Rolmo Junior Gélin

Write by Samelita

-Ferme pas les yeux mes regarde- moi. Dis-je en la baisant.

Elle n'est que gémissements sous mes coups de reins. Voyant qu'elle ne compte pas ouvrir les yeux,je m'arrête et commence à me retirer en elle. Elle ouvre rapidement les yeux,petite plainte et me dit ok. Elle noue ses jambes à ma taille et me demande avec le désir dans les yeux de la pénétré. Je reste moi-même et la regarde juste. 

- Quand je te demande de me regarder tu le regardes, est-ce clair ? Lui dis-je avec autorité.

Elle soupira et je mets ses jambes perpendiculaires à son corps et je la baise avec force. Oui,je la baise. J'accélère en elle puis je jouis, je me retire en elle,verifie le préservatif, je vais dans la salle de bain,jette le préservatif. Me rhabille et sort sans un regard vers elle. Je pue la baise, petit sourire. Je sors de cette hôtel, monte ma Berline noire et direction le petit chalet que j'ai loué pour moi et ma femme pour notre lune de miel. Je la trouve coucher sur le sofa un verre de vin à ses pieds, le regard perdu. Je l'approche,la soulève et l'emmène dans la salle de bain. Je la déshabille,remplit le baignoire d'eau et l'y plonge. Je lui frotte le corps. Ma femme,ma petite femme,je l'aime beaucoup c'est mon pilier, mon tout,ma femme porte bonheur. On s'est marié y a 2 semaine. J'me suis marié le même jour que mon petit frère,le cadet. Mais y a une semaine j'ai appris que mon benjamin s'est aussi marié sans que nous sa famille ne le sache. Décidément ce petit je le respecte de jour en jour. Contrairement à mon paternel qui ne l'a jamais aimé,moi je l'ai toujours apprécié,son caractère,son courage. Le type ne quémandait jamais l'amour des parents mais exigeait le respect de tous. Sacré petit frère,mon père ne l'a jamais aimé, personne ne sait ni la ou les raisons. Moi étant plus proche de mon père je l'ignore. Pfft

Je finis avec ma femme,la soulève et l'emmène dans la chambre,je l'essuie le corps puis la couche sur le lit, je rentre à mon tour dans la douche prendre un bain et rejoindre ma chérie. Je lui fit l'amour avec toute la passion du monde. Oh que j'aime cette femme.

J'ai toujours été un coureur, mais c'était pas de ma faute. Plutôt celle de ses femmes, elles me couraient après depuis l'école comme à l'université, même la meilleure amie de maman, madame Elonga mh, mieux je me tais. Je suis pas mal non plus,le même regard qui a fait tomber maman dans les bras de mon père. Petit rire.

 
Lune de miel