utilisé ce compte pour mes besoins et ceux de la maison !
- Eh bien ! Ce ne sera plus le cas désormais. Tu travailles n’est ce pas ? Tu as un compte à toi auquel je n’ai jamais eu accès. Je ne m’en suis jamais plaint. Lors va puiser dedans et laisse-moi respirer.
- Il n’en est pas question ! Je suis ta femme et tu as le devoir de t’occuper de moi.
- (se relevant) N’insulte pas mon intelligence s’il te plaît Fred. Tu es ma femme ? La dernière fois que je t’ai touché, Non, que tu m’as autorisé à te toucher c’était quand ? C’était quand la dernière fois que tu m’as fait à manger ? La dernière fois que tu t’es colporté comme ma femme ? Non, Je vis avec une étrangère. Alors ne vient pas me faire du bruit. Tu n’as plus accès à mon compte et c’est définitif.
- (voix douce) Chéri, Nous avons des problèmes mai ce n’est pas comme cela que nous allons les résoudre ! Tu ne peux pas faire ça !
- Fred, Nous, c’est qui ? Parce que moi, Je n’ai aucun problème avec toi. Du jour au lendemain tu as décidé que je n’avais plus droit à rien de ta part. Tu es devenue odieuse, malpolie, irrespectueuse. Tu sors sans arrêt, te souciant peu de ta maison, de ton mari. Je t’ai demandé plusieurs fois ce qui n’allait pas. Tu n’as même pas pris le soin de me répondre. Tu me traites comme une merdé et pourtant je suis ton mari et c’est avec mon argent que tu te pavaner. Alors non, Je n’ai aucun problème avec toi. Je ne veux plus que tu touches à mon argent.
Il a ramassé sa chemise, ses clés, et son portable, puis s’est dirigée vers la sortie.
- (sur le pas de la porte) Et s’il te plaît, Tu as reçu les papiers du divorce. Tu devrais les signer.
Puis il est parti sans se retourner. Je me suis sentie soudain si vide. Kelly a demandé le divorce ? J’ai saisi la grande enveloppe qui traînait sur la table et je les ouvert en tremblant. Au fur et à mesure que je lisais, la colère montait en moi. Non, Il n’a pas osé ! J’étais tellement concentrée sur Cécil que je n’ai pas fait attention à mon mari. J’ai reçu les papiers du divorce ce matin. Le monsieur divorce à mes tords exclusifs et veut me laisser sans le sou. Je ne compte pas me laisser faire. Je vais trouver un bon avocat et réclamer la moitié de ses bien. Il me le doit bien pour toutes ces années que j’ai perdu avec lui. Il n’a aucune preuve contre moi. Sur quoi se base t’il donc pour me faire un coup pareil ? J’ai fouillé toute la maison à la recherche des papiers de la maison et autres choses importantes mais je n’ai rien trouvé. Depuis quand mon Mari est-il devenu aussi méfiant pour cacher tous ses documents ? Kelly a vraiment changé, me demander le divorce à moi ! Et me laisser sans le sou ? Mais que ferais-je ? Avec Cécil, c’est compliqué. Il veut même plus me sentir, ni entendre parler de moi. Depuis qu’il sort avec l’autre vipère, Il plus aucune considération pour moi. Mais je ne vais pas me laisser faire aussi facilement. Je l’Un réserve une belle surprise. Je l’ai fait suivre et j’ai plein de photo de lui et de toutes les pétasses avec lesquelles il a eu une aventure. Assez pour pousser sa très chère femme à demander le divorce. Ana divorcer sans lui laisser un rond. Je sais que cette arriviste le laissera tomber. Alors je serai là pour le récupérer. Je sais que Ana a beaucoup d’estime pour moi. Alors elle me cobra sans hésiter. Quand ce côté sera assuré, je m’occuperai personnellement de Kelly. Si on doit se quitter, il devra me verser la moitié de ses avoirs comme le stipule notre contrat de mariage.
