Chapitre 6: GRÂCE
Ecrit par King olaé
-Voici les recherches que vous m'aviez confié Mr le PDG,vous allez vous en servir maintenant? en ajoutant à l'action de lui remettre les documents .
- Je pense attendre voir comment le marché évolue puis je prendrai une décision,me répondit le PDG.
-Comme vous voulez, lui dis-je .J'ai fini ce pourquoi vous m'avez payer, alors le reste ne me concerne plus .
- Vous êtes plutôt speed pour trouver les plans foireux, répliqua - t-il en même temps.
-C'est mon gagne pain. Il ne faut jamais laisser ces informations traîner n'importe où, en insistant la dessus.
-Avez-vous peur de quelques choses ?affirme - t-il
-Non ,je couvre mes arrières, c'est à vos risques et périls .
- Vous me plaisez, dit-il avec un sourire de vieux dégoûtant.
- Ah bon ...
Je suis coupée par la sonnerie de mon téléphone.
C'est sûrement un autre client. Je le sors pour constater que ce n'est rien d'autre que la bavarde de la famille. Je m'excuse auprès du PDG pour répondre.
Un mouvement de doigt sur l'écran du phone, puis je décroche.
-Allo Corine!
-<<Oui, as - tu fini?>>
- Presque. Pourquoi demandes-tu? Qu'as - tu fais encore ?
-<<Je vide le sac de la famille.>>
- t'as pas osé?
- <<Oui. Je suis la plus grande et je me dois de vous protéger .>>
- Et maman? où est-elle?
- <<Elle pleure ici alors que je n'ai même pas encore commencé . >>
- PUTAIN TA BOUCHE!
-<< Laisse-la à sa place et ramène-toi ici. >>
- Je viens déjà.
-<< Okay!>>
- Corine malgré ta beauté, ta bouche n'est que le contraire.
Merde, elle a coupé avant que je ne place cette dernière phrase.
- Ce n'est pas non plus comme si je m'attendais à une bonne nouvelle de sa part. Avec elle, rien n'est comme l'on souhaité mais elle n'a fait que démarrer le chronomètre . Vu la situation ,il faudrait tout dire à John,murmurais-je sur place .
le PDG réagit aussitôt :
- Problème de famille,je suppose, me questionne-t-il .
-Oui je dois vous laissez, lui confirmai-je.
- C'est grave? demande t-il .
- tout est grave dans ma famille, avec un soupire .
- Une déesse résoud des problèmes et non le contraire, affirme t-il.
-Déesse??? ne me faites pas rire Mr. Je vous laisse.
- Je vous racompagne, me dit-il en se levant d'un mouvement de pas , il m'ouvre la porte de son bureau.
Je peux le voir à travers les rétros miroirs de l'entreprise qu'il mate mes fesses, reste juste qu'il en touche et je vais lui infligé une bonne gifle.
Nous sortons de l'entreprise. Il fait signe à son chauffeur qui l'attendais devant de venir en lui ordonnant de me déposer où bon me semble. Je n'ai pas refuser, au contraire, je suis vite rentrée après qu'il m'ai ouvert la porte de la voiture et me donna une bonne enveloppe vu le volume de ceux dernier. Il me tend ensuite sa carte de visite privée et dit au chauffeur de rouler en douceur.
Ça a toujours été comme ça, ils ne peuvent pas résister à tout ce que mon corps possède. Ma beauté est génétique côté filles comme garçons. Garçon, en voilà un à l'hôpital.
J'oublie aussitôt le PDG.
CORINE va faire pleurer cette dame fatiguée maintenant.
-Madame je vous conduit où? demande le chauffeur en faisant émergé de mes pensées.
- Ah oui désolé, lui dis-je en souriant . Amenez-moi au CHD (Centre Hospitalier Départemental ).
- Okay Madame, en jetant un cou d'oeil à l'arrière.
- Il y a un problème! lui dis-je le mien renfermé.
- Non aucunement, répondit-il en roulant, la tête bien devant cette fois ci.
Quelques minutes plus tard, nous arrivons à l'hôpital. Il sort m'ouvrir, je lui remet un petit billet de deux milles, qui m'a fallu tous les remerciements du monde et une disponibilité en tant besoin .Je lui fais un sourire puis le laisse planter à renifler mon odeur.
Arrivée devant la porte de John, j'entendis Corine dire:
- C'est pour cela qu'on a décidé de quitter Cotonou précipitamment pour Parakou. On ne sait jamais, s'ils apprennent que tu es encore en vie. Dieu seul sait ce qu'ils te feront après !
- Qui dit que ce n'est pas le cas?
-Oui c'est vrai, admit john. Tapis dans l'ombre.
j'ouvre la porte en entendant ainsi les propos de John tout en dévisagant Corine et sa bouge, puis je leur répond tour à tour.
- tu es encore en vie , dis-je en détournant mon regard de Corine pour celui de John. je me suis assuré que personne ne le sache.
La suprise est au rendez vous, tous étaient retournez vers ma direction juste du côté opposé à la bouche de Corine à gauche .
- Comment ça? me demanda maman en même temps .
- A ton avis, pourquoi penses-tu que je t'ai demandé de déplacé John immédiatement? lui dis-je .
-Pardon! C'est toi qui a demandé à maman de le déplacé, demanda Karlson encore surpris.
- Oui petit frère, avec soupir.
- Et vous m'aviez rien dit tout ce temps, répliqua Corine aussitôt.
- Pour que ta bouche soit comme l'eau du robinet qui coule, une fois encore? non, merci.
Elle ne dit rien.
-J'étais à l'entrée du CNHU de Cotonou, lorsque deux individus au look bizarre sont venus et ont demandé d'après le jeune homme admis dans l'hôpital. Il y a deux jours suite à un accident de circulation. Avant que quelqu'un ne parle, je me suis présenté comme l'une des infirmières qui l'avait soignée.
- Hein, infirmière dis-tu.
- Oui maman, comme réponse.
-Il lui voulais quoi à John, finit par demander Corine.
- Savoir s'il est toujours en vie, en même temps que je leur ai parlé. Alors j'ai dit plus pour longtemps.
Je regarde john et il a toujours ce regard vide d'émotion .
- Je leur ai dit qu'on te donne une heure à vivre comme réponse à eux . Aussitôt finir ma phrase qu'un soupire émane du leur visage. Puis sont répartis dans une Rang Rover noir quand je les ai suivi.
- Ils se croient dans quel film ces connards?? s'exclame Karlson.
- Celui dans lequel on envoie les subalternes, confirmer que la cyble est vraiment mort, dis-je comme réponse.Je ne savais pas quelle relation , tu entretenais avec eux pour leur dire que mon frère est toujours en vie.