La maison hantée chapitre 11
Ecrit par Verdo
*Les chroniques de Verdo Lompiol*
*La force de l'écriture*
*LA MAISON HANTÉE* (Série littéraire)
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****Chapitre 11 : La décision****
*Ville de Lomé*
****Madji****
Il ne reste que deux jours pour que les une semaine soient passées et jusqu’alors, je n’ai pas eu de nouvelles de Blandine. Je croyais que ce plan fonctionnerait à la perfection. (Snif) rien n’est pas encore tard. Elle peut toute fois changer d’avais dans les deux jours. C’est bizarre qu’avec tout mon charisme et savoir faire, elle n’a pas encore succombé. Je prends mon téléphone et je lui passe un coup de fil
Moi : allo, bonjour madame Blandine.
Elle : Bonjour monsieur l’agent immobilier
Moi : comment allez-vous ?
Elle : Je vais bien et vous ?
Moi : ça va, on ne se plaint pas. Ma proposition tient toujours. J’aimerais savoir si vous y pensez encore vu que dans deux jours je serai obligé de venir vous faire déguerpir au cas où vous n’avez pas toujours trouvé d’endroit.
Elle : Hum, donnez-moi un peu plus de temps monsieur l’agent immobilier. Ce n’est pas une décision qu’il faut prendre subitement. J’y pense et dans vingt quatre heures je vous donnerai une réponse.
Moi : C’est super ça. Je l’attendrai avec impatience. J’espère que vous ne me décevrez pas. Je n’ai pas l’intention de vous renvoyer de chez vous. Votre mari m’a poussé à le faire. Je comprends votre situation mais comme dans ce vingt-et-unième siècle, tout est gagnant gagnant, raison pour laquelle le contrat que je vous ai proposé a aussi une contrepartie.
Elle : Mais je suis une femme mariée et vous le savez bien. Même si mon mari nous a mis dans cette situation mes enfants et moi, ce n’est pas convenable que je le trompe avec vous.
Moi : (me montrant un peu plus persuasive) Allons Blandine, je sais que cela fait un bon moment qu’il ne vous reconnait plus en tant que femme. Qui peut bien laisser une si jolie créature toute seule au profit des pétasses ? Je sais qu’il ne s’occupe pas de toi et de tes enfants et qu’il te méprise complètement. C’est ce que vous vouliez tout le reste de votre vie ? Avec moi, tu peux tout recommencer à zéro. Démarrer une nouvelle activité qui te permettra de bien s’occuper de tes fils. Je me chargerai de leurs scolarités si possibles. Vous n’avez qu’à dire un petit oui et le tour est joué.
Elle : Hum, monsieur l’agent ; ce n’est pas aussi facile comme tu le dis. Laissez-moi vingt quatre heures s’il vous plaît. Je vous appellerai moi-même pour vous donner ma réponse.
Moi : D’accord. La balle est dans votre camp.
****Blandine****
Cet homme me propose une relation et en contrepartie il nous laissera vivre ici. Je suis confuse et je ne sais pas quoi faire. Mon mari m’a abandonné en nous mettant dans cette situation et si je ne trouve pas une nouvelle maison d’ici quarante huit heures, moi et mes fils seront à la rue. Voilà que je n’ai même pas des sous pour en trouver et pire même pour le manger. Cette situation me laisse dans un grand dilemme et je ne sais pas quoi prendre comme décision. J’y pense nuits et jours et voilà aussi que monsieur Madji me met la pression. En acceptant, je sais qu’il nous laissera squatter ici mais tiendra-t-il toutes ses promesses qu’il est en train de me faire ? Hum, les hommes ? Qu’est-ce qui me prouve qu’il ne fera pas la même chose que Karl après avoir eu ce qu’il veut de moi? Et si je refuse, je sais qu’il se chargera personnellement de nous renvoyer d’ici sans pitié. Je ne me fais pas des soucis pour moi-même mais pour mes gosses. Que vont-ils devenir si je me retrouve à la rue ? Leur éducation sera compromise. Ils sont ceux pour quoi je respire encore et les regardant rentrer de l’école chaque midi me donnent une pure fierté et satisfaction. Au moins, eux n’auront pas cette foutue malchance de souffrir comme moi de par le passé et même maintenant. C’est pour cela que je dois me battre pour leurs avenirs. Alors je dois bien réfléchir deux fois avant de me décider. Karl m’a délaissé ça fait longtemps pour les prostitués, et il y a plus d’un an qu’il ne m’a pas touché. Toujours des insultes pourtant je ne l’ai jamais trompé. Je lui suis restée fidèle ; pas pour lui mais pour moi-même mais la situation dans laquelle je me trouve maintenant m’oblige à prendre autrement une décision sans y réfléchir. Je dois faire ce sacrifice pour mes enfants. Agnès, ma deuxième fille me toucha et je me réveillai de mes songes évasifs.