**** Ana ****
Dans un mois, ce sera l’ouverture officielle de mon institut. Je suis actuellement très occupée avec mon frère, Kelly et Jauris. Il y a tellement à faire que parfois je m’écroule dans mon lit sans même me déshabiller. Il y a deux jours, Cécil m’appelé pour me rabattre les oreilles parce sue j’ai bloqué notre compte commun. L’Idiot retirait de l’argent dedans sans m’en avertir. Ce compte était réservé pour assurer l’avenir de nos futur enfants. Il avait la responsabilité de le gérer pour qu’on aie pas de soucis quant à l’éducation de nos futurs enfants. Donc je n’y faisais pas attention. Mais j’ai commencé à avoir des doutes sur lui depuis que j’ai refusé d’envoyer mes sous à sa mère. Et j’ai vu juste. Le monsieur retirait allègrement les sous. J’ai été choquée de constater qu’il avait osé mais venant de lui plus rien ne me surprenait. J’ai simplement demandé à notre gestionnaire de ne plus autoriser de retrait sur ce compte. Le gars m’a donc appelé pour me rabattre les oreilles.
- Allô Ana?
- Oui ? Que me vaut l'honneur de ton appel ?
- Ana, qu’est-ce qui ne va pas ma belle ?
- Tout va bien de mon côté. Pourquoi ?
- Mais je ne te comprend plus. Ça fait bientôt deux mois que tu a déserté ton foyer pour des broutilles. En deux mois, tu as détruit tous nos rapports, tu as mis ma mère et mes sœurs à dos. Tu m'as traité d’arriviste, d’insensé. Alors que l’argent n’a jamais été un problème entre nous. Je sais que j’ai commis des erreurs et que je t’ai blessée. Est-ce que ça suffit pour me traiter de tous les noms d’oiseaux ? La dernière fois, tes amis s’en sont pris à moi. Et tu as roi, les regardant m’agresser au lieu de me secourir. Tu n'es pas comme ça. Alors dis-moi ce qui ne va pas. Je veux retrouver la femme que j’ai épousé.
- Tu n'es pas conscient de tes erreurs. En fait tu jouais bien ton rôle. Mais tu n’as jamais été amoureux de moi. C’est moi qui ai été aveugle depuis tout ce temps pour ne pas voir ta fourberie.
- Tu vois ! Tu recommencés, tu m’insultes.
- Je dis ce que j’ai constaté. Ne cris pas sur moi. Je t’ai donné plus que tu ne m'en a donné. Et cela malgré ton sale caractère et la mauvaise foi de ta famille. Mais ça ne suffit pas. Et franchement je ne suis pas le genre à me laisser piétiner. Mais toujours pour toi j’ai laissé passer beaucoup de choses déplaisantes. Il y a longtemps que tu te fous de moi. Et je ne peux plus supporter.
- Je t’aime Anaïs
- C’est aussi faux que la personne qui le dit. Dis moi plutôt pourquoi tu essaies de me baratiner. Où est le piège ? J’écoute.
- J’étais à la banque ce matin.
J’ai éclaté de rire pour atténuer la douleur de mon cœur. Je commence à connaitre le personnage qu’incarne mon mari. Un être manipulateur, menteur, arrogant, violent, trop fier de lui-même…
Il a tôt fait de se mettre à vociférer, manquant un extremis de me griller le tympan.
- C’est aussi mon argent Ana. Tu n’as pas le droit de m’en priver. Pour qui te prends tu ?
- Cecil, et tu oses me dire que tu n'es pas un arriviste ?
- Je e te permet pas…
- Je n’ai pas besoin de ta permission. Arrête de te ridiculiser, de me faire honte, de me faire regretter de t’avoir un jour aimé. Arrête et sauve le reste de ta dignité. Combien as-tu versé dans ce compte ? Combien Cécil ? Tu veux que je te le dise ? Eh bien tu as versé exactement deux millions quatre cents mille. Pathétique. Je ne sais pas ce sue tu fais avec ton argent mais je ne te permettrai plus jamais de disposer du mien. Ta clinique ne désemplit pas. Ton affaire marche.
- Tu calculés maintenant mon gain à ma place ?
- Loin de là. Mais je ne peux pas tolérer que tu fasses plaisir à tes maîtresses avec mon argent. Tu as retiré 108 millions en un mois. Alors que tu n’as versé que deux minables millions. De qui veux-tu te foutre au juste ? Sache seulement que tu me rembourseras mes sous, jusqu’au dernier kopek, de gré ou de force.
