Verdo Lompiol intégral 4

Ecrit par Verdo

Les chroniques de Verdo Lompiol.



Verdo LOMPIOL (Intégral 4 )


Publié le août 15, 2018



A l’hôpital.


Reine est libérée il y a trois jours mais ce n’est pas le cas de Robert. Il ne s’est pas encore remis de ses coups et blessures. Pendant tout ce temps, Ruchelina était à ses côtés malgré qu’il refuse une fois encore de lui dire ce qui lui est arrivé.



Ruchelina : Je ne peux pas être avec un gars qui tout le temps me cache des choses. La première c’était l’histoire de la soirée avec Janine et maintenant ça ? Tu ne penses pas que je dois aussi savoir dans quoi tu t’es fourré ? Laisse-moi te rappeler que c’est moi qui paie les pots cassés. Depuis tout ce temps, je suis resté ici à tes côtés en prenant soin de toi.


Robert : Je croyais que tu allais me quitter chérie, mais je vois que tu tiens beaucoup à moi et que tu t’en soucis. Je vais tout te dire mais s’il te plaît ne le dit pas à mon frère parce que tu le mettras en danger. Même toi à qui je vais le dire, tu ne seras pas épargnée.


Ruchelina : Ne t’inquiète pas je ne dirai rien à Karto. Moi je suis déjà en danger avec toi alors je t’écoute.


Robert : Okay. Au fait c’est monsieur Armando qui est derrière tout ça.


Ruchelina : Armando ? Le père de Verdo ?


Robert : Tout a commencé un soir où j’étais seul à la pharmacie. Il était venu acheter quelques vitamines. On a discuté un moment et il m’a demandé que s’il me demandait un service, Pourrais-je le faire pour lui ? J’ai réfléchi un moment tant bien même que je ne sais pas de quoi il s’agissait, j’ai dit oui. Alors il m’a demandé de séduire une jeune fille (Janine) et de l’amener à la soirée de leurs cérémonies de mariage. Au début ça m’a paru bizarre; j’ai refusé mais il a insisté de telle manière que j’ai finalement accepté contre une somme de trois millions de francs. C’est à la soirée que je me suis rendu compte en l’écoutant au téléphone avec un monsieur que Janine était la fille de Reine et de Martino. Le gars qui a été accusé de viol. Il m’a interdit d’en parler à qui que ce soit sinon il s’en prendrait à moi et à mon frère.


Ruchelina : Hum chérie dans quelle affaire tu t’es fourrée ? Comment as-tu pu accepter faire ça ? Donc c’est à cause de ses actes que sa femme a eu une crise cardiaque l’autre fois ? Quelle méchanceté ? Pourquoi ne pas demander des comptes directement à sa femme ?


Robert : Je suis désolé chérie. Tout ce que je sais est qu’il est très dangereux et qu’il faut se méfier. C’est aussi lui qui a piégé ce Martino qui est actuellement sous les verrous.


Ruchelina : Quoi ? Et tu t’es associé à ce genre de personne ? Qu’est ce qui t’as pris ? Tu vas lui rendre ses trois millions.


Robert : Ce n’est pas une bonne idée chérie. Il ne doit pas savoir que tu es au courant.


Ruchelina : Non tu ne peux pas dépenser cet argent sale. Et Janine dans tout ça ?


Robert : Elle n’est au courant de rien.


Ruchelina : Qu’est ce qui t’as pris chérie ! On ne manque de rien et on gagne bien notre vie. Pourquoi tu m’as fait ça ?


Robert : Je suis désolé


Ruchelina : (En pleurs) donc c’est lui qui t’as tabassé comme ça ?


Robert : Je crois que c’est Janine qui s’est vengée.


Ruchelina : Janine ? Je pensais qu’elle a tourné la page vu qu’elle est venue s’excuser auprès de moi !


Robert : Elle est venue te voir ? Quand ça ?


Ruchelina : Il y a deux semaines.


Robert : elle ne s’est pas remise, je vois


Ruchelina : Si seulement tu avais juste dis » non » à monsieur Armando.



A la fac,


Verdo et Karto et Karto après les cours ce soir, marchèrent en direction du restaurant lorsqu’ils rencontrèrent Janine en chemin.


