Verdo Lompiol intégral 5

Ecrit par Verdo

Les chroniques de Verdo Lompiol.


Verdo Lomipol (integral) 5



Jane : Calmez-vous monsieur. On ne sait pas encore celui qui a fait ça. L’infirmière l’a juste retrouvé cet après midi avec une balle en pleine tête. Je te promets qu’on fera nos investigations et le coupable sera puni.


Karto : (Toujours en pleurs) permettez-moi de le voir une dernière fois commissaire.


Jane : (Cria à ses hommes) laissez le passer. C’est le frère de la victime. (Après se tournant vers ses deux collaborateurs.)

Chuck, essaie de récupérer les vidéos des caméras de surveillance de ces dernières vingt quatre heures. On va les passer aux analyses. Toi Bernard accompagne moi on va interroger le personnel de l’hôpital.


Passa un coup de fil à Christine


Christine, je ne pourrais pas vite passer ce soir. J’ai un meurtre à résoudre et je crois connaître le responsable. Soyez vigilante et surtout ne sortez pas avant mon arrivée. Mes hommes monteront la garde.


Christine : J’ai peur Jane. Au cas où il m’arrivait quelque chose, cherche à voir Delphine. C’est mon confident. Elle a les preuves pour incriminer Le procureur.


Jane : Ne dites pas ça Christine. Rien ne va vous arriver. Je veillerai sur vous comme je vous l’avais promis.


Christine : On ne sait jamais commissaire.


                      *******

Karto, assis dans la rue devant l’hôpital, en pleurs, téléphona à Ruchelina et lui annonça la mauvaise nouvelle. Cette dernière arriva dans les minutes qui suivent. Ils pleurèrent ensemble un long moment sans cesse. Mais elle se sentit coupable. Était-ce à cause de ce qu’il a dit à Armando que son amour est assassiné ? Parce qu’il l’avait bien prévenu que ce n’était pas quelqu’un de bien mais elle ne l’avait pas écouté. Si Robert est mort à cause de ces secrets, donc elle aussi est en danger. Peut être qu’elle sera la prochaine cible d’Armando. Ou si c’était Janine ? Serait-elle capable d’une chose pareille ? Elle n’était pas sûre d’elle. Elle a envie de le dire à Karto mais pour ne pas aussi mettre sa vie en danger, elle ne dira rien.


La police interrogea le personnel de l’hôpital mais rien d’intéressant. Ils prirent alors le nom de tous ceux qui ont rendu visite à Robert avant sa mort pour les interroger. Certains flics sont au QG en train d’analyser les vidéos. Jane reçut un appel anonyme. C’était la voix d’un homme.


Bandit 1 : Bonjour monsieur le commissaire ; j’ai un aveu à vous faire.


Jane : (Il enregistra l’appel) qui êtes vous et de quel aveu parlez vous ?


Bandit 1 : Qui je suis est sans importance. Une jeune fille nommée Janine nous a engagé il y’a quelques jours pour tabasser le jeune homme qui vient d’être assassiné.


Jane : Quoi ! Quelle jeune fille ? Êtes-vous sûr de ce que vous me dites ?


Bandit 1: Oui commissaire. Elle s’appelle Janine et elle habite la cité de l’Université.


Jane : Et pourquoi vous me dites tout cela ?


Bandit 1 : Parce qu’elle a refusé de nous payer le reste de notre argent.


Jane : Vous savez que c’est un délit ce que vous avez fait ? Et si c’était vous qui l’avez assassiné ?


Bandit 1 : Écoutez commissaire, si on l’avait assassiné, je ne serai pas là à vous parler. Nous ne sommes pas des meurtriers.


Jane : Pourquoi vous ne passerez pas au commissariat pour passer vos aveux à l’écrit ?


Bandit 1 : On sait bien tous les deux que vous allez m’arrêter. Au revoir commissaire. (Puis il raccrocha).


Jane se tourna vers ses deux collaborateurs.

Écoutez, on a une piste. Allons vite choper Janine.


Chuck : C’est qui Janine chef ?


Jane : T’inquiète je la connais très bien. En route.


En ce moment sur le campus


La soirée


La fête battait son plein.


