Moi ( déjà troublée) : Tidiane laisse moi passer tu veux j'ai sommeil je vais me coucher bonne nuit. 

Tidiane : tu peux oublier n'est ce pas c'est toi qui es venue me trouver, assumes .

Il retient mes deux mains au dessus de ma tête avec l'une des siennes et avec l'autre il a écarté mon slip et me titille le clitoris. 

Moi ( gesticulant) : hum Tidiaannee laisssse oh passer. 

Il a retiré la ceinture de son bas de pyjama pour me ligoter avec. 

Lui : comme ça tu resteras tranquille. 

Moi : non mais tu veux me violer. 

Lui : viol on verra qui va supplier l'autre d'ici peu. Et si tu ne te tiens pas tranquille je te donne la fessée.

Au lieu de m'énerver ou autre, je suis très excitée je mouille beaucoup même. 

Il m'a embrassé, suçant ma lèvre inférieure , de ses mains il a commencé à explorer mon corps, j'ai pris un peu de volume notamment les hanches et les seins qui sont très sensibles en ce moment ,il les titillait les mordant ,il a mis trois doigts en moi et s'est mis Dans un vas et viens rapide, j'étais en feu, tout mon corps s'embrasait la jouissance n'était plus très loin et c'est ce moment qu'à choisit Votre ami pour tout arrêter, il s'est brusquement redressé me laissant haletante et hagarde. 

Moi : mais qu'est ce que tu fais ? 

Lui : eh bien je ne peux pas. Tu as raison c'est mal, tu n'es pas de tour aujourd'hui et.. .bon tout ça c'est pas grave tu peux prendre une douche froide Si tu veux. 

Moi : non comment tu ne peux pas me laisser ainsi my boo toi aussi. 

Ligotée je ne pouvais pas faire grand chose pour le faire revenir. 

Lui : ce n'est pas le même discours que tu m'a tenu dans notre chambre avant de me renvoyer. 

Moi : je suis désolée je me suis déjà excusée non. 

Lui : si mais aux dernières nouvelles je te voulais .

Moi : toi aussi tu sais que ce n'est pas le cas n'est ce pas, que veux tu de plus. 

Lui : qu'on arrête toute cette mascarade, il n'y a plus de tour ni rien c'est toi ma femme et c'est avec toi que je passerais toute mes nuits. 

Moi : compris tout ce que tu veux .

Tidiane ( s'approchant de moi) : tu vois bien quand tu veux .

Il a arraché mon string, a libéré son truc et d'un coup il était en moi commençant ses vas et viens. Je ne me reconnaissais pas je ne fesais que crier routes les obscénités qui me passait par la tête. Et juste au moment où j'allais jouir il s'est retiré m' arrachant un soupir de frustration. 

Et c'était comme ça toute la nuit, j'en avais marre de le supplier je le laissais faire juste, ce n'est qu'au petit matin qu'il m'a laissé avoir un orgasme signe de ce nom avant de jouir à son tour dans un violent spasme. 

Tous mes membres sont engourdis, je ne peux même pas bouger surtout avec la grossesse, j'ai des débuts très difficile. 

Tidiane ( me soulevant) : on vas monter tu vas prendre un bain avant de dormir. 

Moi : Tidiane c'était quoi ça ? 

Lui : punition, je te punis pour m'avoir puni et comme on ne boxe pas dans la même catégorie eh bien tu me sens passer. Et je voulais aussi te marquer au fer rouge, tu es à moi et à moi uniquement que l'idée de me quitter ne te traverse plus jamais compris et crois moi ceci est la plus petite de mes punitions .

Je n'ai même pas répondu trop Ko pour. Je me suis endormie la dans la douche pendant qu'il me savonner le corps pour me réveiller en sursaut à midi ,il est entré dans la chambre au même moment, frais un plateau dans les mains. 

Lui ( grand sourire) : bonjour ma douce, tu as bien dormi ? 

Moi ( n'osant ne pas répondre) : Unhun oui ça va 

Lui ( éclatant de rire) : tu es fâchée, il ne faut pas tu ne vois pas tout ce que je t'ai préparé. [ s'asseyant à côté de moi ] tu sais que tu es resplendissante, tu ai pris quelques rondeurs et j'adore ça surtout au niveau des hanches, j'aimerais bien....... 

Moi ( véhémente ) : non et non tu es fou 

Lui : kxkxkx reste tranquille je ne te toucherai pas Mdrr tu ne m'a même pas laissé continuer ma phrase. Allez mange avant que ça ne refroidisse .

Moi : Oh merde c'est Samedi aujourd'hui et rien est prêt tout ça c'est de ta faute pff d'ailleurs les autres ne vont pas tarder. 

Lui : et c'est maintenant de ma faute, ce n'est pas toi qui me suppliait hier si tu as oublié je peux té rafraîchir la mémoire. 

Moi : non merci je m'en rappelle. 

Lui : voilà qui est mieux d'ailleurs je ne sais pas ce qui t'a pris hier mais tu as empêché tout le monde de dormir, vu le regard du gardien ce matin eh bien tout le monde est au courant. 

La honte je ne vous dis pas comment pourrais je le regarder après tout ce que j'ai dit hier et Arame dans tout ça je ne lui en veux plus juste avant de m'endormir ce matin je me suis demandée ce dont je serais capable par amour pour Tidiane et puis ce n'est pas à moi de la juger , elle a d'ailleurs assez de problèmes pour que j'en rajoute elle est une épouse et son mari ne la considère même pas un peu c'est largement suffisant comme punition..... 