Elle marcha à leur encontre


Janine : Bonjour les mecs.


Verdo : Bonjour Janine


Karto : Bonjour.


Janine : Au fait je voulais m’excuser pour ce qui s’est passé à la soirée de tes parents. Je n’ai pas pu me contrôler.


Verdo : Écoute, cette histoire est déjà passée. D’ailleurs, le tord ne venait pas de toi seule. Robert en fait parti aussi. Je crois qu’il faut tourner la page. En plus tu as aidé à sauver ma mère alors je te dois.


Karto : Oui je crois qu’il a raison. Ça fait deux semaines que cela s’est produit et ce n’est plus la peine d’en parler. Si seulement mon frère ne vous avait pas menti tous les deux.


Verdo : Alors tournons la page.


Janine : Merci pour votre compréhension. On pourrait être amis si cela ne vous dérange pas.


Verdo : Eh bien je ne crois pas qu’il ait une objection pour ça ou bien frérot ?


Karto : Y’a pas de problème.


Janine : Cool ça tombe bien. Nous avons ce soir une soirée 100% masque a la salle des fêtes de l’Université. Vous pouvez passer faire un tour si vous êtes disponibles. Mais vous devez être en costume.


Karto : Super on va y penser. Et ça commence à quelle heure ?


Janine : 21 h à l’aube.


Karto : Cool


Janine : Je vous laisse à plus


Karto : Oui à plus


Verdo qui regardait le derrière de Janine après son départ dit à son ami


Verdo : Tu sais qu’elle est canon mon pote ? Je comprends maintenant pourquoi ton frère ne voulait pas lâcher l’affaire !


Karto : Espèce de pervers. En tout cas tu n’as pas menti qu’à même !


Verdo : Eh bien voilà je ne suis pas le seul pervers ici ! Dis ça te tente la soirée ?


Karto : Ça fait longtemps que je ne me suis plus amusé. Je crois qu’on devrait y aller.


Verdo : Et si j’en parlais à Rosalina, elle pourrait nous accompagner et toi u le diras à Bertille !


Karto : Je ne crois pas que c’est une bonne idée. On n’amène pas sa meuf à ces genres de soirée. T’auras pas le temps de bien t’amuser.


Verdo : C’est vrai mais elle sera en colère si je lui avertis pas.


Karto : Bon tu sais quoi on va essayer de leur en parler et voir ce qu’elles penseront.



Au Manoir.


Édouard et Sophie après s’être soulés.


Eduard : fais-moi un bisou chérie.


Sophie : Non Eduard. Nous sommes dans le salon de tes parents. Et si quelqu’un rentrait ?


Eduardo : On s’en fiche de qui va rentrer. Un biz s’il te plaît.


Sophie : Non Eduard arrête.


Édouard : Dans ce cas rentrons dans ma chambre comme ça personne ne nous verra.


Sophie : Tu ne lâches pas toi ?


Eduard : Comment lâcher une si jolie créature !


Sophie : Arrête avec tes flatteries. Allons-y mais je dois vite partir. Janine va m’attendre pour sa soirée.


Édouard : Elle attendra le temps qu’il faudra. Je vais te dévorer tout cru ce soir !!! Miam miam miam


Sophie : T’es vraiment fou toi !


Eduard : Je sais que tu as autant envie que moi.


Sophie : D’accord chérie j’ai envie mais si tu arrêtais de parler une minute.


Eduard : Je savais…



Après l’acte


Sophie : Tu sais chérie des fois je n’arrive pas à imaginer que je suis tombé amoureuse de toi. Tellement je me suis mise des idées négatives à l’égard de votre famille que ça m’a totalement embrouillé. Je n’ai même pas essayé de vous accorder le bénéfice du doute. Sincèrement je me suis totalement trompé sur vous. Et je m’en excuse beaucoup.