Janine : Merci Édouard d’avoir amené ton frère. A vrai dire je ne pensais pas qu’il viendrait.


Édouard : Haha. C’est plutôt lui qui m’a convaincu de venir. C’est à lui que doivent aller les remerciements.


Verdo : Il a raison. Vu que mon pot Karto n’est pas avec moi, ce n’est pas la grande forme. J’ai l’impression qu’il lui est arrivé quelque chose.


Janine : On dirait que vous êtes jumeaux tous les deux.


Sophie : Je ne te le fait pas dire. Pourquoi tu n’essaies pas de l’appeler comme ça tu seras tranquille.


Édouard : Je crois qu’il a raison frérot. Passe-lui un coup de fil et tu reviens.


Il se leva et s’éloigna un peu de ses amis lorsque la police fit directement irruption dans le club. Il retourna genre voir ce qui allait se passer.


Jane : Qui est Janine ?


Janine : (L’air étonnée, s’avança) c’est moi, officier.


Jane : Vous êtes en état d’arrestation. Vous êtes soupçonnées d’avoir agressé et assassiné le sieur Robert. Tout ce que vous direz sera retenu contre vous devant un juge. Vous avez droit de choisir un avocat. Pour le moment vous serez mise en garde à vue durant les investigations.


Janine : Je n’ai rien fait commissaire.


Sophie : Monsieur le commissaire, elle est innocente. Elle n’a rien fait. Depuis quand Robert est mort ?


Jane : Elle dira ça au juge pas à moi. Robert a été assassiné ce soir à l’hôpital.


Verdo : (Sursauta) quoi ?qu’est ce qui s’est passé commissaire ?


Eduard : Oui commissaire dites-nous s’il vous plaît ?


Jane : OK quelqu’un lui a tiré une balle dans le crâne dans son lit d’hôpital. Pour le moment la seule piste qu’on a c’est Janine car il y’a une semaine, elle a payé des gens pour le tabasser.


Verdo : Quoi ? Janine tu as vraiment fait ça ? Tu es capable de faire ça ?


Sophie : Non commissaire, vous êtes trompés de personne. Ce n’est pas elle.


Janine : L’intéressé même est la demandez lui si c’est vrai ou faux.


Janine : Écoutez, je peux vous expliquer. Ça ne devrait pas se passer comme ça. C’est vrai que j’ai payé des gens pour le tabasser mais je ne l’ai pas tué. Je ne suis pas une meurtrière.


Sophie : Janine tu as pu faire ça ? Moi qui croyais être ton amie ? Comment tu as pu me faire ça ?


Jane : Ça suffit amenez la. (Se tournant vers Verdo) votre ami a besoin de vous Verdo. Je pense qu’il serait mieux que vous alliez le voir.


Verdo : Pauvre Karto : il vient une fois de perdre la seule famille qui lui reste. Eduard accompagne moi chez lui s’il te plaît.


Eduard : Allons-y


Sophie : Je vous accompagne.


Sur le chemin de l’hôpital,


Verdo téléphona à Albertine


Albertine : Qu’est ce qui se passe frérot ? Je sens que tu es stressé.


Verdo : Oui, sœurette. Un drame vient de se produire. Le frère de Karto a été assassiné à l’hôpital. Nous sommes comme ça en route pour le rejoindre moi et Édouard.


Albertine : Oh ! Seigneur ! Qu’est ce qui s’est passé ?


Verdo : Je n’en sais pas plus ma sœur. Je vous tiendrai informer une fois arrivé à l’hôpital. Figures toi que Janine, la fille qui s’est battu à la soirée est le suspect numéro un donc a été placé en garde à vue.


Albertine : Janine ? Tu crois qu’elle est capable de faire une telle chose ?


Verdo : Je ne sais plus quoi penser cher sœur. On garde le contact. S’il te plaît dit à maman qu’on ne rentrera pas vite.


Albertine : D’accord. Prenez soin de vous mes amours. Et mes condoléances à Karto. Je passerai le voir dès que possible. Maman est en train de dormir. Je lui passerai le message à son réveil. Le vieux lui n’est pas encore rentré.