Lui : eh oh ne te parle depuis tout à l'heure il y a quoi ? 

Moi : rien bon merci mais je dois me lever j'ai beaucoup de choses à faire, c'est bizarre que je n'ai pas entendu les enfants jusqu'à présent. 

Lui : ils sont tous sortis, je les ai laves et habillés ils sont partis passer le week-end chez ma mère. 

Moi : mais..... 

Lui : mais rien, c'est leur grand mère . Ne t'en fais pas pour le repas j'ai appelé le traiteur il vas nous livrer sans quelques minutes. Tu peux néanmoins rendre un bain et descendre, ils sont là depuis un moment. 

Moi : et tu les as laissé tout seuls là bas 

Lui : il faut que je m'occupe de ma femme non. 

Moi : enterre la hache de guerre tu les avais foutus dehors et ils sont encore là ce sont tes amis, tout le monde a droit à l'erreur, ils voulaient juste me défendre. 

Lui : je sais tout ça taché de faire vite avant qu'ils ne montent ici, comme je leur ai dit que tu ne te sentais pas bien, ils sont inquiets à part Aminata ce qui est d'ailleurs très bizarre .

Je suis descendue trente minutes plus tard mais je ne pouvais pas bien marcher. Bon sang je ne regarderai plus jamais le canapé de la même manière, j'y ai passé la nuit. Je suis allée m'asseoir à côté de mon homme sous le regard ahuri d'Aminata .

Moi : bonjour bonjour comment vous portez vous ? 

Daouda : mais vous deux là vous n'avez pas honte toujours la même chose, non boyy yak nga halebi wayy. 

Tidiane : on est marié non, on fait ce qui nous chante. 

Je les ai laissé là bas entrain de débattre pour me rendre à la cuisine suivie par Aminata. 

Elle : non mais tu es folle, tu as pensé au bébé au moins. 

Moi : Aminata ça va et ta journée bien merci d'avoir demandé. 

Moi : Aminata tu as vu les triplés non j'ai fais pire que ça quand je les portais, tu les a vus, ils se portent comme un charme. Et le médecin m'a dit qu'il n'y a aucun risque. 

Elle : en tout cas calme tes ardeurs je veux pas d'un enfant perverti avant sa naissance 

Moi : kxkxkx avec Tidiane comme père c'est perdu d'avance. 

On a passé une bonne journée et je n'ai toujours pas trouvé le moyen de dire à Tidiane que j'attends son enfant et je sais qu'il risque de se fâcher s'il sait que je le lui ai délibérément caché. 

Il l'a su par lui même Vendredi. Tous les matins je profitais de son absence ( jogging) pour prendre mes médicaments surtout ceux pour la nausée, il sait que je déteste les médicaments et aurait donc deviner s'il m'avait vu avec. 

Il était supposé rentré trente minutes plus tard. Donc moi j'étais tranquillement assise un verre d'eau à la main une tablette de pilules dans l'autre. Mes pilules contre la nausée. 

Lui : chérie tu sais............ [ fronçant les sourcils ] tu es malade ? 

Moi : non ce n'est rien 

Lui : J'ai l'air de rigoler ? Non, alors qu'est ce qui ce passe.

Il m'a arraché la tablette des mains avant d'ouvrir grand les yeux .

Lui : Tu............ Tu es enceinte ? 

Moi ( dans un souffle ) : oui 

Oh non je sais ce qu'il vas en penser ou plutôt ce qu'il en pense déjà. En fait après l'épisode Mactar où j'avais perdu mon bébé je n'en ai plus voulu je suis sous pilule depuis lors, Tidiane lui en voulait un petit dernier au moins mais j'ai eu peur sans le dire alors j'avais dit niet . Et là il vas sûrement croire que je ne désire pas cette grossesse , comment une mère ne peut elle pas aimer son enfant, c'est insensé. 

Moi : Tidiane ce n'est pas ce que tu pense je l'aime déjà mon enfant. Je ne peux pas le detes......... 

Lui : tu le sais depuis quand ? 

Moi 

Lui : je n'aime pas me répété Mariama alors parle avant que je ne m'énerve. 

Moi : quatre jours avant de rentrer .

Lui ( haussant le ton) : et je peux savoir pourquoi tu ne m'as pas mis au courant 

Moi : je...... je voulais te faire la surprise en rentrant et même si je voulais te le dire tu étais injoignable 

Lui : tu es rentrée depuis quand Mariama ? 

Moi ( petite voix) : dix jours 

Lui : et pourquoi je n'étais pas au courant et quand comptais tu me le dire ? 

Moi : quand je suis rentrée j'ai trouvé le problème Arame ici et je n'ai pas trouvé........... 

Lui : ah j'ai compris c'était donc ça ta punition 

Moi : mais non qu'est ce que tu racon..... 

Lui : SUFFIT STOP tais toi je ne veux plus rien entendre OK 

Il est entré dans le dressing pour en sortir trente secondes plus tard des vêtements dans les bras avant de sortir de la chambre en claquant la porte. 

On dirait bien que J'ai sérieusement fâché monsieur mon mari. 

Bonne lecture. Aimez et commentez bisous bisous