Eduard : Ne t’en fait pas. On fait tous des erreurs de jugement. Mais normalement nous devons nous approcher des personnes, les connaitre de l’Intérieur avant de leur porter un jugement mais ce n’est pas le cas du monde dans lequel on vit actuellement. C’est plutôt le contraire. Mais ne t’en fais pas, personne n’est parfait. L’essentiel c’est ce que je partage avec toi actuellement. Tu m’as appris qu’à part l’argent, on peut également trouver le bonheur dans d’autres choses. L’argent et la beauté ne sont pas forcément la clé du bonheur. C’est vrai que ça y contribue mais ce n’est pas ça le bonheur.


Sophie : J’aime ta façon de penser chérie. Tu es quelqu’un de bien. Promets-moi que tu ne changeras pas un jour.


Eduardo : Promis.


Janine : Tu sais bien que si je ne pars pas vite, Janine sera en colère contre moi. Elle a préparé cette soirée avec toutes ses forces.


Eduard : D’accord. Je vais prendre une bonne douche et je te dépose. Je n’aimerais pas avoir une gueule de bois en conduisant.



A la fac,


Ruchelina était à la recherche de Janine. Elle était là depuis un moment et comme elle ne connaissait pas le nom de la cité dans laquelle cette dernière logeait, elle lui passa un coup de fil. Peu de temps après Janine sortit et vient la rencontrer.


Janine : Bonjour Ruchelina


Ruchelina : Bonjour, comment est ce que tu vas ?


Janine : Je vais bien. Quelle surprise !


Ruchelina : Je pensais que tu étais quelqu’un en qui on pourrait avoir confiance, quelqu’un qui est différent des autres mais après tout ce que tu viens de faire, tu as trahi ma personne à jamais. Comment as-tu pu payer des gens pour tabasser Robert ?


Janine : Tabasser Robert ?


Ruchelina : Oui; et n’essaie pas de me dire le contraire. Il m’a tout raconté. Tu es très méchante Janine. Même si il t’a brisé le cœur, ce n’était pas le moyen pour toi de lui régler tes comptes. Je te signale que tu n’es pas la seule victime dans cette histoire. Tu es tombé très bas ma chère. Je ne peux pas être amie avec quelqu’une comme toi. A partir d’aujourd’hui, c’est terminé entre nous et ne t’approche plus jamais de Robert sinon tu auras affaire à moi.


Janine : (Abasourdie) écoute Ruchelina, je peux t’expliquer ce qui s’est passé. Ce n’était pas dans mon intention ce qui s’était passé.


Ruchelina : Je n’ai pas besoin de tes explications. Je t’ai déjà dit ce que je pense. Éloigne-toi de Robert. (Elle la quitta.)


Janine : (Après le départ de Ruchelina) eh merde ! Comment Robert a su que c’était moi ? Ou bien les gars là ont appelé mon nom ? Ils vont me sentir ces deux imbéciles là !



Au palais de justice


Ruchelina après avoir discuté avec Janine, toute énervée était déjà à la salle d’attente pour voir monsieur Armando.


Armando : Soyez les bienvenues mademoiselle Ruchelina.


Ruchelina : Merci monsieur Armando


Armando : Prenez place je vous en prie.


Ruchelina : Merci monsieur. (Elle s’assit).


Armando : Dites moi que puis-je faire pour vous ? Mais d’abord permettez-moi une fois encore de vous remercier d‘avoir sauvé la vie de ma femme.


Ruchelina : Je vous en prie monsieur Armando. J’avais juste fait mon travail. D’ailleurs je ne suis pas la seule à lui sauver la vie.


Armando : Vous avez raison


Ruchelina : Au fait monsieur, Robert m’a parlé d’une certaine histoire qui me tracasse beaucoup. (Elle regarda dans son téléphone et démarra l’enregistreur sans que monsieur Armando ne s’aperçoive de rien.) C’est par rapport à votre soirée lorsqu’il est arrivé avec cette autre jeune fille du nom de Janine. Il m’a dit qu’il ne sortait pas exactement avec lui que c’était vous qui l’aviez payé une somme de trois millions de francs juste pour l’amener.


Armando : Vraiment ? Robert t’a dit cela ?


Ruchelina : vous savez monsieur, je tiens beaucoup à lui et je n’aimerais pas qu’il soit mêlé à des trucs louches pour cela, je suis venu vous apporter les trois millions. Ca fait trois jours qu’il est sur le lit d’hôpital parce que cette même Janine a payé des gens pour le tabasser. S’il vous plaît, acceptez l’argent pour que cette histoire se termine là.