Verdo : okay


Au commissariat de police 


Janine en salle d’interrogatoire


Janine : commissaire s’il vous plaît croyez-moi je ne l’ai pas tué. C’est vrai que j’ai envoyé deux bandits pour le tabasser mais ça s’est arrêté là.


Jane : donc vous admettez que vous avez engagé des gens pour le tabasser ?

Janine : oui commissaire


Jane : et pour quelle raison avez-vous fait ça ? Dites-moi mademoiselle ?


Janine : il s’est moqué de mes sentiments. Après avoir couché avec moi comme il voulait, il m’a jeté comme si j’étais une serpillière. Je voulais lui donner une bonne leçon.


Jane : (rires) vous vouliez lui donner une leçon ! Qu’est- ce qui nous prouve ce que vous dites ? Peut être que vous avez voulu en finir en même temps avec lui comme ça il n’apparaîtra plus sur aucun radar.


Janine : non commissaire. J’ai une preuve de mon innocence. Les deux gars que j’ai embauché peuvent témoigner. Je connais leurs domiciles.


Jane : j’avoue que vous êtes maline. Pour vous en sortir, vous dénoncez vos complices mais laisse-moi te dire une chose. Ils ont été plus malins que toi parce que tu as refusé de les payer et ils t’ont dénoncé d’avance. Mais bon ce n’est pas grave. Ecris-nous leurs adresses.


En ce temps, Bernard entra dans la salle.


Bernard : commissaire, vous devez venir voir ça.


Jane : okay un instant j’arrive. (Se tournant vers Janine)

Je n’ai pas encore terminé avec vous).


Il partit avec Bernard au labo.


Bernard : on a pu récupérer les vidéos des caméras de surveillance de l’hôpital. Regardez ce qu’on a trouvé. Cet homme avec un masque se dirigeant vers la salle où se trouvait exactement Robert quand il a été assassiné.


Jane : oui et il a aussi des Gans.


Bernard : mais ce n’est pas fini commissaire. Regardez la fin.


Jane : il rentre, sort son pistolet et (abasourdi) tire. Mais pourquoi enlève t-il son masque à la fin ?


Bernard : je ne sais pas monsieur. Peut être c’est pour défier la police ou soit pour passer un message.


Jane : vous avez analysé son visage dans notre fichier de reconnaissance spatiale ?


Bernard : oui mais aucun résultat. Cet homme n’apparaît nulle part.


Jane : merde ! Peut être qu’il agit sous un faux nom.


Bernard : peut être oui.


Jane : mais au moins on a son visage. Bon, montrez le à Janine voir si elle le reconnait. Chuck, prend avec toi deux hommes et aller me coffrer ces deux bandits. Ramène les ici tout de suite.


Chuck : oui chef.


Chez Karto


Verdo, Karto Eduard et Sophie arrivèrent chez Karto. Rosalina les rejoignit plus tard… A leur arrivés, Ruchelina téléphona à Bertille pour le prévenir.

Ils étaient tous assis dans le canapé en train de regarder le béton. Bertille arriva plus tard. La tristesse était à 100% dans la pièce. Personne ne savait ce qui s’est passé.


Le lendemain


Jane tout essoufflé descendit de sa voiture et marcha en direction de la cabane suivit de Chuck et Bernard. Ils remarquèrent que les gardes postés pour surveiller Christine n’étaient pas là. Étonnés, ils rentrèrent. Le portail était grandement ouvert. Les corps des deux policiers et celui de Christine gisaient sur le sol sans aucune vie. L’homme masqué était déjà passé. Il savait bien que cela arriverait. Mais aucune preuve n’incriminait Armando. Tout en sachant que c’est lui qui est derrière tout ça il ne peut rien faire pour l’empêcher car il en faisait aussi parti dès le début. Ils s’assirent un long moment près des victimes.


Chuck : qu’est ce qu’on va faire maintenant chef ?


Jane : appelle l’unité scientifique pour qu’ils viennent chercher les corps. J’ai un truc à faire.


Au commissariat de police.

La cellule de Janine et des bandits étaient face à face.


Bandit 1 : hey poulette tu pensais nous rouler ! Tout ce qui est arrivé est de ta faute. Si seulement tu nous avais payé comme prévu, on se retrouvera pas tous dans cette situation.


