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Write by kony ariane

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Chose folle dira t-on mais Georges a passé les deux dernières semaines avec nous. C’était  magique. Mon angoisse a repris le jour de notre départ pour nôtre réalité.

- laisse-moi faire s’il te plaît. Je te promets que d’ici un mois toi et moi ce sera pour la vie. Fais-moi confiance mon amour

Encore une énième promesse Me disait je ?

-je ne laisserai pas nos enfants grandir sans moi…

Il avait pris son vol et nous le nôtre.

Jean Luc était venu me chercher à l’aéroport. Il est tellement présent pour les enfants et moi.

-mes neveux sont enfin là. Vous m’avez  tellement manqué. Il m’a serré dans ses bras, avant de prendre chacun d’eux dans les bras.

-c’est bon de te revoir. Tu rayonnes. Je suis heureux de te retrouver. C’est la femme que Chris aimait.

J’ai été un peu gênée.

-je te souffle ça, papa a organisé une surprise pour vous

Il était treize heures lorsque nous avions quitté l’aéroport.

-Jean Luc tu as les fleurs ?

-oui je n’ai pas oublié

Mes yeux se sont embués de larmes.  Il m’a tapoté la main et m’a souris

Lorsque nous sommes arrivées sur sa tombe, je me suis mise à pleurer.

-je te demande pardon Chris. Pardonne-moi. J’aurais  tellement aimé que tu sois là… les enfants ont eu un an. Tu aurais aimé les voir se salir… je dois t’avouer quelque chose…

-Rita, le temps se couvre. Nous devrions y aller. Il savait tout ce qu’il  devait savoir crois moi

-non Jean Luc. Je lui ai menti et il n’est pas là pour que je lui demande pardon. Il ne me l’aurait  pas pardonné…

-chuut, viens là. Ne te mets pas dans cet état. Tu peux me  croire et il t’aimait plus que sa vie. Il vous aimait les enfants et toi et avait pris sa décision en toute âme et conscience. Il s’était engagé à aimer vos enfants comme s’ils les avaient lui-même  fait.

-tu veux dire…

-Rita mon frère t’aimait tellement que tout ce qui lui importait était que tu sois heureuse.

-Jean Luc, il savait que les enfants n’étaient pas de lui ?

-il le savait et l’avait  accepté. Il a su qu’il  ne pourrait pas te donner des enfants, le jour où tu lui a annoncé ta grossesse. Tu aurais dû être là. Il était fou de joie. Il sautait comme un gamin. Rita, il était fou devous… ma belle il disait toujours que ton bonheur faisait le sien. C’était  mon frère et j’avais  accepté sa décision. Jamais personne n’entendra ça de ma bouche. Pour moi ils sont et resteront ceux de mon frère

Je pleurais tellement que je me suis effondrée sur sa tombe. Il était un ange pour moi. Il m’aimait sans condition aucune. Mon Dieu, pourquoi me l’avoir  arraché ?

-partons Rita, pense aux enfants. Ils pourraient prendre froid

-Jean Luc je suis si désolée…

-Il savait que ton cœur était brisé. Il s’est donné le pari de te faire retrouver le sourire. Je n’ai rien à te pardonner. Tu es le bonheur qu’il a toujours recherché. Je l’ai eu quand il était retourné chez vous prendre des affaires. Il était surexcité de devenir papa et moi de devenir tonton.

Il m’a prise dans ses bras longtemps.

-viens partons

Lorsque que nous sommes arrivés à la maison…

-fais nous un grand souriremaintenant et rentrons tu as une surprise qui t’attend

Il avait pris les enfants et était rentré avec eux. J’ai pris une grande inspiration et je suis rentrée.

Ils avaient tous crié surprise. Il y avait la femme de Jean Luc, Claudia et sa famille.

J’ai  embrassé fort Claudia. Je ne m’attendais pas à la voir.

-tu m’as manque ma sœur.

Je pleurais pour tout ce que j’avais  vécu ces dernières années.

-tu m’as manqué aussi.

Nous nous sommes lâché et instinctivement je suis allée vers sa fille et elle vers les miens.

-mesdames pas de larmes ici, nous sommes là pour l’anniversaire  des jumeaux, venait de dire Edouard

Il est venu me prendre dans ses bras.

-c’est  bon de te revoir. Tu nous a tellement manqué. Je suis désolée que nous n’ayons pas été là pour toi.

-merci, maintenant vous êtes là et c’est  le plus important

Papa ne faisait que sourire. Il était heureux de me voir et avait sans doute remarqué que quelque chose avait changé en moi.

La vie semble avoir repris son cours normal. Je n’ai pas revu Georges. Il m’envoie  des messages tous les jours. Il demande des photos des enfants, il dit qu’il  m’aime, et qu’il  fera tout pour que nous formions une famille.

 

J’ai repris le boulot. J’ai  comme besoin de changement. Mon cœur se déchire à chaque fois que je vais en réunion au septième. Je passe devant le bureau de Chris. Je me souviens que lorsque nous avions commencé notre relation, il faisait mine d’être au téléphone. Il m’attendait comme il aimait à le dire, « j’aime te voir casser la démarche mon trésor ».

J’ai terminé ma réunion hebdomadaire. Lorsque je suis revenue, ma secrétaire m’a  fait savoir que j’avais  de la visite.

Ça m’étonne, je n’attends personne.

-OK introduisez cette personne s’il vous plaît

Je me suis levée comme je fais toujours afin de recevoir la personne en question.

A peine avait elle franchit la porte que j’ai réalisé que je n’avais pas pris le peine de demander qui désirait me voir.

- que puis-je pour vous ?

-reste loin de mon mari sinon je te détruirai. Tu devrais t’abstenir car tu as des enfants maintenant. Tu ne voudrais pas les rendent orphelins. Les pauvres n’ont plus de père.

- alors laissez-moi-vous dire une chose madame HOUENOU. Quoique vous ayez à dire, voyez ça avec votre mari. Et si l’envie vous prenait se vous en prendre à moi ou à mes enfants. Je vous le ferai regretter

-c’est ce qu’on verra. Tu ne sais pas avec qui tu joues. Ton mari est à peine décédé que tu veux Jeter ton dévolu sur moi mon mari ? Tu ne me connais pas. Tu pourrais être surprise.

-oh que si je sais très bien qui tu es. Tu devrais me craindre toi plutôt

-m’as-tu tutoyé petite putain ? Je suis la première dame de ce pays. Je te rendrai la vie tellement infernale que tu me supplieras de te laisser rejoindre ton défunt mari. Qui sait je pourrais vous permettre de vous retrouver tous les quatre. Laisse mon mari où tu es morte

L' Amour Au Grand Jo...