Un beau début

Write by Hübsch


Le lendemain matin telle une voleuse je sortis du lit récupéra mes affaires de la veille et direction chez moi pour prendre une bonne douche et me reposer avant d'aller au boulot . J'irai récupérer ma voiture plus tard chez O'Brien. J'ai passé une très belle nuit mais je préfère qu'on en reste là . Je n'ai aucunement besoin d'une histoire compliquée en ce moment.Mon portable n'a pas arrêté de sonner et j'ai du le mettre sur silence pour pouvoir espérer dormir un peu. C'est sûrement Carl, il s'est s'en doute rendu compte que je n'étais plus là. Je n'ai aucunement envie d'en discuter je crois qu'il devrait comprendre. D'ailleurs c'est la même chose avec les hommes ils ne vous rappelle juste plus. Et c'est là que vous comprenez que c'était juste une histoire sans lendemain. Alors il comprendra aussi avec le temps. Les yeux alourdis par le manque de sommeil et le corps endolori par les activités de la veille je me prépare à aller au boulot. Le seul souvenir de la veille suffit à me donner des frissons. Arrivé à la clinique je pris soin de dire à mon assistante que si Carl venait me chercher de lui dire que j'etais pas Là. Après avoir enchaîné les consultations ,direction chez O'Brien pour récupérer ma voiture et rentrer chez moi retrouver mon lit. Une fois arrivé à destination qui vois je debout les mains dans le dos adossé à ma portière. Carl ! Vivement il a décidé de compliquer les choses. 

_Bonsoir Carl 

_Bonsoir Lili. Je t'attends depuis quelques heures déjà. 

_Je ne me rappelle pas t'avoir donné rendez-vous. 

_Je t'ai appelé t'as refusé de décrocher. Je suis allée à l'hôpital et t'étais pas là. Vu que je connais pas chez toi j'ai appelé O'Brien qui m'a dit que ta voiture était toujours là. Alors je n'ai trouvé aucune solution que de venir t'attendre ici. Vu que t'a décidé de m'éviter. 

_Ah je vois. 

_C'est tout ce que tu trouves à me dire.? Je pensais qu'on avait partagé quelque chose d'unique hier. Et ce matin avant que je n'eus le temps de m'assurer que ce n'était pas un rêve, que c'était bel et bien arrivé tu étais déjà parti. Comme si c'était un coup du soir. Comme si tu avais envie de baiser et que tu t'es dit que je serai partant .Mais je te connais assez pour savoir que c'est pas ton genre. Qu'est ce qui se passe Lili ? 

_Je ne veux pas de relations compliquées .j'en ai eu mon lot. Je ne veux pas être le trophée d'un pari. Je t'aime bien Carl mais cela ne veut pas dire que je vais te laisser t'amuser avec mon coeur fragile. Tu voulais coucher avec moi et bien voilà c'est fait. Maintenant tu peux continuer ta vie en paix et me laisser poursuivre la mienne.

_Un pari tu dis, tu sais très bien que c'est pas mon genre. Je ne suis pas un garçon parfait, je suis d'ailleurs le contraire. Je baise les filles que je veux, quand je veux et je ne m'attarde pas. Les relations c'est pas mon truc, courir après une fille non plus. Mais depuis le premier jour que je t'ai vu dans ce restaurant j'ai su qu'avec toi ce serait différent.Mon but n'est pas de coucher avec toi, je veux que tu sois ma petite amie. Voilà pourquoi j'ai essayé d'être ton ami. Tu me plais beaucoup Lili et tu peux demander à ton amie, elle le sait. Je lui répète la même chose à chaque fois qu'on se voit. 

_Quelle amie ? Sonia ! Je comprends maintenant beaucoup de choses. Le sexe était formidable mais je préfère qu'on en reste là. 

Il se rapproche de moi et de son corps m'oblige à prendre appui sur la voiture. Il me donna un baiser dans le coup puis me prit les lèvres dans un fiévreux baiser. J'aurais pu le repousser mais je n'en avais pas envie. 

_Dis moi d'arrêter Lili. Dis moi que tu ne ressens rien pour moi. Que c'est purement sexuel. 

Cette fois sa main glissait dans mon slip et me procurait de délicieuses caresses. J'en gémissais presque. 

_Arrêtes Carl réussi je à articuler au bout de deux gémissements 

_Dis le moi Lili. Dis moi que tu ne veux plus me voir . Je veux te l'entendre dire. 

_Chez moi. Prends ta voiture et suis moi. 

C'est tout ce que j'ai pu dire. Ma tête pensait tout autre chose mais mon corps et mon coeur étaient d'un tout autre avis. J'arrive pas expliquer ce sentiment de dépendance, j'ai l'impression d'avoir besoin de lui. Besoin de le sentir en moi. Voilà comment je roule en direction de chez moi avec Carl à mes trousses. Il faudrait bien que je lui donne le bénéfice du doute. Je sais même pas pourquoi j'ai cru à ce que me disais Sonia. Peut être parce que je pensais qu'en étant que nous deux elle me considérait finalement comme une amie. Bon c'est pas le moment d'y penser. Une fois arrivée chez moi, je demande à Carl de prendre place au salon. 

_Bienvenue chez moi. je t'offre quelque chose à boire ? 

_Une bière me ferait plaisir. 

_D'accord met toi à l'aise j'arrive. 

Je me rends dans la cuisine et reviens avec deux bières fraîches, une pour Carl et une pour moi .je m'allonge dans le canapé et dépose mes pieds sur lui. 

_Qu'est ce qu'on fait maintenant. 