- Tu vas faire quoi ? Je ne paierai rien.
- OK, j’espère que tu sais ce que tu fais. Parce que je suis peut-être gentille mais pas idiote. Sur ce, je te laisse. J’ai u boulot à faire pour gagner mes millions.
J’ai raccroché le cœur en bouillie. Donc depuis je n’ai plus de ses nouvelles. Et je ne m’en porte que super bien.
Toc toc !
- Oui ?
- (La gouvernante apparaissant) Tantie Ana, vous avez de la visite.
- Qui est-ce !?
- Elle a dit Frédérique.
- Quoi ?
Mon sang n'a fait qu’un tour. Mais comment osait elle se présenter ici ? Qu’est-ce qui ne tourne pas bien dans son cerveau ? J’ai renvoyé Maya et je me suis rafraîchi le visage avant de descendre en plaquant un faux sourire sur mes lèvres. Au fond de moi, j’avais juste envie de l’étriper. Je l’ai surpris entrain de lorgner de partout, impressionnée par tout le luxe sue dégageait notre salon. Des qu’elle m’a vu, elle a affiché un sourire aussi fade qu’elle-même .
- Ana ! Comme je suis contente de te voir ! (Me faisant la bise)
- Bonjour Fred. Assieds-toi s’il te plaît. Quel bon vent t’amène ?
- Je passais dans le coin et j’ai voulu te faire un coucou.
- C’est vraiment gentil. Alors, quoi de neuf ?
- Ah, on est là oooo
- J’espère que tu prends toujours bien soin de mon frère hein ! Autrement tu auras affaire à moi.
- Oooorrrr tu me testes ? Tu sais que je suis la meilleure qu’il puisse avoir !
- OK. Kelly est un mec sérieux, tu as beaucoup de chance de l'avoir. On n'en dirait pas autant de certains hommes. Ils ne savent même pas garder leur braguette fermée.
- Ah, tu le dis hein ! Et à propos, j’ai un sujet très délicat à aborder avec toi.
- Je suis toute ouïe.
- Je sais que ce n’est pas mes affaires. Nous ne sommes pas très proches mais Kelly te considère comme sa petite sœur. Donc tu es ma belle sœur. Je sais aussi que tu es une femme en or.
- Ooooor tu gènes Fred, je suis au courant de tout ça.
- En fait il s’agit de ton mari.
- Cécil ?
- Oui. J’ai appris par Kelly que vous étiez en froid et que tu es partie de chez toi. Je pense sue tu as raison. A ta place je n’aurais pas supporté qu’il se comporte ainsi avec moi.
- Et comment se comporte t'il s’il te plait ?
- Comme un idiot, en te trompant
- ( jouant le jeu, faussement outrée) QUOI ?
- C’est comme je te dis là.
- Hum, Pardon Fred, J’aime pas les menteuses. Je t’ai toujours appréciée mais là tu dépassés les bornes. Cécil a déjà tout ce qu’il faut avec moi. Il n'a pas besoin de pute.
- Désolée. C’est vrai ce que je dis. L'actuelle est une fille de son service. Ca m’étonne que tu ne le sache pas.
- Je n’ai pas le temps de surveiller mon mari figure toi.
- Oui je sais.
- Mais toi oui, à ce que je vois. Tu surveillés mon mari pourquoi ?
- Je e le surveille pas ooo. Il n’est juste pas discret. Voici la preuve.
Je réceptionne l’enveloppe qu’elle me tend en faisant une grimace. Cette femme ne perd rien pour attendre. Je lui ferai sa fête à la fin. J’ouvre l'enveloppe sous son regard brillant. Elle peine à cacher sa joie. On dirait qu’elle attend quelque chose de moi. Elle n'a pas joué les détectives juste pour me faire plaisir ! Il y avait une vingtaine de photos les unes aussi obscènes que les autres. Et sur chacune d’elle Cécil était avec une femme différente. Elle a fait un sacré boulot. Moi intérieurement je suis contente car c’est autant de preuve pour me pousser a divorcer au plus vite. Car cet homme ne me mérite pas du tout.