Janine : écoute imbécile. Va te faire foutre. Si seulement vous n’avez pas grillé ma couverture, vous serez payé depuis. Alors ferme ta gueule et ne m’adresse plus la parole.


Bandit 2 : ne t’inquiète pas, on va tous moisir ici.


Janine : c’est ce qu’on verra.

                       

                         6


Deux mois Plus tard.

Martino sortit de prison. Les Vox lui organisèrent une petite réception à la maison. Reine paya la caution de Janine ce qui la fit sortir de prison. Du côté des investigations, aucune piste pour le moment.

Karto se remettait peu à peu de la mort de son frère Robert. Ce soir, il fut invité par Bertille pour un dîner en famille.


On sonna à la porte


Bertille : je crois que c’est lui.


Diane alla ouvrir

Bon arrivé Kart. Entre s’il te plaît.


Karto : merci Diane.


Bertille : soit la bienvenue chez nous mon amour. (Lui faisant un biz)


Karto : merci chérie.


Bertille : Kart je te présente ma mère Larissa, mon père Martino, ma sœur Diane que tu connais déjà et mon petit frangin Lucio.


Karto : je suis vraiment ravi d’être parmi vous ce soir.

Bertille : Papa, maman, je vous présente Karto. Mon petit ami dont je vous ai parlé.


Martino : enchanté Karto. C’est un plaisir de nous avoir honorés de ta présence.


Karto : le plaisir est partagé.


Larissa : venez, maintenant passons à table.


Lucio : oui moi j’ai faim


Martino : en passant, j’aimerais te présenter mes sincères condoléances pour la mort de ton frère. Ce n’est pas facile de perdre quelqu’un de familier.


Larissa : oui mon fils. Reçois nos condoléances. Tu peux compter sur notre soutien. Ici tu es chez toi.


Karto : merci messieurs. J’en suis ravi.


A table


Karto : monsieur Martino alors qu’allez-vous vous faire maintenant ?


Martino : bah j’ai contacté la présidente de la fac. Elle a dit que je pourrais reprendre mon poste mais je ne crois pas que je pourrais y arriver. Tant d’années cloîtrés dans une cellule de prison m’ont appris pleins de trucs.


Karto : oui c’est normal monsieur. Mais vous allez bientôt retrouver votre vie d’avant. J’étais votre admirateur. Et je voulais devenir comme vous.


Martino : ah bon ? Vraiment ?


Karto : si.


Diane : il a raison papa. Tu es un brave homme. Enseigner te fera oublier tous ces mauvais souvenirs.

Larissa : oui chérie. Les enfants ont raison. Ça te fera du bien.


Martino : on verra après. Pour l’instant, profitons de ce copieux repas que tu as préparé ma chérie. Tes mets m’ont manqué.


Karto : très délicieux madame Larissa. Je crois que je viendrai manger ici chaque soir

(Rires)


Bertille : Si tu veux.


Karto : où sont vos toilettes madame Larissa. J’aimerais aller au petit coin.


Diane : Laisse-moi te montrer.


Devant les toilettes

C’est par ici


Elle attendit Kart. Après avoir fini, il lava les mains. Diane rentra et essaya de le séduire.


Diane : tu sais que tu es très mignon chérie !


Karto : merci


Diane : (s’approcha près de lui et essaya de frotter son corps contre le sien) tu sais que ce qui appartient à ma sœur est aussi à moi ! Alors dis moi que t’as pas une seule fois eu envie de caresser ces jolis popotins ?


Karto : (gêné) mais qu’est ce que tu essaies de me faire Diane ? Je sors déjà avec ta sœur alors s’il te plaît. Ne lui fait pas ça. Je t’en supplie.


Diane : elle ne dira rien. On t’appartient tous les deux. J’ai flashé sur toi la première fois que je t’ai vu. S’il te plaît, embrasse-moi juste une fois.


Karto : non je ne peux pas faire ça Diane. Je suis un gars réglo. Et je n’ai pas l’habitude de taper dans le dos de ma meuf. En plus avec toi sa sœur jumelle ? C’est une abomination. Laisse-moi sortir s’il te plaît.


Diane : ne t’inquiète on remettra les pendules à l’heure.


Karto : n’importe quoi.