_Lili tu me plais beaucoup et je veux qu'on essaie de construire quelque chose ensemble. Veux-tu être ma petite amie ? 

Il l'avait encore dit. Petite amie. Le mot magique qui parle du futur. Qui donne l'impression qu'on s'engage pour quelque chose d'important. C'est ce que je voulais non. 

_D'accord. 

_D'accord ? Je pensais que tu allais encore te disputer avec moi. 

_Non mais je te préviens je suis très chiante. 

_ça je peux faire avec. 

_Une seule chose Sonia n'est pas vraiment la meilleure personne qui puisse te donner des conseils. Alors tout ceci reste entre nous. Tu lui en parle pas. Et si t'a un blem avec moi tu me pose directement la question. Pas besoin d'intermédiaire. 

_Tout ce que tu voudras. Maintenant viens là. Depuis tout à l'heure j'ai envie de t'embrasser. Si seulement tu sais l'emprise que tu as sur moi. 

Je me lève de l'endroit où j'étais assise et viens m'asseoir sur lui. Je lui offre mes lèvres dans un baiser et commence par déboutonner sa chemise. Une fois que c'est fait je pose mes mains sur ton torse et lorsque  l'expression de son visage me dit qu'il en veut plus, j'avance ma bouche tout doucement, lui souffle dans le cou et lui murmure tout doucement comme un secret viens prendre une douche avec moi. Il ne se fit pas supplier. Il me suivit sans broncher et une fois dans la chambre m'aida à me débarrasser de mes vêtements. Je fut la première à rentrer sous la douche. Il me rejoins plus tard et après avoir renversé du gel de douche sur mon corps il se mit à dessiner avec ses doigts des lignes qui descendait de mon coup jusqu'à mes tétons. Ensuite ce fut à mon tour de le laver. Et quand l'eau fraîche descendit sur nos deux corps à l'unisson il passa sa main sur mon corps glissant et se mit à me caresser. Quand il fut sûr qu'il n'y avait plus aucune trace de savon il me taquinais en posant ses lèvres sur mes tétons. Par moment il m'embrassait et me malaxait les fesses et moi je caressait son membre érigé par l'excitation où j'y collais mes fesses pour l'exciter encore plus. Ce fut le bain le plus sensuel que je n'ai jamais eu. Quand on eut fini il prit ma serviette et entreprit de me sécher. Il commença par mes cheveux puis ce fut le tour de mon corps entier. Il s'attardait sur mes tétons et d'un geste rapide jeta la serviette quelque part dans la chambre. Il m'allongea sur le lit et se mit à parcourir mon corps de baisers. Il s'y prenait lentement comme s'il avait toute la journée. Lorsque sa bouche fut au niveau de mon bassin je me cambrai, nn plutôt me tortillai comme un vers de terre tellement cet endroit de mon corps était sensible. Il souleva sa tête et me gratifia de son plus beau sourire. Il continua son exploration à mon clitoris. Il passa un premier coup de langue qui me vola un léger gémissement. Puis il continua comme s'il léchait une crème glacée et je me tortillais de plus belle. Il s'arrêta un instant à la recherche d'un préservatif que je lui lança de mon tiroir. Alors il continua sa tâche jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Ce n'est que là qu'il enroula le préservatif et me regarda droit dans les yeux avant de me pénétrer. Une fois qu'il fut bien à l'intérieur de moi il me murmura à l'oreille "Tu me rends fou". 

Je vous épargne le reste des détails. Après avoir fait l'amour je me suis endormi. C'est Épuisée mais surtout le ventre vide que je me suis réveillé en pleine nuit. Carl n'était plus là, je pensais qu'il avait dû rentrer chez lui. Il aurait pu attendre que je me réveille non me suis je dit. J'enfile mon slip puis un haut qui traînait par là et descend en direction de la cuisine pour me préparer à manger. À ma grande surprise Carl était là entrain de dresser la table. 

_Qu'est ce que nous avons là 

_Tu es réveillé, je m'apprêtais à venir t'appeler. Je me suis dit que tu aurais faim alors j'ai commandé de la nourriture de chez Make. 

_T'as pensé juste. Je meurs de faim. Tu compte rentrer chez toi aujourd'hui 

_Quoi tu me chasse déjà. 

_Qui moi ! Alors que tu commences déjà par me nourrir, tu peux même emménager si tu veux. 

Cette dernière phrase l'a fait sourire. Je n'y ai vraiment pas pensé. J'ai juste dit ça comme ça pour blaguer. Je veux pas qu'il pense que je lui force la main. D'ailleurs j'aime avoir mon propre espace. Mais il a souri ce qui veut dire que ça ne lui fait pas peur. Je pense que je vais nous donner une chance et voir où ça nous amène mais surtout ne dites rien à Sonia. 

NB: Dès fois quand quelqu'un veut créer la discorde entre deux personnes il suffit juste de ne pas le laisser faire en communiquant. La plupart du temps chacun reste dans son coin à croire ce qu'on lui dit sur l'autre sans pour autant affronter la personne même directement. C'est comme ça que des foyers, des amitiés, des relations ont été détruites. Ne laissez pas les intermédiaires détruire le respect et l'amour que vous avez pour quelqu'un. Ne passez pas par les saints quand vous pouvez vous adresser à Dieu directement. Ainsi faisant vous donnez du pouvoir aux mauvaises langues et vous doutez de ceux qui vous sont chères. Il suffit juste que l'un d'entre vous se décide à parler et l'autre à écouter pour éviter les malentendus et économiser un précieux temps à s'aimer au lieu de se détester. La communication est la clé qui ouvre la porte des malentendus. 

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