- Ce qui m’étonne dans tout ceci, c’est la raison pour laquelle tu viens exposer ainsi mon mari. Tu aurais pu en parler par exemple à Kelly, mais tu es venue directement me voir. C’est quoi le plan ? En quoi les escapades de mon mari te gênent elles ? Pourquoi viens tu me montrer des photos de pétasses, car oui, toutes celles qui écartent les cuisses pour lui, qu’ellessoient ou pas sur ces photos sont des putes ! Elles ne valent rien !
- Eh, doucement ! Je voulais juste t'aider.
- Tu as bien fait. Les hommes ! Tous des chiens. Tu leur donnes la viande, ils iront quand même fouiller les poubelles publiques. Sinon, de toi à moi, est-ce qu’une femme qui se respecte peut offrir son anus a un homme ? Si ce n’est pas être une maudite ?
- Eh, tu m’insultes la !
- Mais on ! Kelly m'a juré qu’il n’aime ces pratiques. Alors je ne
- (Voix de benjamin entrant dans le salon) Bonjour mon sucre d’orge !!!
Son sourire s’est effacé quand il a vu Frédérique. Elle souriait sans remarquer la mine de mon frère. Ce dernier fit quelques pas encore avant de lacher la bombe.
Benjie : Anaïs, depuis quand fricotes-tu avec les pétasses ? Elle fait quoi assis dans les meubles de mes parents ?
Le sourire de Fred s’est effacé à la seconde. J’avais envie de rire. Vraiment mon frère !
Moi : Benjie s’il te plait.
Benjie : Madame, tu fais quoi là ? Ce n’est pas ton niveau ici. Pardon ramasse tes fesses pleines de microbes et de maladie et dégage de chez moi.
Fred : (se levant, piquée au vif) Tu me connais ou pour m’agresser de la sorte ? Ta petite taille te dérange peut-être ?
Moi : Je ne te permet pas de manquer de respect a mon frère chez moi.
Fred : et lui ? Il ne m'a pas manqué de respect ? Je suis venue te rendre un service, ton frère m’agresse et toi tu me dis quoi ?
Benjie : toi-même là tu te respectes ? Tu n'es qu’une pauvre fille, doublée de pute et de vide couille. Cela ne te gène pas malgré ton statut de mariée.
Fred : (ironique)j’ai fait la pute ? Avec toi ?
Benjie : oooo, ne rêve pas. Je ne traine pas dans les poubelles. Je suis trop bien pour une merde de ton genre. Mais Cecil, oui, puisqu’il a trouvé que tu étais assez bonne pour servir de vide couille.
Fred a tiqué en entendant le nom de Cecil. C’est vite passé sur son visage puis elle a remis son masque d’indifférence avant de toiser mon frère.
Fred : informe toi bien avant de raconter des inepties. C’est parce que tu n’as trouvé personne pour te vendre à ceux qui utilisent les gens de ta taille pour faire les rituels que tu oses ouvrir ta grande gueule devant moi. Mais je peux t’aider, idiot. C’est cette Laly qu’il faut indexé. Ce n’est pas parce que nous sommes claires toutes deux qu’il faut nous confondre hein ! Elle n'est même pas une vraie claire.
Moi : Arrête ton cirque. Tout le monde sait que ton degré de foutaise est au summum. Tu es pire qu’une pute. Pourquoi ne le reconnais tu pas ?
J’ai calé sa main qui essayait de me gifler avant de la lui rendre avec ma main gauche. Mes parents on dit que j’utilisais cette main pour écrire. Elle est la plus forte, celle qui contient toute mon énergie. Imaginez donc la force de la gifle que je lui ai mise. Elle est retombée dans le divan. Je l’ai attrapé par les cheveux(très longs) que j’ai enroulé autour de mon poignet avant de me mettre a la tirer vers l’extérieur. Elle hurlait en m’insultant. Moi je m'en foutais.
Moi (la tirant vers l’extérieur) : tu as le culot de venir me faire ton numéro jusqu’à chez moi, comme quoi mon mari me trompe ? Quand tu te faisait baiser par tous les trous et dans les chambres de passage, il ne me trompait pas ? Malgré que tu sois mariée a un homme qui t’aime et te respecte, il fallait que tu fasse la bordellerie non !? Eh bien je vais te montrer ce que ça fait de venir narguer Anaïs chez elle.