Elle : Maman, à quoi pensais-tu comme ça ?
Moi : Tu le sais bien ma fille. A pleines de choses mais surtout à votre avenir. Ton père qui nous a abandonné en mettant le manoir en location.
Elle : Je le sais maman, mais je me dis, moi, souvent que ça va aller. Si on a pu tenir jusqu’à maintenant, ce n’est pas le moment de baisser les bras. Il n’a jamais été là pour nous et nous sommes habitués. On va s’en sortir maman d’accord ? On trouvera ensemble une solution. Nous sommes tous de cœur avec toi.
Moi : (Un peu soulagée) Merci ma fille. Je me sens un peu réconfortée. Vous êtes ma joie de vivre et je vous aime beaucoup. Je ferai tout mon possible pour que vous ne vous retrouviez pas à la rue.
Elle : Je t’aime aussi maman.
Moi : Mais où est passée ta grande sœur ?
Elle : Je n’en ai aucune idée. Mais dis-moi maman, le jeune homme avec qui il était venu l’autre fois est celui qui a payé la revendeuse de fournitures ?
Moi : Oui, c’est lui. Pourquoi tu demandes ça ?
Elle : Non rien, je le vois souvent venir rencontrer Dagan (grande sœur en Ewé) cette semaine raison pour laquelle je demandais.
Moi : (un peu muette) Okay.
Elle : J’ai oublié maman, je voulais te demander la permission. Je serai à un TD ce soir à l’école à partir de seize heures. C’est juste pour deux heures de temps. On termine à dix huit heures.
Moi : Un TD ? Pourquoi ne me l’avais-tu pas dit plus tôt ? Tu sais que c’est toi qui dois t’occuper de la cuisine ? C’est ta semaine.
Elle : Oui, je sais mais j’ai un peu oublié. C’est maintenant que je viens de me souvenir. Pour la cuisine je vais négocier avec Dagan voir si elle peut me remplacer.
Moi : D’accord. Allez régler ça entre vous mais reviens vite.
Elle : Okay maman, je te promets.
****Agnès****
Ca fait un bon moment que le DG Florent me demande de venir lui rendre visite au bureau mais je ne trouve pas le temps d’y aller. Je vais profiter de cette occasion pour lui faire la surprise. Je sais qu’il me demandera de coucher avec lui contre une grosse somme d’argent ; ce que je ne refuserai pas parce-que ma famille en a besoin. Je n’ai que seize ans mais je lui en ai fait croire vingt. Monsieur Florent est un homme gentil qui me comble de cadeau depuis que je l’ai rencontré. Je sais qu’il est marié et sa femme aussi est PDG d’une grosse boîte à Tsévié. Mais là n’est pas mon problème. Ce n’est pas comme si j’allais me marier avec lui. C’est l’argent mon seul soucis et tant qu’il m’en donne, je ferai tout ce qu’il voudra. On n’a jamais couché ensemble. Il ne cessait de me le proposer à plusieurs reprises mais je rejetais sa proposition mais cette fois-ci, je crois que je suis prête à le faire. Ces deux heures suffisent largement pour le combler et empocher la somme de cinquante mille francs CFA. Dagan entra par la porte du salon. Je me précipitai pour aller à sa rencontre histoire de l’amadouer pour qu’elle fasse la cuisine à ma place.