Armando : (Rires) écoutez mademoiselle ; je vous respecte parce que vous avez aidé ma femme. C’est pour cette raison que je vais vous dire ceci. Je ne sais pas de quoi vous parlez. Alors sortez calmement de mon bureau.


Ruchelina : Vous savez bien que moi que ce n’est pas vrai. Et Janine ? Je sais que c’est la bâtarde de fille à reine c’est pour cette raison que vous vouliez vous venger. Mais vous avez oublié qu’en se vengeant, vous ne faites pas du mal à votre femme seule mais à tout le monde qui vous entoure ; le cas de Martino. Vous l’avez piégé.


Armando : D’où sortez-vous ces histoires ? Écoutez, vous commencez à me casser les tympans avec vos blablablas. Sortez d’ici et ne revenez plus jamais.


Ruchelina : Vous pouvez me chasser monsieur mais je vous promets que si vous ne laissez pas tranquille Robert, j’irai voir la police et la vérité finira par éclater au grand jour. (Elle sortit mais déposa les trois millions sur le bureau d’Armando.)


Karto téléphona à Verdo


Karto : Salut mon pot.


Verdo : Oui frérot, quoi de neuf ?


Karto : Au fait je ne pourrais plus aller à la soirée de Janine ce soir. Je dois passer voir mon frère à l’hôpital. C’est urgent.


Verdo : qu’est ce qui se passe ?


Karto : Ce n’est rien de grave. Il veut juste me parler. Je vais prendre un bain et aller le voir. On s’appelle.


Verdo : D’accord tiens-moi au courant. Je ne suis plus intéressé de la soirée de Janine vu que tu n’y vas pas.


Karto : Écoute mec, vas y te relaxer. Je suis sûr que tu vas adorer. Tu me raconteras. Elle a eu l’amabilité de nous inviter. Au moins un de nous deux doit y aller. S’il te plaît.


Verdo : D’accord je vais faire un effort. Je vais demander à Eduard s’il a un gram voire s’il peut aller avec moi.



En ce moment même au commissariat


Jane reçut un coup de fil. C’était Christine (la jeune fille embauchée par Armando pour piéger Martino)


Christine : Bonsoir Jane


Jane : Bonsoir Christine. Je t’ai dit de ne plus jamais m’appeler.


Christine : Oui je sais. Mais je suis dans de sérieux problèmes.


Jane : Quels genres de problèmes ?


Christine : Ton patron a envoyé des gars pour me tuer. Je ne suis plus en sécurité nulle part. Aide-moi s’il te plaît. Tu m’avais pourtant dit qu’on n’arriverait pas là. Je suis en ville.


Jane : Quoi ? Comment sais tu qu’il y’a des gens après toi ?


Christine : Y’ a deux jours qu’un type me suit partout où je vais.


Jane : Merde


Christine : Qu’est ce qu’il y’ a Jane ?


Jane : Il est donc au courant que je ne t’ai pas assassiné. Dans ce cas, je crois qu’on est tous les deux en danger.


Christine : Alors qu’est ce qu’on va faire ?


Jane : (réfléchit un instant) écoute, je vais te donner une adresse. Je vais t’envoyer deux des hommes pour te garder. Tu seras en sécurité. Je passerai moi-même le soir on verra comment faire.


Christine : D’accord.


Après l’appel de Christine, Jane composa le numéro d’Armando


Armando : Je ne suis pas d’humeur Jane ? Que me vaut l’honneur de ton appel ?


Jane : Oui monsieur je sais que vous avez engagé des hommes pour suivre la jeune fille. Je vous avais demandé de me laisser faire.


Armando : Tu m’avais promis que tu t’en occuperais et depuis tout ce temps, qu’est ce que tu as fait ? Rien alors reste en dehors de ça, je m’en charge. Tu es avec moi ou pas ?


Il ne répondit pas


Il lui reposa la question.


Tu es avec moi ou pas Jane ?


Jane : Cette fois ci, non monsieur. Je ne vous laisserai plus faire. Vous en avez assez fait. Dorénavant je ferai mon boulot. Je vous interdis de la toucher sinon je vous coffre pour tous vos crimes.