Je me suis assise sur elle et j’ai commencé a lui mettre les raclées. Benjie comptait derrière moi en riant.
Benjie : donne-lui ma part et n’oublie pas pour l’oncle Bernard et tonton Nicolas.
Fred : idiote(gifle de ma part) tu n'en vaux pas la peine. Cécil n’a pas besoin d’une chose comme toi.
Tu n'es bonne à rien faire. A mes côtés il s’épanouit, il est heureux
Benjie : Tu veux dire sans tes fesses ? Ma sœur, elle a la langue trop pendue, pardon donne lui bien sur la bouche.
Ce que j’ai fait de tout mon cœur. Elle a commencé par s’essouffler. Mais je la rouais toujours en l’insultant et lui sortant toutes les horreurs possible. C’est finalement Maya qui est venu la sortir de mes griffes mais d’abord, j’ai tirer sur sa robe que j’ai déchiré laissant vois son cours.
Benjie : ooo, regardez moi ça ! Elle est même toute flétrie ! Une Vizille pute. Ooo, vraiment même avec tout l’or du monde, je refuserai une vieille pareille.
Elle est partie en courant parce que toutes ses affaires étaient a l’intérieur. Maya malgré tout a ri avec nous en la regardant s’en aller la peau couverte de bleus. Nous avons passé tout le reste du temps à nous moquer d’elle. J’étais soulagée de lui avoir donné cette leçon. Désormais elle réfléchira avant de coucher avec un homme marié.
****** Au même moment *****
****** Cécil ******
Depuis près dune heure, je tourne comme un lion en cage. D’abord elle déserte la maison, ensuite elle affame ma mère, après, elle bloque mon argent à la banque et maintenant, elle m’envoie un huissier me faire part de son désir de recouvrer tout ce que je lui dois. La note est salée. Elle me donne trois jours pour régler une somme faramineuse de 625.010.250. Elle doit être folle. Ou vais-je trouver cet argent ? D’ailleurs je ne paierai rien puisque je ne reconnais pas lui devoir ces sommes. J’ai essayé de l’amadouer depuis l’autre fois mais L’Idiote ne me répond pas favorablement. Elle fait son importante. Mieux je déposé et je continue de lire mon courrier en paix. C'est le cœur lourd sue j’ai déposé la note de l’huissier pour ouvrir mes autres courriers.
Guiguigui !!!! ( Le genre de bruit quand on reçoit une nouvelle choc) je me lève, sur le point de devenir fou. Si elle croit qu’elle se foutra de moi, eh bien elle se fout le doigt dans l'œil. Elle devra d’abordme passer sur le corps. Qui est elle pour faire autant de dégâts en si peu de temps. Elle crée, je n’ai même pas fini de résoudre et déjà elle m’apporte n autre. Votre copine me demande le divorce. Tchruuuuuu divorce même. Elle va trouver ça ou ? En tout cas ce n'est pas moi Cécil EGNONKPON qui vais le lui accorder. Elle peut toujours rêver. Non mais ça c’est quoi ?
(Bruit de portail et de pas)
Laly entre dans mon salon quelques minutes plus tard. Malgré moi, un sourire se dessine sur mes lèvres . je vais pour la serrer contre moi mais elle me zappe et va s’asseoir.
- Bonjour bébé. Je suis content de te voir.
- Tu vas être bien content Cécil. Ou sont les 50.000.000 que je t’ai demandé pour mes meubles ?
- Ma chérie, je t’ai expliqué la situation. Je te promet d’arranger cela. Ca ne va pas très fort côté finance en ce moment.
- Et toutes les recettes qu’on fait alors ? Je te signale que je travaille avec toi.
- Je sais. J’ai une surprise pour toi. Attends moi, j’arrive.
J’ai monté les marches quatre à quatre comme un petit garçon qui veut faire plaisir a la fille qu’il aime. J’ai pris les papiers de la maison de la Haie-vive que j’aiis en son nom et je suis descendu. Elle lisait mon courrier.
Si c’était une autre je lui aurais donné une raclée. Mais c’est Laly et je l’aime trop pour lever la main sur elle. Elle a posé le tout et a pris les papiers qu’elle a lu attentivement avant de le reposer.