Moi : Grande sœur chérie, tu sais que tu es encore plus belle aujourd’hui ?
Elle : Oooh, Je sais, accouche Agnès. Quand tu me qualifies de trop, je sais en même temps que tu veux une faveur alors dis-moi ce que tu veux cette fois ci ?
Moi : Bon, tu m’as pris au piège, pourrais-tu faire la cuisine à ma place ce soir ? J’ai un TD et je ne pense pas vite revenir.
Elle : Un TD ? Depuis quand tu vas aux TD dans cette maison ?
Moi : Arrête… Ce n’est pas comme si tu étais mon prof. S’il te plaît, je le ferai tout le week-end si tu veux.
Elle : Okay mais reviens vite hein sœurette.
Moi : Okay, promis grande sœur. Je t’aime
Elle : Ouais, Va y.
****Florent****
J’attends longtemps que ce moment arrive. Cette petite Agnès sera la première avec qui je ferai mes rituels sataniques. J’ai déposé ma candidature pour les prochaines élections présidentielles et le charlatan m’a demandé de me laver dans le sang d’une jeune fille vierge pour avoir le pouvoir. Je sais qu’elle est vierge même si elle me fait croire le contraire. Elle sera ma première victime et de ce pas m’ouvrira les portes du bonheur et j’obtiendrai tout ce que je désire. Je lui donnerai cent mille francs mais en retour, je prendrai toute sa chance et son avenir tout en insérant en elle le démon de la prostitution. Toute sa vie sera vouée à cela. Faut que j’apprête les choses pour son arrivée. Elle a dit seize heures. Je crois que j’ai un peu de temps.
****Fabrice****
S’adressant à Channel
Moi : Combien de fois vais-je t’expliquer cela ? Je n’ai pas couché avec elle. C’est juste une amie que j’ai aidé à sortir d’une situation.
Elle : Aider à sortir d’une situation tu dis ? Je vois que tu es maintenant devenu un bon samaritain. Tu penses me faire gober tes mensonges ? Tu étais bel et bien passé devant ma boutique ici sans même daigner jeter un coup d’œil voir si je suis là. Tu l’as remorqué sur la moto que j’ai payé avec mon argent après avoir couché avec elle et tu la ramènes chez lui. Avoue que c’est ça !
Moi : Quoi ? Comment peux-tu penser un truc pareil ? Je te répète depuis une semaine que je n’ai pas couché avec cette fille ! Je l’ai aidé à résoudre un problème et sa mère voulait me remercier. Raison pour laquelle je suis partie chez eux. En passant ici, j’ai vu que ta boutique était fermée. C’est pour quoi je ne me suis pas arrêté. Mais t’as pas vu que je suis repassé à mon retour ?
Elle : Arrête de mentir Fabrice ! Tu te fous complètement de moi. Tu as couché avec lui. Dis-moi, est-elle plus belle ou bonne au lit que moi ? Peut-elle te faire toutes les cochonneries que je te fais ? Pourquoi tu ne me dis pas la vérité ? Quel problème l’as-tu aidé à résoudre ?
Moi : Je ne peux pas te le dire. De toutes les façons, ça ne changera rien puisque tu n’as pas confiance en moi.
Elle : Tu vois, c’est ce que je disais.
Moi : Bon, j’en ai assez. Je m’en vais.
Elle : Tu fais quoi ? Tu t’en vas ? Tu oses me quitter comme ça ? Après tout ce que je fais pour toi, ne crois-tu pas que je mérite du moins des explications ?