 (Il sortit)


A table


Bertille : mais chérie pourquoi avez-vous été si long ?

Karto : au fait je recevais aussi un appel. C’est une urgence et je dois partir.


Larissa : déjà ?


Martino : reste un peu s’il te plaît.


Bertille : oui chérie s’il te plaît reste un peu.


Karto : (n’a pas le choix) okay tente minutes de plus.


En ce moment.


Verdo faisait un petit jogging longeant les pavés du quartier.

Georges, le vieux ex de Rosalina en voiture le suivait sans qu’il ne s’en aperçoive. Arrivé dans un corner un peu sombre où il y’avait personne, il fonça tout droit sur lui et le renversa dans un caniveau. Dieu merci il n’a rien eu comme blessure mais il a quand même pu noter le numéro d’immatriculation de la voiture. Il alla directement au poste de police et porta plainte. Il sera plus tard arrêté par la police.


Chez Dave.


Albertine ce matin n’est pas au salon. Il passa d’abord voir son amoureux et lui annoncer une nouvelle.


Dave : Que me vaut l’honneur de ta visite ce matin mon cœur.


Albertine : Eh bien j’ai une bonne nouvelle à t’annoncer.


Dave : ah bon ? Je suis à l’écoute. J’ai hâte de l’entendre.


Albertine : on va avoir un bébé tous les deux.


Dave : un bébé ? C’est une bonne nouvelle. En plus d’être le fruit de notre amour, je serai papa. Mais je crois qu’il y’a un petit problème.


Albertine : lequel ?


Dave : comment l’annoncer à tes parents ! Puisqu’aucun d’entre eux n’est au courant de notre relation. Ni même tes petits frères.


Albertine : ne t’inquiète pas. On trouvera un moyen pour leur annoncer ça. Pour mes deux frères, y’aura pas de problème. Les vrais casses-têtes sont ma mère et mon père. Mais bon on va gérer t’inquiète.


Dave : si tu sais à quel point je suis content. Viens m’embrasser


Albertine : je suis aussi contente que toi mon chérie. Je t’aime

Dave : je t’aime aussi.

En ce moment à la Fac.


Sophie est en train de Pacquer ses affaires.


Janine : où est ce que tu vas ma chérie ?


Sophie : je change de chambre.


Janine : et pourquoi ?


Sophie : tu le sais très bien. Je ne peux pas habiter le même appart avec quelqu’une d’aussi cruelle que toi.


Janine : ne fais pas ça s’il te plait. Tu es ma seule amie qui me comprend. Toi-même tu vois que j’ai été innocenté.


Sophie : innocentée ? Mon œil. Je sais bien que tu n’es pas une meurtrière mais payer des gens pour tabasser quelqu’un, je ne savais pas que tu en étais capable. Tu as détruit notre amitié.


Janine : ne dit pas ça s’il te plaît. On peut tout arranger. Tu sais bien que je suis quelqu’un de sang chaud et je ne me contrôle pas. J’agis avant de regretter. Tu es la seule personne en qui j’ai confiance. S’il te plaît ne m’abandonne pas aussi à ton tour. Je t’en prie.


Sophie : Hum okay d’accord mais promets-moi que tu ne feras plus de bêtises. Et prévient moi avant de faire tes folies pour que je puisse t’interrompre.


Janine : (rires) d’accord. C’est promis.


Chez les vox


Martino : tu sais chérie quand tu étais venu me rendre visite et que je voulais te dire quelque chose tu te rappelles ?


Larissa : oui bien sûr. C’est en ce moment que les gardiens étaient venus nous interrompe.


Martino : d’accord. Au fait je t’ai trompé autrefois il y’a vingt trois ans avec Ma patronne au boulot. Et une jeune fille est née de cette relation. Elle a actuellement vingt trois ans. Je ne l’ai su que quand j’étais en prison. Je suis désolé ma chérie.


Larissa : tu me dis que tu as une autre fille Armando et qui est plus âgée que Julio. Tu te rends compte de la gravité de ce que tu es en train de me dire ?


Martino : oui je sais. Calme toi on va en parler calmement.


Larissa : laisse-moi réfléchir s’il te plaît. Je suis un peu confuse là.


A suivre...


Par Koffi Olivier HONSOU


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