Armando : Me coffrer ? Arrêtez d’être pathétique Jane. Vous savez bien que si je tombe, vous tombez aussi.


Jane : Ça m’est égal monsieur. De toutes les façons je suis déjà grillé mais je ne vous laisserai plus nuire à quelqu’un.


Armando : vous allez le payer très cher Jane.


Jane : Au revoir monsieur.



A la fac peu de temps avant la soirée.


Janine passa un coup de fil aux bandits.


Homme 1 : Hey poulette, comment vas-tu ? Tu es satisfait de notre travail ?


Janine : bande d’incompétents que vous êtes, comment avez-vous pu laisser des traces ?


Homme 1 : Mais mademoiselle calmez vous, personne ne nous a suivi ni vu. On a fait ce que vous avez dit. D’ailleurs on l’a relaissé devant la pharmacie comme vous l’avez demandé.


Janine : Espèce d’abruti ! Je ne parle pas de ça. N’est ce pas toi qui as dit au gars que c’est moi qui vous ai envoyé ?


Homme 1 : bah on lui a juste dit un bonsoir de votre part.


Janine : Tu es malade tu ne crois pas ? Et après ça tu ne penses pas qu’il pourrait deviner que c’est moi qui suis derrière tout ça ?


Homme1 : Comment le saurait-on mademoiselle ?


Janine : Eh bien oubliez votre deuxième tranche espèce d’imbéciles. À cause de vous j’ai été démasqué.


Homme : Je suis désolé mademoiselle. Mais un deal est un deal. Vous ne pouvez pas faire ça. Rendez nous notre argent ou vous allez le payer cher vous-même.


Janine : Tu sais à qui tu parles ?


Homme1 : Non mais vous ne savez pas à qui vous avez affaire non plus. Si vous ne voulez pas de problèmes, payez nous.


Sophie arriva.


Qu’est ce qui se passe ma chérie ?


Janine : non ce n’est rien.


Sophie : Tu es sûre ?


Janine : Oui bien sûr. Allons-y.


Sophie : Okay



Au manoir


Albertine fait à manger à sa maman.


Albertine : Mum repose toi. Souvient toi que le médecin a dit que tu dois beaucoup te reposer pour mieux se rétablir. C’est presque prêt.


Reine : Oui oui je sais mais je ne suis qu’à même pas un enfant pour rester sur place toute la journée. J’aimerais Te filer un coup de main.


Albertine : Non maman arrête s’il te plaît. Je t’ai dit que c’est presque prêt. Laisse-moi m’occuper de toi s’il te plaît. Tu reprendras tes activités bientôt.


Reine : C’est comme tu veux ma fille chérie. Tu peux me dire où sont tes frères ?


Albertine : A une soirée à la fac je crois. Ils étaient partis quand tu dormais.


Reine : Et ton père ? Toujours pas rentré n’est ce pas ?


Reine : Oui, il n’est pas encore rentré. Dis-moi ma fille, est ce que je suis quelqu’un de bien ?


Albertine : Pourquoi tu dis ça maman ? Pour moi tu seras toujours la meilleure des mamans. Je le pense sincèrement maman.


Reine : Merci ma fille.



A l’hôpital


Karto arriva à l’hôpital une heure de temps après qu’il passa le coup de fil à Verdo. Arrivé à l’hôpital, un drame se produisit. Y’avait une ambulance et pleins de policiers à l’entrée de l’hôpital. Karto vit les policiers porter sur un brancard un corps couvert de sang. Il demanda à l’un d’eux ce qui se passait.


C’était Eduard qui a reçu une balle en pleine tête par on ne sait qui.


Jane : vous connaissez la victime ?


Karto : (en pleurs) oui commissaire. C’est mon grand frère. Qu’est ce qui s’est passé monsieur le commissaire ? Qui a tué mon frère ? Il m’a appelé et voulait me dire quelque chose d’urgent. Voilà qu’il ne m’a même pas parlé avant de mourir. Je dois connaitre le coupable commissaire.


A suivre…


Écrit par Koffi Olivier HONSOU alias Verdo Lompiol


Copyright : août 2018


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