Moi : Cela ne sert plus à rien puisque ça fait une semaine que je me tue à t’expliquer tout ça. Si tu n’as pas confiance en moi, je préfère m’en aller.
Elle : Pas question que tu t’en ailles. Tu es ma propriété. Et tu dois d’abord me faire l’amour.
Moi : Non, pour une fois, je ne vais pas faire ça. Je ne suis pas ton esclave sexuel pour que tu me traites comme tu veux.
Elle : Tu vas me baiser, que tu le veuilles ou non. (J’attrape ses cols avec toutes mes forces et le tirai dans la chambre secrète de la boutique. Il refusa mais je ne lui laissai pas le temps de réfléchir. Je plongeai ma main dans son pantalon et commençai à le branler. Il est excité et je le balance du coup sur le lit. Il resta immobile tout le temps jusqu’à ce que je me satisfasse. Ensuite, je me rhabillai avec un air gai. Il ne parla pas. La mine froncée, il se dirigea vers la sortie sans rien me dire. Enervée, je lui demandai de me donner les clés de ma moto ; ce qu’il fit sans hésiter et il partit.)
****Blandine****
Je passai finalement le coup de fil à Madji et je lui fis savoir que j’acceptai sa proposition.
****Channel ****
Depuis que Fabrice est parti, il ne répond plus carrément à mes coups de fils ni mes messages ce qui me donna un moment de répit. Je me rendis compte de l’erreur que j’ai faite. Il n’a jamais cessé de m’expliquer ce qui s’est passé mais moi, je ne l’ai pas cru ne serait-ce qu’une seule seconde. En plus de cela, je l’ai forcé à coucher avec moi contre sa volonté. Pourrait-il me pardonner ? Des fois, je laisse la jalousie me dominer. Je pose des actes avant de me rendre compte des conséquences qu’ils peuvent occasionner. Sincèrement, j’aime Fabrice. Je me suis rendue compte de cela après ma rupture avec Karl. Mais pourquoi est-ce que je le traite souvent comme un esclave ? Parce qu’il n’a pas le même âge que moi ? Moi-même je ne sais plus ce qui m’arrive. Sinon, je n’ai jamais traité Karl comme ça lorsqu’on sortait ensemble. Je n’y ai jamais même pensé. Je crois lui devoir des excuses. Sinon je ne serai pas tranquille jusqu’à ce qu’il me pardonne. Il est là à chaque fois dans mes pensées ; son beau sourire et ses blagues me manquent. Pourquoi ne pourrais-je pas me comporter comme une femme normale envers lui ? Je prends mon téléphone et j’essaie encore une fois de l’appeler. Mais pas de réponse. Je crois qu’il faut que je lui rende une petite visite.
****Fabrice****
Cette femme a profité de moi. Elle m’a violé. Je me sens mal au plus profond de moi mais je n’y peux rien car, cette vie, c’est moi-même qui l’ai voulu. Je ne peux pas la dénoncer vu qu’on le fait tout le temps. Ce sera sa parole contre la mienne. C’est une folle furieuse qui ne pense qu’à ses propres pulsions. Je n’ai vu une femme aussi jalouse qu’elle. Cela fait un moment que je pensais me séparer d’elle et je remercie Dieu qu’elle-même m’a trouvé une excuse pour le faire. J’en ai marre d’être sous sa domination. Qu’elle me dicte ma vie, avec qui je dois être ami patati patata. Elle m’a retiré la moto mais ce n’est rien. Ca m’apprendra à voler de mes propres ailes au lieu de jouer aux gigolos. Je dois à présent trouver une activité secondaire en dehors de l’université pour survivre sinon c’est mon cadavre que ma mère viendra ramasser ici. Hum, je n’ai même plus actuellement de force pour marcher parce que cette sorcière a pompé dans mes veines tout mon sang avec sa vilaine et profonde chatte on dirait la longueur d’un tonneau d’essence. Faut que quelqu’un vienne m’aider avec du lait peak ou malta sinon mon cœur risque de succomber. Aucun travail n’est facile hein ! Si vous croyez qu’être gigolo est facile là, vous vous trompez. Mes couilles sont vides et mon bas ventre ne cesse de me tordre de douleur. Je me sens très faible. Je m’allonge dans le canapé histoire de remettre en forme mes organes vitaux par un petit sommeil lorsque mon grand frère rentra de ses activités. Vous vous souvenez de lui je crois. C’est notre aîné et je suis le cadet. On partage tous les deux la même chambre. Il eut une sacrée trouille quand il vit l’état dans lequel je suis.