- Tu divorces ?
- Cette conne m' a demandé le divorce chérie. Mais c’est tout aussi bien. Je vais pouvoir d’épouser.
- Ah bon. Tu veux m’épouser et tu es incapable de m'acheter des meubles ? Il y a tellement d’hommes qui tueraient pour un regard de ma part. Mais je rejette tout cela et toi tu es incapable de me faire plaisir.
- Chérie, tu sais que je fais de mon mieux
- Tu ne fais rien du tout. Tu es un incapable. Je ne sais même pas pourquoi je suis avec toi.
- Je t’aime. Excuse-moi, c’est le temps qui est dur pour moi. Mais je te promet que je vais le faire. Crois-moi Laly.
- Je ne te crois pas. Tu es un bon à rien.
- …
- C’est 50.000.000 seulement que j’ai demandé. Et tu es incapable de me le donner. Pourquoi ne pas faire une hypothèque sur cette maison et emprunter 100.000.000 ? Je veux mes meubles. Ne crois pas que c’est parce que tu as mis la maison à mon nom que je vais lâcher l’affaire. Je te donne deux jours. Sinon, je te quitte.
Elle s’est levée sans plus et est partie, me laissant dans un stress sans précédent. Jaime cette fille. Je ne veux pas la perdre. J’ai déjà essayé une fois d’hypothéquer cette maison. Mais à y réfléchir, je n’ai pas osé, alors j’ai laissé tomber. Je crois que je ferai ça sur la maison des parents. Je ne pourrai pas obtenir 100.000.000 mais je peux obtenir assez pour être avec ma dulcinée.
Je me lève donc et vais chercher les papiers de la maison des parents. Il me faut des sous au plus vite. Au moins sur ça il n’y aura pas de problème.
***** Laly BIBI *****
Je suis sortie de chez lui bien gonflée. Le monsieur là en fait est un vrai profiteur. J'ai vu la note que le huissier lui a adressé de la part de sa femme. Tout ce qu’il possède en effet appartient a sa femme même si c’est en son nom. Elle est très habile car elle garde toutes les pièces comptable. Je ne voulais pas lui en parler car il en profitera pour me dire qu’il n'a pas d'argent. J’ai conduit lentement en réfléchissant. Au moins il y a du neuf ce jour. J’ai enfin la maison de la haie-vive. Mon domaine a akassato aussi a connu un changement remarquable. J’ai ait des boutiques et des studios que j’ai loué. J'en suis fier. Au moins il a servi a quelque chose. Je vais donc m’apprêter à déménager. Je ne supporte plus l’ambiance ans cette maison. Des que je suis entrée, j’ai remarqué Félix , le voisin dont la femme n’arrête pas de m’embêter. Je lui ai fait les yeux doux pour lui demander de me rejoindre dans ma chambre. J'ai fait ma toilette en utilisant ma poudre magique. Et c’est toute nue dans le divan que je l'ai attendu. Des qu’il m’a, ses yeux se sont voilés de désirs. Je lui ai fait signe de la main d'approcher. Ce qu’il a fait ,les yeux rivés sur mon sexe. Il s'est agenouillé devant moi. D'un signe je lui ai ordonné de me lécher. Il n'a pas hésiter à enfouir sa tête dans mon entrejambe qu’il s’est mis a manger comme si sa vie en dépendait. J’ai pris mon plaisir en jouissant dans sa bouche, profitant pour uriner dans sa gorge. Il a voulu se retirer mais j’ai retenu sa tête en me vidant. Le gars s’est levé et a commencé à se déshabiller.
- Que fais-tu là ? Dis-je d'une voix dure.
- Je me déshabille non !
- Pourquoi ? Je t’ai demandé de le faire ?
- Mais…
- Retourne chez toi. Je t'attends cette nuit. On fera tout ce que tu veux.
Il était déçu mais il s’est docilement habillé avant de s'en aller en regardant une dernière fois mon sexe lisse, une tentation ! Oui, je n'ai pas oublié la méchanceté gratuite de mes voisines. Je ferai pareil à l'autre idiote aussi. Elles se croient arrivées parce qu’elles sont mariées ? Eh bien je vais leur montrer que je ne suis pas n’importe qui.