Luciano : Qu’as-tu frérot ? Tu as l’air très faible.
Moi : Effectivement. J’ai le vertige et une immense faiblesse. Mon cœur ne fait que battre vite. J’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine.
Luciano : Hum, c’est grave ca. Je suis sûr que tu es encore parti baiser cette pétasse. Pourquoi tu n’arrêtes pas de te faire du mal ? Je t’ai dit de m’accompagner à tes heures libres au port histoire de gagner un peu de jetons à travers de petits jobs mais tu préfères te faufiler entre les cuisses de cette femme qui est cinq fois plus âgée que toi. Continues comme ça. C’est ton cadavre qu’on ramassera prochainement ici.
Moi : Eh grand frère ! Arrête ça. Ce n’est pas le moment de me faire es reproches. Amène-moi à l’hôpital s’il te plaît sinon tu seras responsable de ma mort. N’oublies pas que je partage l’argent qu’elle me donne avec toi.
Luciano : Responsable de ta quoi ? Suis-je présent lors de vos ébats sexuels ? C’est moi qui lui écarte les jambes quand tu enfonces ton bangala au plus profond de ses entrailles ? Je n’aime pas ça hein ! Si je prends de l’argent chez toi, est-ce qu’il y ait écrit son nom là-dessus ?
Moi : Grand frère, arrête tes balivernes et occupe toi de ma santé.
Luciano : Gnin Gnin Gnin, arrête tes balivernes et occupe-toi de ma santé. Je t’ai envoyé quelque part ? Ca t’apprendra à ne pas garder ton pénis dans ton pantalon. Lèves-toi, allons à l’hôpital. Je ferai le plaisir de dire au docteur de piquer sur ton pénis comme ça tu s’auras que vouvouzéla est différent de sifflet. Pervers de haut degré.
Moi : Ah ah c’est quelle grand frère ça ?
Luciano : Tu as encore la bouche pour parler ?
Moi : Oh non, je n’ai rien dit. C’est une mouche qui est rentré dans mes narines.
Luciano : Tant mieux
****Ame de Cutie Mom****
Après m’avoir tué, cette Nicole laisse notre maison à son batard de fils pour qu’il le mette en location ? Pas question que cela arrive. Elle a déjà brisé mon cœur en couchant avec mon mari Cortisan et lui faire un enfant batard. Je ne laisserai pas ce Karl détruire ce que j’ai construit avec mon Cortisan ces dernières années avant notre mort même si Karl est son fils. Cette maison sera un enfer pour tout locataire qui y entrera. Tant que je ne trouverai pas la paix de mon cœur, ce sera comme ça. Je me suis déjà bien comporté en laissant squatter le batard de Karl et sa femme.
****Florent****
Il est presque seize heures. Cette petite Agnès ne va plus tarder avant de débarquer. J’ai tout préparé dans la pièce secrète de mon bureau. Le charlatan m’a dit que pour que cela fonctionne, je devais le faire au service raison pour laquelle j’ai préparé la pièce secrète. Au niveau de ma secrétaire et des vigiles, la consigne était claire. Je ne suis pas là au cas où quelqu’un d’autre venait demander d’après moi.
*A suivre*
*Koffi Olivier HONSOU*
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