Je me suis couverte d’un pagne et suis allée m'asseoir devant ma porte, face a la chambre de mes voisins, les jambes ouvertes, montrant toute mon intimité. Il est sorti quelques minutes après et a bloqué juste en me voyant. Je lui ai fait un sourire avant de lui faire signe de me suivre. Je sais qu’il fermera sa porte et ensuite me rejoindra. Une fois encore je me suis passée la poudre dans le sexe avant d'aller l’attendre sagement. Des qu’il est entré, il s’est jeté sur moi en me disant combien il attendait ce moment depuis longtemps. Ses mains ont vite fait de me débarrasser de mon pagne et de me peloter ,tellement il était impatient de me Fourrer. J’ai écarté me cuisses, lui demandant de faire comme l'autre. Il ne s’est as fait prié. Je me suis même assise sur son visage en faisant des mouvement avec mon bassin. La jouissance est arrivée plus rapidement, vu que j’avais déjà eu du plaisir tout à l'heure. Il s’est déshabillé à la vitesse de l’éclair. A la vue de son sexe, mon bas ventre s’est mis a faire des bruits bizarre. A côté de lui, Cécil n'a rien. Un gros morceau tout tendu de désir. Ma main a soupesé ses testicules ,pleines, lourdes ,lui arrachant un soupire de satisfaction. Ses lèvres sont venues pincer mes tétons, pendant que sa main caressait ma foufoune. Je lui ai intimé de me suivre. Je me suis appuyée contre la table a manger avant de lui ordonner de me prendre en levrette et d’y aller brutalement. Quelques minutes plus tard, je hurlais de plaisir, sans me soucier de déranger mes voisins. Il l’embrassait dans le cou en pinçant jusqu’au sang mes tétons durcis par le plaisir en me disant des mots orduriers. Ce qui décuplait mon plaisir. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais il a fini par se vider en moi en on s’est écroulé tous les deux au sol. Il me caressait encore , le sexe tendu et près pour un autre round. Je lai stoppé en lui donnant rendez-vous cette nuit. Des qu’il est parti, je suis allée fermer ma porte et me coucher dans le canapé toute nue. J’ai dormi comme un bébé jusqu’à ce que des coups discrets a ma porte me réveille. J'avais une faim de loup. J’ai retrouvé Félix devant ma porte qui bavait déjà sur ma poitrine.
- Écoute, j’ai faim. Va rapidement m'acheter a manger si tu veux qu’on fasse quelques choses ce soir. OK ?
Il est parti en courant. J’en ai profité pour prendre une douche et me mettre en condition pour les recevoir. J’ai mangé pendant que Félix me dévorait des yeux. Ma petite robe transparente en était pour quelque chose. Marco nous a rejoint quelques minutes plus tard. L’incompréhension dans leur regard a monté mon désir d’un cran. Marco a voulu rebrousser chemin mais je l'ai retenu
- Marco, tu es sur que tu n'as pas envie de ça ? Dis-je en me mettant nu devant eux.
Le regard de Marco s’est voile de désir avant qu’il e revienne sur ses pas et ose me caresser les seins.
- Oui, dit-il faiblement. Je veux mais pas devant lui.
- Tu le feras avec lui. Parce que je suis ce que tu veux, dis-je en le regardant droit dans les yeux ,piratant ainsi son cerveau.
- Oui. Je le ferai.
La nuit a été longue. Parce que j’ai pris mon pied. Je les ai même obligé à se sucer mutuellement et a se sodomiser. Pour Félix a été dur car, le sexe se Marco est vraiment phénoménal. Mais avec de la vaseline, nous en sommes arrivés a bout. Les deux m’m’ont pris en sandwich toute la nuit. J’ai vraiment adoré. C’est très tôt le matin que chacun s’est levé pour se rendre dans sa chambre.
Moi : (les regardant) Si elles osent criée sur vous, battez les. Parce que c’est vous qui portez la culotte.
Et quelques instants plus tard, c’était vraiment la bastonnade des deux côtés. Je suis allée me coucher, repue de sexe et vengée pour toutes les méchancetés qu’elles m’ont dites.